Soumis sex-toy de Maîtresse Ingrid, splendide domina

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Suite de la transformation de mon slave soumis en sex toy

splendide dominaMaîtresse Ingrid m’utilise comme jouet sexuel

J’ai été rapidement complètement conquis par Maîtresse Ingrid, splendide domina. Elle était inexpérimentée dans la pratique de la domination mais elle possédait aussi un instinct rare de dominatrice.

Elle dirigeait bien sûr nos séances de sexe et c’est elle qui prenait les initiatives. Nous avions cependant à ce niveau une entente profonde et une grande complicité. Elle variait nos préliminaires, jouant avec ses engins de torture. Surtout les pinces à tétons avec lesquelles elle pouvait me faire très mal. Elle les lestait de poids ou les faisait bouger dans le sens qu’il fallait pour que leur pression soit à la limite supportable. J’avais peur du moment où elle les retirait, l’instant qui fait le plus mal. Je supportais pourtant cela sans gémir, sachant que la sensibilité de mes tétons allait ensuite être démultipliée. Après une trentaine de secondes, toute excitation de ma poitrine me rendait fou, ce qui se traduisait par une érection ferme et dure de mon sexe.

J’étais en général attaché sur le dos, sans pouvoir bouger. Cela permettait à Maîtresse Ingrid de continuer à m’utiliser comme elle le voulait et à décider des préliminaires. J’adorais bien sûr, en particulier quand elle frottait sa chatte contre mon corps, par des va et vient très doux. A chaque passage, ses fesses se reprochaient petit à petit de mon visage, jusqu’à ce que son anus soit à portée de ma langue. Je la tendais autant que je le pouvais pour lécher ma Maîtresse et lui pénétrer le cul. Puis j’arrivais à proximité de son sexe et récompense suprême, ma langue parvenait à recueillir la mouille de Maîtresse Ingrid. Ceci me procurait une excitation supplémentaire, que Maîtresse Ingrid m‘avait appris à canaliser.

Dressage par Maîtresse Ingrid, splendide domina

Suivant l’humeur de Maîtresse Ingrid, elle s’empalait sur mon sexe pour jouir et me laisser jouir. Il lui arrivait cependant de jouir sans pénétration, ce qui voulait dire pour moi que je restais frustrer. Après qu’elle eut joui, elle m’autorisait parfois à me branler rapidement, je n’avais qu’une minute pour éjaculer ce qui vu mon état me suffisait.

En dehors de nos jeux, Maîtresse Ingrid était extrêmement stricte. N’importe quel prétexte était bon pour me corriger et Maîtresse maniait ses différents instruments avec une admirable dextérité. J’ai rapidement appris à répondre sans tarder une seconde à ses ordres, aussi anodins puissent-ils paraître. Mais aussi à agir comme elle le voulait, ne pas me tromper de service en lui apportant une tasse de thé ou à doser le kir comme elle l’aime, avec le vin qui convenait.

J’ai appris tout cela rapidement et bien sûr Maîtresse Ingrid a trouvé d’autres raisons de me punir. Mon intonation de voix pas assez respectueuse ou hésitante. Ma démarche, mon regard, une hésitation, tout était prétexte à me donner quelques coups de fouet ou de cravache. J’avais peur de ma Maîtresse et de ses réactions, je scrutais l’intonation de sa voix pour savoir si elle était satisfaite ou non.

Le plus surprenant est que cette situation me rendait heureux et complètement amoureux de ma Maîtresse. Elle était parvenue à prendre sur moi un pouvoir exorbitant, sans limites et j’ai compris que c’était la situation que je recherchais. J’étais vulnérable devant une femme jeune, grande et très belle.

La séance avec Maîtresse Hélène

Tout mouvement affectueux, tout mot aimable étaient pour moi une récompense comme un sucre que l’on donne à un chien. Maîtresse Ingrid ne se privait pas d’ailleurs de me dire que j’étais un bon chien en me donnant une caresse au visage pour me récompenser et m’encourager. Le résultat ne se faisait pas attendre, mon sexe se dressait et je ne pouvais réprimer une érection qui montrait mon plaisir. Maîtresse Ingrid réagissait suivant son humeur du moment, en riant, en se moquant ou en se fâchant. Dans ce cas, elle prenait sa badine et me donnait un ou deux solides coups sur le sexe et les couilles pour que je débande et me mette à genoux, le sexe entre les cuisses, tout penaud.

Comme elles l’avaient convenu, Maîtresse Ingrid et Maîtresse Hélène se sont retrouvées pour jouer avec leurs deux esclaves. Maîtresse Hélène était impressionnée par les progrès que j’avais accompli sous la férule de Maîtresse Hélène. Cela m’encourageait à me montrer sous mon meilleur jour. Je faisais tout pour obéir rapidement et parfaitement à tous les ordres que je recevais. Je m’efforçais avec succès à ne pas broncher sous les coups de fouet ou les jeux de pinces qui torturaient mes tétons.

Maîtresse Hélène devait avoir une quarantaine d’année. C’était une vraie blonde, à la peau très blanche et aux formes rubéniennes. Son cul et sa poitrine avaient un volume double de ceux de Maîtresse Ingrid mais même un peu grasse, elle était sans conteste une belle femme. Sa voix forte lui donnait une autorité naturelle et j’ai appris très vite que ses coups et ses gifles pouvaient faire très mal…

Jeu avec Katia, la soumise de Maîtresse Hélène

Le clou de notre séance était un jeu organisé entre Katia et moi. Je devais parvenir à sauter Katia, en la pourchassant à quatre pattes.  Elle se défendait évidemment par tous les moyens. Je pensais ma mission facile mais c’était une erreur. Katia était agile et se déplaçait vite. Ses coups de pieds dans mes testicules arrivaient souvent à leur destination et me faisait débander quelques minutes. J’ai compris après plusieurs essais infructueux que la bonne méthode n’était pas de couvrir Katia en essayant de la pénétrer mais de l’exciter petit à petit. Je la maintenais avec les bras pour lui lécher le cul et la chatte. Je l’amenais ainsi progressivement à s’exciter et ne plus résister. Nos deux Maîtresses me donnaient hélas régulièrement des coups de fouet qui me faisaient lâcher prise et permettait à Katia de se dégager.

J’ai senti la mouille de Katia devenir de plus abondante, signe qu’elle allait être prête à un accouplement. Je suis ainsi parvenu à la pénétrer en levrette et nous avons fait l’amour comme deux chiens en chaleur. Nos Maîtresses étaient ravies du spectacle et se sont promis de se rencontrer à nouveau rapidement.

 

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