La métamorphose de mon slave (IX) en mon soumis sex toy parfait

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Bernadette soumis sex toy parfait et esclave pour la vie

Par Slave Francis http://www.femdom.dating/m/member_profil.php?pseudo=Francis0

soumis sex toy parfait

J’avais atteint un point crucial dans l’éducation de Bernadette pour le transformer en soumis sex toy parfait, celui où je commence à prendre le contrôle complet de sa sexualité. Pas seulement avec une cage de chasteté mais en lui apprenant à n’avoir des érections que quand je l’autorise, même sans cage. Il ne restait plus qu’à approfondir son servage, lui apprendre à me servir parfaitement et à être aussi une servante, une secrétaire, un chauffeur parfait. Bien sûr, j’avais envie de montrer à certaines de mes amies mon esclave mais Bernadette étant encore trop imparfaite pour être prête à une exhibition.

Cela m’a pris six mois pour arriver à un résultat qui me satisfasse, six mois où les coups ont plu régulièrement pour bien mettre dans la tête de Bernadette qu’elle est à moi et que son seul but dans l’existence est de me satisfaire et de me délivrer de toutes les tâches ennuyeuses qui peuplent la vie moderne. Elle a appris à faire mes courses sans que je ne doive lui donner plus de directives que lui dire ce que j’avais envie de manger ou que je recevais des amis et qu’elle devait préparer un repas pour quatre ou six personnes. A elle de savoir les ingrédients à acheter et de les préparer avec une recette qui me plairait. Elle est devenue un vrai chauffeur de taxi, connaissant les trajets les plus courts et les plus rapides et prête à m’attendre le temps qu’il faut pour que je me fasse coiffer, manucurer ou épiler, que j’aille boire une tasse de thé avec des amies et papote longuement ou même que j’aille baiser un de mes amants. Bernadette attendait, stoïque, lisant son journal ou faisant un sudoku, le temps qu’il fallait.

Bien sûr, Bernadette est restée mon sex toy, c’était devenu le plaisir de son existence. Je la voyais frétiller le soir quand elle savait que c’était l’heure et que peut-être j’allais lui faire sucer mon clitoris, embrasser mes pieds, lécher le cul, ou même, mais plus rarement, l’utiliser comme un gode vivant. Elle restait le plus souvent encagée pour lui éviter d’avoir des érections non permises et dès que je délivrais son sexe, elle avait l’excitation d’une chienne qui a compris que sa Maîtresse allait la promener. Au bout de quelques semaines seulement, elle m’a fait jouir avec sa bouche et sa langue mieux qu’aucun de mes amants. Sans doute parce qu’elle ne pouvait bander avant que je ne lui en donne la permission en la traitant de pute et encore moins jouir. C’est sa bouche qui lui donnait du plaisir, recueillir ma mouille abondante et pouvoir s’en rassasier lui donnait une extase non dissimulée. Sa langue est devenue très agile en me léchant le cul, me pénétrant de plus en plus profondément l’anus au fur et à mesure qu’elle prenait de l’expérience et j’avoue que cela me donnait des frissons que je n’avais jamais connus auparavant.

Contrairement à d’autres Maîtresses, je n’ai pas privé Bernadette de plaisir et je la laissais se masturber à peu près toutes les semaines. Elle savait que je lui donnais des points à chaque fois qu’elle devait me faire jouir et qu’elle devait atteindre un niveau suffisant pour obtenir sa récompense. Elle a appris à accepter sans montrer de tristesse quand je lui supprimais sa jouissance pour une raison ou l’autre et cela lui donnait plus d’ardeur les jours suivants pour se rattraper. Le rituel était toujours le même quand je lui permettais de jouir. Je lui donnais l’autorisation de bander en me donnant du plaisir et son ardeur était décuplée. Trop les premières fois où elle a éjaculé alors qu’elle devait encore me donner du plaisir. Sa punition était alors double, 50 ou 75 coups de fouet qui lui rougissaient les fesses et lui arrachaient des larmes de douleur et une abstinence prolongée, dix jours la première fois, quinze la seconde et il n’y a pas eu de troisième fois. Pas encore en tous cas.

Après ma jouissance, Bernadette s’asseyait en tailleur, cuisses écartées au maximum. Elle se penchait en avant jusqu’à ce que son front touche le sol, en signe de soumission, en me remerciant de mes bienfaits et en m’adressant une prière, invoquant sa belle et terrible Déesse à qui sa vie était à jamais consacrée. Lorsque j’étais satisfaite, elle se redressait et avait l’autorisation de se caresser la bite jusqu’à jouir, sous mes yeux, en silence. Cela ne durait pas plus de quelques minutes, son sperme jaillissait sur le sol. La dernière tâche de Bernadette était de tout nettoyer de sa langue et d’avaler son sperme jusqu’à la dernière goutte.

Une fois par mois, j’emmène Bernadette à l’institut de beauté pour son épilation, un massage par Dogan, suivi d’une heure de baise intensive où elle suce et se fait enculer par Dogan et ses amis. J’aime voir ma chienne se faire prendre brutalement, cela me procure beaucoup de plaisir. Bernadette aime aussi ces moment-là, je la laisse bander mais pas éjaculer, son plaisir doit être celui d’une femelle et à entendre ses petits cris de jouissance, elle est une bonne femelle vicieuse.

Bernadette a commencé à travailler à mi-temps pour se consacrer à moi, elle ne manquait pas de travail. Elle n’a plus besoin d’argent et ses revenus sont directement versés sur mon compte, le midi elle se contente de manger un repas frugal qu’elle a emmené avec elle. Sa vie se résume ainsi à ce à quoi elle est vouée aujourd’hui, me servir et me donner du plaisir.

Au bout de ces quelques mois de perfectionnement, l’éducation de Bernadette est devenue suffisamment bonne pour que je puisse enfin l’exhiber devant mes amies. Il était devenu un soumis sex toy parfait. Il serait dommage d’avoir un aussi beau jouet et de ne pas le montrer.

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1 réflexion au sujet de « La métamorphose de mon slave (IX) en mon soumis sex toy parfait »

  1. L’article est très puissant, ne laissant même plus la parole au soumis, lui laissant la vrai place de l’homme : celle d’un objet

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