Soumis éduqué par sa logeuse domina (6)

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Soumis éduqué par sa logeuse domina (6)

Les choses accélérèrent la semaine suivante :

Le mardi, elle rentra tard. Elle m’avait prévenu et j’avais mangé sans l’attendre.

Quand elle rentra vers 22H, elle s’assit dans le banquette, me lança abruptement :

-Pascal, viens me masser les pieds !

Perturbé par cet ordre direct, je m’asseyais et commençais à masser ses pieds au travers de ses bas, du mieux que je pouvais. Elle avait fermé les yeux et se laissait faire. J’étais devenu un soumis éduqué par sa logeuse domina.

-Je voudrais te demander quelque chose Pascal. Tu as envie de moi?

Surpris par la question, je répondis immédiatement.

-Oui Madame…j’ai envie de vous.

-Tu as déjà vu jouir une femme?

-Non jamais.

-Quand tu fantasmes, tu penses à quoi?

-À vous Madame !

-Ah oui, et tu me fais quoi?

-Je vous fais l’amour !

-C’est de ça que tu rêves?

-Oui Madame

-Tu te rends compte que ça n’arrivera jamais?

-Euh…oui Madame.

Elle avait commencé à se caresser fébrilement, une main sous sa jupe.

-Tu sais que jamais tu ne profiteras de moi alors que d’autres en profiteront.

Je commençais à pâlir devant ses remarques acerbes, et je compris qu’en fait, c’était pour s’exciter qu’elle me disait ça. Je décidai de jouer le jeu.

-Oui Madame, je sais que je ne vous toucherai jamais, même si je rêve de votre corps.

Son souffle se fit plus rapide. Elle murmura d’une voix rauque.

-Tu l’aimes mon corps?

-Oh oui, j’en rêve toutes les nuits !

-Tu es conscient que jamais tu ne me prendras?

J’étais au moins aussi excité qu’elle. La différence, c’est que pour moi, cette excitation était synonyme de douleur, alors qu’elle se masturbait frénétiquement sous mes yeux.

-Oui Madame !

Elle se raidit brutalement contre le dossier de la banquette en laissant échapper une plainte sourde.

Au bout d’un moment, elle rouvrit les yeux et me fixa avec un regard brillant.

-Ben voilà, aujourd’hui, tu as vu jouir une femme.

Elle baissa les yeux pour observer le mince filet transparent qui pendait de ma cage. Comme à son habitude, elle se pencha pour le retirer d’un doigt et l’enfoncer dans ma bouche. Je suçais sans rechigner ce doigt gluant de ma propre sève. Puis elle passa sous mon nez le doigt avec lequel elle venait de se caresser dont je respirais le parfum musqué.

Les jours suivants de la semaine furent sans événements majeurs. Cela faisait bientôt trois semaines que je ne m’étais pas ‘vidé’, comme Hélène le disait avec un ton volontairement méprisant qui ravivait mes fantasmes masochistes.

Le jeudi, elle rentra tard, mangea sans dire un mot, et s’enferma dans sa chambre J’étais surpris et chagriné par ce comportement inhabituel. En passant devant sa chambre pour aller me coucher, j’entendis des halètements et des plaintes étouffés.

Le samedi matin, après avoir pris son déjeuner en robe de chambre, elle me demanda d’aller lui faire couler un bain. C’était la première fois qu’elle me demandait cela et j’étais un peu embarrassé, ne sachant pas très bien comment m’y prendre. Je montais dans la salle de bain attenante à sa chambre et ouvrais les robinets, mettant ma main dans l’eau pour en tester la température, Elle me rejoignit quand la baignoire était à moitié pleine et sans dire un mot fit tomber sa robe de chambre.

Je restais subjugué par la vision de son corps nu. Ses seins lourds mais fermes aux aréoles brunes, son ventre rebondit, son sexe enfoui dans un buisson noir qui en cachait mal les lèvres purpurines. Je restais interdit devant ce spectacle inattendu avant de m’apercevoir du sourire amusé qu’elle me lançait :

-Je te plais?

Je ne sus pas quoi lui répondre, ce qui exprime ce que je ressentais et ma seule idée fut de m’agenouiller pour lui embrasser les pieds.

Elle éclata d’un rire gai.

-Bon, aller, arrête le ! il est plein !

Revenant sur terre, je me redressai pour éteindre les robinets. Hélène entra alors dans la baignoire avec une grâce et une majesté qui m’émut.

-Ça va comme ça, merci !

Je quittais la salle de bain transfiguré par ce que je venais de voir.

Elle redescendit une heure plus tard, préparée comme pour sortir, avec un léger maquillage, vêtue d’une robe gris perle, de bas chair et d’escarpins.

Je me trouvais encore plus ridicule d’être là, nu et encagé en train de passer l’aspirateur devant cette femme élégante.

-Pascal, je sors. Je risque de rentrer un peu tard !

Elle prit son sac à main et claqua la porte derrière elle.

Je restais un moment bouleversé par une multitude de sentiments contradictoires.

Après avoir fini le ménage, je passais ma journée à faire des exercices de physique. J’avais beaucoup de mal avec la relativité générale pour laquelle mes connaissances mathématiques se révélaient très insuffisantes. Au début, cela m’avait paru étrange de travailler nu devant mon bureau, mais assez rapidement, j’oubliais ce détail.

Vers 19h, j’entendis la porte d’entrée. Absorbé par un calcul tensoriel compliqué, je ne réagis pas tout de suite.

Hélène m’interpella depuis le salon :

-Pascal, je suis rentrée. Où es tu?

Sortant brutalement de mon travail, je descendis quatre à quatre les escaliers pour la rejoindre au salon

Elle paraissait fatiguée par sa journée.

-Bonjour Madame, j’étais en train de travailler.

Elle s’affalât dans la banquette.

-Va me chercher quelque chose à boire, un Martini-Gin !

Je me précipitai vers le bar pour lui apporter son apéritif.

-Mets toi à genoux !

Sitôt que je me fus agenouillé, elle me passa distraitement une main dans les cheveux, tout en sirotant son verre.

-Qu’est ce que tu as fait aujourd’hui?

-J’ai travaillé, mon examen est la semaine prochaine.

-Ah, et tu es prêt?

-Ben, pas vraiment, j’ai pris du retard dans mes révisions.

Elle fermait les yeux et je compris qu’elle n’avait pour le moment rien à faire de mes révisions et de mes études.

-Masse-moi les pieds !

Elle avait dit ça comme si c’était la chose la plus naturelle du monde et pour moi, ça l’était. Je retirais délicatement ses escarpins et commençais à prendre dans mes mains ses pieds humides.

Elle ouvrit les yeux et me fixa un moment en silence avec un regard étrange. Puis elle se releva de la banquette, fit coulisser sa culotte noire sur ses cuisses et après s’en être débarrassée, se rassit en écartant les jambes. Je voyais le liseré en dentelle de ses bas, surmonté par ses larges cuisses blanches et, tout en haut la touffe noire d’où dépassaient les lèvres gonflées de son sexe. Elle me dit d’une voie rauque :

-Suce moi !

Je m’approchai de sa chatte. J’observai un instant ce sexe de femme que je voyais de près pour la première fois. Un filet laiteux suintait déjà entre ses lèvres et je m’immergeais dans son odeur fauve. Je passais délicatement la langue sur cette chatte offerte, récoltant cette sécrétion épaisse dont la saveur tiède me transporta. J’avais l’impression de devenir brusquement un homme en m’absorbant dans cette besogne envoûtante.

Mes maigres tentatives hallucinées ne lui convinrent pas. Elle me prit par les oreilles pour m’indiquer fermement là où je devais insister. Assez vite, elle me dirigea vers son clitoris. Elle tressaillit au contact de ma langue tandis que je m’appliquais à caresser cette excroissance rigide.

-Oui…c’est bien…là…plus fort…plus vite… !

Je sentais sa respiration se faire plus rapide, j’étais complètement absorbé par la seule tâche qui donnait à cet instant un sens à ma vie : la faire jouir

-Oh…oui…c’est bon…surtout ne t’arrête pas !

Je commençais à ressentir une certaine difficulté à appuyer ma langue le plus fort possible sur son organe turgescent mais je n’en avais que faire.

Soudain elle poussa un feulement grave, serrant ses cuisses de toutes ses forces autour de ma tête. Ne pouvant plus bouger, je me contentais de continuer à appuyer ma langue contre sa chair onctueuse.

-Oooooh oui….je jouiiiiis !

Cela dura un instant. Elle avait saisit mes cheveux à pleines mains et s’arc-boutait sur la banquette, puis elle se détendit en laissant échapper un profond soupir. Je me sentais immensément fier de lui avoir procuré du plaisir. Le goût suave de sa mouille dans ma bouche, le parfum puissant de son sexe, tout cela me transportait. Je sentais une douleur vive dans mon membre je baissais la tête pour voir ma verge gonflée et violacée comprimée dans sa prison d’acier. Hélène avait les yeux fermés et tentait de reprendre son souffle.

Elle ouvrit enfin les yeux et posa sur moi un regard brillant.

-Oaouh…c’était pas mal du tout pour une première fois …je crois que je vais y prendre goût…Et toi, tu as aimé?

-Oh oui Madame, j’ai adoré !

-Bon allez, va nous préparer à manger !

Je me dirigeai vers la cuisine sans discuter en sentant sécher sur mes joues la cyprine qu’elle y avait déposé. J’avais la tête qui tournait et j’étais encore imprégné de ses goûts et de ses odeurs intimes

Ce samedi soir et le dimanche matin, Hélène parut très gaie, riant de tout avec un rire cristallin de petite fille. En début d’après midi, elle décida qu’il était temps que je repasse au rasage.

-Cette fois, comme tu as moins de poils, on va t’épiler. ça sera plus pratique !

Comme la première fois, elle me fit allonger sur une serviette de bain qu’elle avait étendu sur son lit et me lia bras et jambes aux montants avec des menottes.

Après avoir ôté ma cage, elle me badigeonna le pubis de crème dépilatoire. Elle prit même le soin d’en passer dans ma raie de fesse, ce qui me gêna un peu, car c’était la première fois qu’elle me touchait de manière aussi intime.

)Bon allez, je reviens dans vingt minutes ! ne te sauve pas !

Le temps me parut long, immobilisé comme je l’étais. Enfin elle revint, me détacha et me conduisit à la douche. Le jet fit partir l’épaisse couche de crème blanche, et mes poils avec et je me retrouvais absolument lisse. Comme chaque fois que j’étais hors de la cage, mon sexe était gonflé et, sans être vraiment en érection, il paraissait obscène sur ce ventre de petit-garçon.

Hélène était habillée comme à son habitude et elle m’avait laissé faire dans la douche, adossée à la porte de la salle de bains, semblant perdue dans ses pensées.

Quand je me fus essuyé, elle m’ordonna d’aller me rallonger sur le lit et me menota à nouveau. Puis elle saisit mon membre et se mit à me masturber lentement. Très vite, je fus en complète érection et je commençai à sentir les prémices d’un plaisir qui, je le savais, allait être explosif.

Au moment précis où j’allais jouir, elle retira sa main en riant comme un gamine devant mon sexe qui oscillait dans l’air, comme pris d’une vie propre dans la recherche désespérée de la stimulation qui déclencherait l’orgasme tant attendu. Puis le plaisir reflua et je me retrouvais le cœur battant, terriblement frustré de ce plaisir entrevu.

Elle attendit un instant puis elle recommença son lent va-et-vient. À nouveau, le plaisir monta, à nouveau, elle retira sa main au moment ultime me laissant pantelant dans mes liens. Puis elle recommença, et encore, et encore Elle se servait du liquide clair qui s’échappait de mon sexe comme lubrifiant pour ses caresses et à chaque fois, elle s’interrompait juste au dernier moment en éclatant d’un rire gai. Je devenais hystérique, j’étais couvert de sueur, mon cœur battait dans ma poitrine comme après une course. Je finis par craquer et par la supplier.

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