Palmyra de retour sur la scène BDSM et le Dominamag

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BDSM

Pourquoi j’écris ?

J’en ai parlé dans un ancien article.  J’ai animé, pendant plusieurs années, le forum d’une dominatrice très médiatique de la scène BDSM. Ecrire sur le net les louanges des dominatrices était devenu une habitude. Les commentaires laissés sur ce forum qu’ils soient publics ou privés, en aparté, m’ont aidé à grandir. De plus, j’ai eu l’impression à certains moments que j’appartenais du moins virtuellement à toutes les dominatrices. Puis j’ai découvert ce site et j’y ai posté quelques articles pour vous mesdames si nombreuses, pour vous mettre en valeur. Pour moi, c’est devenu une habitude, j’aime vous mettre en valeur, parce que vous hantez nos nuits, vous nous faites rêver, vous êtes nos dominatrices.

Cela fait si longtemps que j’ai disparu de ce site, que je me dois de vous rappeler que je fréquente les milieux BDSM, les milieux travestis, les milieux gays. Les gens « vanilles » vous diront que je croque tous les péchés de la vie. Les gens introduits dans ces milieux vous diront au contraire que je croque tous les fruits de la vie.

Les raisons de mon absence

Parce que tout ceci, il a fallu le mettre entre parenthèses à cause des choses de la vie.  Cette parenthèse sur ces bonnes choses de la vie comme je les considère, je l’ai espérée la plus courte possible. Pour un problème de voisinage récurrent, avec des gens « vanilles » bien évidemment, j’ai quitté mon appartement de ville pour m’installer dans une maison. Pour ce faire, il a fallu reculer encore plus loin dans la province du sud de la France.

J’ai visité cette maison après l’avoir découverte sur un site d’immobilier. Inutile de dire qu’elle était en mauvais état et pourtant j’ai eu un coup de cœur. Et comment vous expliquer, le coup de cœur que j’ai eu pour cette demeure a été BDSM. Au cours de la première visite, j’ai tout de suite été attiré par le potentiel que l’on pouvait en tirer sur le plan BDSM. Lorsque j’ai visité les combles, j’ai immédiatement imaginé les chaînes pendant aux poutres pour y pratiquer des étirements, pour y suspendre des cages d’enfermement, des sacs de contrainte.

La maison parfaite pour un lieu BDSM

Ces combles peuvent devenir un excellente pièce de bondage. Au rez de chaussée, une pièce au plafond en lambris peut faire office de donjon. Sa superficie permet d’y disposer banc à fesser, cage, banc de bondage, un trône pour qu’une dominatrice puisse y prendre place, sans parler de la place pour installer tous les rangements nécessaires aux tenues, chaussures, accessoires. Ses murs en béton permettent d’y fixer une croix de Saint André, le sol carrelé façon vintage, rajoute un aspect sévère et permet de pratiquer des jeux de bougie.

Le jardin ainsi que les environs permettent de pratiquer quelques jeux nocturnes en extérieur.

Tout ceci, depuis des mois est encore en état de travaux.  Les entreprises ont traîné pour venir apporter le coup de rénovation nécessaire. Depuis plusieurs mois, je me suis improvisé maître d’œuvre.

Dans quelques semaines, la rénovation sera terminée. Il sera temps de passer aux équipements BDSM. J’aimerais associer des dominatrices à ces aménagements. C’est là mon projet et mon ambition. Une maison individuelle permet de faire du bruit avec les chaînes.  Le claquement du fouet sur les fesses ne dérange pas les voisins. Ce lieu en province, je le mettrai à disposition de dominatrices qui pourront y sévir en toute tranquillité. Elles pourront y passer quelques jours de vacances si elles en expriment le désir.

Mes projets et mes ambitions

Selon mes projets, ce lieu devrait devenir un lieu de rencontres en organisant des après-midi  ou des soirées tantôt travesties, tantôt BDSM. Ce lieu va bientôt résonner du claquement des talons aiguille sur le sol, du claquement du fouet sur les fesses des soumis, du bruit des chaînes qui priveront les soumis de liberté.

J’ai immédiatement imaginé tout ceci lors de la première visite. Le rêve va devenir réalité, les lieux le permettent, ma motivation est grande.

J’ai accompagné il y a quelques temps une dominatrice de Bordeaux chez une autre dominatrice de la région pour y tourner des vidéos avec d’autres soumis. Pendant toute la journée nous avons organisé plusieurs scénarios dans cette vieille demeure aux murs de pierre, aux planchers en bois, aux poutres majestueuses. Les vastes pièces ont permis à la dominatrice qui nous a reçu de suspendre des cages à plusieurs mètres de haut, d’aménager des cellules avec de vrais barreaux comme les vraies prisons.

Cet exemple illustre le pouvoir des dominatrices de transformer la moindre demeure, le moindre appartement, la moindre cave en un lieu de sévices pour nous soumis. De plus, elles le font avec un tel raffinement que ces aménagements deviennent pour nous des lieux de rêve et de plaisirs.

J’ai fréquenté plusieurs donjons. De plus, j’ai aidé à les aménager ou à les ré-aménager. j’ai passé des heures à y faire le ménage. J’ai trouvé un lieu qui d’après ma première analyse peut devenir un excellent donjon. Mon projet n’est ni fou ni utopique. Je vais le concrétiser, des dominatrices pourront y exercer leurs talents.

Projet pour vous maîtresses.

 

 

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2 réflexions au sujet de “Palmyra de retour sur la scène BDSM et le Dominamag”

  1. Bonjour,
    J’ai beaucoup aimé ton projet. Le Sud ? Au moins, il y a du soleil, de la chaleur… Si un jour tu souhaite un participant, (je suis assez soumis, et pratique le travestissement), n’hésite pas. Bravo pour ce projet, et espère qu’ainsi tu puisses rencontrer beaucoup de personnes qui partagent notre rêve ! l’adoration de la femme !

    Alexandre.

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