Epouse dominatrice : Mutation vers un couple gynarchique (12)

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épouse dominatrice

Déjeuner avec mon épouse dominatrice

Un déjeuner en tête à tête dans un très bon restaurant, cela ne se refuse pas. De toute façon Laurent n’avait rien à refuser à son épouse dominatrice.

Samia s’était faite particulièrement belle et désirable pour l’occasion. Tellement sexy et provocante que Laurent n’avait qu’une envie, lui sauter dessus et la prendre sauvagement, en plus il savait qu’elle adorait ça. Il l’avait souvent fait par le passé mais désormais cela était réservé à un autre. Samia le lui avait dit, il devrait se contenter de la mater en silence et de bander sur elle. Lors du déjeuner, il put consulter les plats mais Samia choisit pour lui, petite frustration supplémentaire.

Il la dévorait des yeux, la trouvait sublime, et aimait se laisser emmener dans ce jeu dans lequel elle avait une emprise totale sur lui. Ce qui n’était pas visible des autres clients et connu d’eux seuls c’est que Samia n’avait pas de petite culotte sous sa robe. Et pour cause, c’est lui qui portait la petite culotte de sa femme sous son jean, ainsi que des bas noirs. Il s’efforçait de dissimuler du mieux possible les autres sous-vêtements féminins qu’elle lui faisait porter, opération rendue compliquée par le plug qu’elle lui avait introduit dans le cul et qui l’obligeait à d’étonnantes contorsions quand il fallut s’assoir à leur table.

Samia jubilait de le voir ainsi, obligé de se tenir droit par son plug mais essayant de se tasser aussi pour ne pas faire apparaître son collier d’appartenance. Le jeu dura tout le repas, Samia compliquant la chose en l’obligeant à aller aux toilettes ou encore en lui faisant ramasser sa serviette qu’elle avait négligemment fait tomber de la table.

Retour à l’appartement

Au moment de lui faire payer l’addition, elle dit juste :

-Allez, maintenant on rentre, je n’en ai pas fini avec toi, tu vas adorer ton anniversaire…

Ils rentrèrent à l’appartement. Souvent expérimenté par le passé, la montée des escaliers est un aphrodisiaque puissant. En quatre étages, on a le temps de développer son imaginaire. Le plaisir à venir s’instille déjà dans la tête et le désir monte à chaque marche. Laurent se doutait que sa femme allait s’occuper de lui, mais ignorait de quelle façon. Il n’eut pas longtemps à attendre. La porte à peine refermée à clé, elle le plaqua sur le ventre contre la grande table en bois de la cuisine, se colla derrière lui et commença à ôter la ceinture de son jean puis à le déboutonner. Plus retenu par rien, le pantalon glissa à ses pieds, le laissant offert et dévoilant au passage des bas résille et une jolie petite culotte rouge en dentelle fine.

-Reste dans cette position et ne bouge pas ! dit-elle avec autorité et assurance.

Elle fila dans la chambre, et revint quelques minutes plus tard équipée d’un gode ceinture et tenant à la main un tube de vaseline. Elle se replaça derrière lui, glissa sa main dans la petite culotte qu’elle faisait porter à son mari pour en saisir une queue bien bandée et des couilles prêtes à exploser par un mois d’abstinence. Non seulement Laurent n’avait pas été autorisé à jouir, ni par sa femme, ni par sa maîtresse depuis plusieurs semaines mais il avait dû porter sa cage de chasteté en permanence pour le mettre à l’abri des tentations solitaires.

Libéré de la cage de chasteté !

Ce n’est que maintenant, pour son anniversaire, que son épouse dominatrice prit la clé de la ceinture qu’elle portait toujours sur elle et la lui enleva. Une libération, une véritable délivrance certes, mais cependant il restait sous surveillance et sous contrôle, pas question de jouir sans autorisation. D’autant que sa femme se chargeait aussi bien que sa maîtresse désormais des punitions. Sa maîtresse femme avait même un goût prononcé pour la cravache, quand maîtresse Zaïa avouait préférer le fouet.

Laurent se laissa donc totalement faire, et comme le lui disait régulièrement Samia depuis que leur couple avait basculé dans des rapports de dominante à dominé :

-Je sais ce qui est bon pour toi !

Elle malaxa ses couilles, pressant et libérant, puis commença à le branler vigoureusement, faisant monter le jus. Sentant qu’il était à bout, sur le point de venir dans sa main, elle s’arrêta net :

-Je t’interdis de jouir ! Uniquement sur mon ordre, et ce n’est pas le moment, peut-être ce soir si j’estime que tu l’as mérité.

-Oui Samia, je suis à toi.

Possédé par mon épouse dominatrice !

Le ton de sa femme ne souffrait pas la réplique. Laurent fit un effort colossal pour retenir son éjaculation. Samia avait arrêté de lui toucher le sexe, elle lui ôta son plug et commença à lui doigter le cul et à l’enduire de crème. Puis elle l’enfila et le posséda. Elle donnait de grands coups de boutoirs et le défonçait avec énergie et intensité tout en lui donnant des ordres.

-Dis que tu adores ça ! ordonna-t-elle d’un ton sec.

-J’adore ça.

-Plus fort !

-J’adore ça !

-Encore !

-J’adore ça, Samia ! J’adore ça…

-C’est bon de se faire prendre en levrette par sa femme ?

-Oh oui, j’adore ça ! J’aime être soumis à ma femme !

S’excitant des mots qu’elle faisait répéter en boucle à son mari, Samia redoublait d’ardeur.

-Tu es à moi, salope !

-Oui Samia, complètement à toi.

-Tu m’appartiens, petite pute !

-Oui Samia, je suis ta pute.

-Je fais de toi ce que je veux !

-Oui, ma femme fait ce qu’elle veut de moi. Et j’aime ça !

-Tu es ma lope soumise !

-Totalement soumise.

Samia continua à lui éclater le cul un bon moment, lui arrachant des cris de plaisir. C’est comme si dans l’interdiction de jouir avec sa queue, Laurent avait reporté ses sensations au niveau du cul. Et même s’il ne le disait pas à sa femme devenue dominatrice car il espérait toujours avoir le droit de la baiser de nouveau un jour, il aimait être pris par elle, et de préférence sans ménagement comme aujourd’hui. De toute façon, il savait qu’elle le sentait, alors à quoi bon essayer de le cacher ou de réfréner sa nature profonde. La levrette, il ne la pratiquait plus, mais il la subissait beaucoup…

Aussi soudainement qu’elle l’avait pénétré, sa femme se retira.

-Et maintenant file dans la chambre…

 

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