Juliette et Pedro, fétichiste des pieds

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fétichiste des pieds

Après-midi détente sur une plage nudiste

-On se met là ? dit Juliette.

-Ouais, c’est parfait, répondit Leïla.

Les deux jeunes amies étaient parties en Catalogne, au cap de Creus, pour une semaine de vacances sur les traces de Salvador Dalí. Elles logeaient dans un mobile-home pas loin de Cadaqués. Elles étaient venues sur cette plage déserte pour se prélasser une après-midi entière et, comme le disait Leïla, « dans l’espoir de mater des gros zizis ». Il y avait juste un coin de sable blanc où les deux jeunes femmes étendirent leurs serviettes. Leïla posa sa serviette sur le sable et se déshabilla. Juliette contempla la toison brune fournie de sa copine, ses seins ronds et ses mamelons pointus.

-Tu te baignes toute nue ?

-Ben oui, c’est bien une plage nudiste, non ?

-Oui, c’est vrai.

Juliette, qui avait eu l’intention de mettre un petit string de bain, se ravisa et décida de faire comme son amie et de se baigner dans le plus simple appareil. En plus, elle venait de s’épiler complètement l’entrejambe et prenait plaisir à se montrer comme cela.

-Moi aussi, je vais me baigner à poil, dit-elle en retirant son string.

-Wouah ! Je savais pas que tu te rasais ! s’exclama Leïla. Ça te va super bien !

-.. ! Merci. Mais j’ai pas ton corps. Toi, tu es sublime.

-Arrête tes conneries. J’ai un trop gros cul.

-Non, franchement, arrête, tu verras, si un mec débarque sur la plage et qu’il se tape une érection devant nous, ce sera grâce à toi.

-Ben pour l’instant, il n’y a personne. Moi qui croyais voir des gros zizis… C’est raté !

-Ben tant pis pour eux, hein ! Allez, viens, on va se baigner…

Séance bronzage et sieste

Elles arrivèrent toutes les deux au bord de l’eau. Avant de plonger, Juliette se pencha pour recueillir un peu d’eau au creux de ses mains, écartant délibérément les jambes pour faire voir sa vulve à Leïla, qui se tenait juste derrière elle. Juliette adorait s’exposer ainsi. Elle était d’ailleurs sûre que son amie n’en perdrait pas une miette. Le fond descendait très rapidement, si bien qu’au bout de quelques mètres seulement, elles n’avaient plus pied. La crique, étroite, était bordée d’affleurements rocheux, dont quelques pitons dépassaient par endroits, formant de mini-îles.

-Ah ! Putain ! Elle est bonne ! s’exclama Leïla.

-Oui ! C’est le pied ! Et qu’est-ce que c’est bon de se baigner à poil !

-Moi, j’adore ça.

Au bout de quelques minutes, elles revinrent sur la berge. Juliette sortit la crème de bronzage et l’appliqua sur le corps nu de Leïla. Elle s’attarda sur les fesses charnues et cambrées de son amie, qui soupirait d’aise. Cette dernière partit pourtant se mettre à l’ombre au bout de quelques minutes.

-Je vais faire une petite sieste, dit-elle en se couchant sur le dos, les jambes écartées pour dévoiler tous ses charmes.

Juliette mit sa serviette à l’ombre à côté de Leïla, qui ferma les yeux. Du coup, elle en profita pour observer son anatomie. Le sexe de Leïla était légèrement béant. Elle replia sa jambe gauche sous ses fesses, le faisant s’ouvrir encore plus.

-Je sais que t’es en train de me mater, dit Leïla d’une voix endormie. Fais-toi plaisir, j’aime bien que tu me regardes.

-Putain ! Je suis prise en flag ! répondit Juliette. Je croyais que tu t’étais endormie.

-Ça ne va pas tarder.

Arrivée d’un bel inconnu !

Juliette s’alluma une cigarette. Soudain, elle vit arriver un jeune homme, qui lui jeta un bref coup d’œil et s’empressa de détourner les yeux. Il était vêtu d’un short bleu moulant et d’un tee-shit vantant une certaine marque de bourbon du Kentucky. Il installa sa serviette et son sac à dos sur un des rochers qui bordaient la crique, à distance respectueuse des deux jeunes femmes. Ensuite, il enleva ses sandales, son tee-shirt et son short. Il resta en caleçon, fuma une cigarette en regardant la mer. Juliette se leva pour aller vers l’eau, le cœur un peu serré. Il va me voir toute nue, pensa-t-elle.

C’est ce qu’elle désirait. Il se leva et enleva son caleçon. Il avait un joli sexe et des grosses couilles bien rasées, ainsi que des fesses bien dodues et cambrées, comme les aimait Juliette chez les hommes, un corps très bronzé partout, comme chez tous ceux qui pratiquent le nudisme assidûment. Pas comme elle dont on voyait les traces de peau blanche sur les seins et les fesses. Puis le jeune homme plongea dans l’eau.

Juliette se mit à l’eau elle aussi. Elle fit quelques brasses et il passa auprès d’elle en nageant. Mais elle avait envie qu’il contemple son corps nu. Aussi se mit-elle à marcher sur les rochers qui bordaient la crique pour que l’eau ne lui arrive qu’aux chevilles. Soudain, elle poussa un cri déchirant. Quelque chose lui avait transpercé le pied. Elle tomba sur les rochers, hurlant de douleur.

Secouru par le bel inconnu !

Le jeune homme se précipita vers elle en nageant. Il sortit de l’eau et la releva.

-Venez, appuyez-vous sur moi, mademoiselle et levez le pied. Vous avez marché sur un oursin, dit-il avec un accent espagnol prononcé mais dans une langue correcte.

-Aïe ! Merci ! dit Juliette dans un sanglot.

Il accompagna Juliette jusqu’à sa serviette, puis la fit s’asseoir.

-J’ai toujours une trousse médicale avec moi, ne vous inquiétez pas, mademoiselle.

Il sortit une trousse de premiers secours de son sac à dos. Il découpa une lingette avec de petits ciseaux et entreprit de nettoyer la plaie avec cette dernière. Avec une petite pince, il enleva les petites aiguilles qui étaient restées fichées dans la voûte plantaire de Juliette et il vaporisa ensuite un peu de produit antiseptique. Puis il posa un petit pansement sur le pied.

-Voilà, c’est fini ! dit-il d’un ton enjoué.

Il se pencha et déposa un baiser sur le pied de Juliette.

-Oh ! Excusez-moi, mademoiselle, dit-il d’un air gêné. Cela m’a échappé, je suis sincèrement désolé, j’ai obéi à une impulsion. Mes plus sincères excuses, vraiment…

-Mais ça ne me dérange pas du tout, monsieur…

-Pedro. C’est mon prénom.

-Pedro, ça ne me dérange pas, vous pouvez continuer. Moi, c’est Juliette.

-Enchanté. Vraiment, je peux ?

Pedro, le bel espagnol, fétichiste des pieds

Pedro se mit à genoux devant Juliette, qui s’était assise sur le rocher, prit délicatement le pied dans ses mains et commença à couvrir ses orteils de baisers. Puis il descendit vers la voûte plantaire et la couvrit de baisers jusqu’au talon. Il prit l’autre pied dans ses mains délicates et recommença la même opération. Il ponctuait ses baisers de petits coups de langue, il léchait chacun des orteils et passait sa langue dans le creux des orteils, délicatement. Juliette était aux anges. Elle se pencha et vit que Pedro était en érection. Ce devait être un fétichiste des pieds. Son sexe se dressait fièrement entre ses jambes. Elle se retourna pour regarder l’endroit ombragé de la plage, où Leïla s’était endormie. Elle vit que cette dernière était réveillée et les regardait fixement.

-Mon amie est réveillée, dit Juliette.

-Ça vous dérange qu’elle nous voit comme ça ? demanda Pedro.

-.. euh… en fait, non.

Juliette fit un signe de la main à Leïla pour qu’elle s’approche. Celle-ci arriva.

-Pedro est en train de me lécher les pieds après m’avoir soignée, dit Juliette.

-Je peux me joindre à vous ? Répondit Leïla.

Et elle s’assit à côté de Juliette. Pedro, le fétichiste des pieds, s’empara du pied de Leïla et commença à le lécher sur toute sa surface. Il baisa un à un chacun de ses orteils. Celle-ci écarta les jambes.

-Lèche-moi là ! Dit-elle.

Juliette n’en revenait pas. Mais Pedro ne se laissa pas démonter. Il plongea sa bouche entre les jambes de Leïla et commença à couvrir sa vulve de baisers. Puis il ouvrit les lèvres de son sexe avec sa langue et lui titilla le clitoris. Il lapait avec avidité le sexe de Leïla, jusqu’à ce que celle-ci se mette à pousser des gémissements de plus en plus prononcés.

Pedro, fétichiste des pieds et homme soumis

Juliette observait cela avec fascination. Tandis qu’il léchait son amie avec un rare enthousiasme, elle posa sa main sur sa tête et lui caressa les cheveux.

-Au fait, ma copine que tu es en train de lécher s’appelle Leïla.

-C’est un plaisir, Leïla, dit Pedro.

Au bout de quelques minutes, Leïla jouit bruyamment.

-Tu peux t’occuper de ma copine, maintenant.

Pedro se mit à lécher le sexe de Juliette avec le même enthousiasme qu’auparavant. Il se tenait à genoux devant elle, le pénis toujours en érection. Lorsque Juliette eut joui, il se releva et dit :

-Merci beaucoup, mesdemoiselles.

-De rien, répondit Leïla avec un sourire narquois.

-Puis-je vous demander quelque chose ? renchérit-il.

-Oui ? dit Juliette.

-Puis-je encore couvrir vos pieds de baisers pour vous remercier ?

-Bien sûr.

Pedro se mit à nouveau à genoux devant les deux jeunes femmes et couvrit leurs pieds de baisers pendant une dizaine de minutes. Il les lécha soigneusement, faisant durer le plaisir.

-Vraiment, encore une fois, merci.

-Pourquoi tu fais ça, Pedro ?

-J’aime les femmes, j’aime être leur chose, leur objet, leur esclave. Je suis ce qu’on appelle un homme soumis et un fétichiste des pieds. Vous m’avez comblé. Merci encore.

Puis il prit ses affaires et s’en fut.

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1 réflexion au sujet de « Juliette et Pedro, fétichiste des pieds »

  1. merci beaucoup , c’est une histoire magnifique et bien écrit aussi ,ca n’arrive qu’au autre ca ce genre d’aventure , encore merci

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