La fille de la voisine, femme dominatrice ? (1)

| | ,

femme dominatrice Rencontre avec ma nouvelle voisine

J’avais été présenté à la voisine quelques semaines auparavant, et je venais enfin d’emménager dans une maison avec un bout de nature comme j’aimais. La voisine était déjà revenue m’accueillir. Malgré son âge avancé, entre 65 et 70 ans, je lui trouvais quelque chose d’agréable même si je n’étais pas vraiment attiré.

Lorsqu’elle vint m’accueillir, elle me dit que vu l’état de la maison que j’avais choisi, j’allais avoir du travail. Elle ajouta  que je ne devais pas pas hésiter à la solliciter si j’avais besoin de quelque chose et notamment de conseils concernant l’aménagement ou la décoration de ma maison.

J’appris quelques jours plus tard, lors d’une de ses visites régulières, durant mes congés d’été,  qu’elle avait une fille qui possédait une maison identique à la mienne. Elle ajouta qu’elle pourrait certainement m’offrir quelques idées précieuses pour gagner en luminosité ou en qualité !

La fille de ma voisine, femme dominatrice !

Chaque fois que cette voisine me rendait visite, elle évoquait sa fille séparée. Elle m’appris, ainsi, que celle-ci, élevait, seule sa fille.  Parfois, elle parvenait à la confier au père. Ma voisine, tendre grand-mère lui gardait régulièrement pour faciliter ses obligations professionnelles. Cette femme avait un caractère affirmé. Elle me faisait penser à une femme dominatrice. Ainsi, je me disais que sa petite fille que j’avais croisée une fois, devait filer droit quand elle était chez elle.

Durant l’été, un soir, où il fait très chaud, je fus très surpris de voir arriver ma voisine accompagnée de sa fille et de sa petite fille. La sueur perlait sur mon torse plutôt poilu et tout de même entretenu. Ainsi, j’avais abandonné le tee-shirt durant la journée me croyant seul, pour peindre les volets à l’extérieur.

-Alors, c’est vous le voisin de ma mère ?

– Et oui, c’est moi !

-Je savais que j’avais une voisine très agréable, mais elle m’avait caché que sa fille était très jolie : lançais-je avec l’aplomb du mâle, un peu macho, en plein bricolage.

Invité par la fille de ma voisine pour un apéritif !

Elle ne releva pas, et me dit poliment qu’il faudrait qu’on se retrouve pour un apéritif un soir. Elle ajouta que si j’étais intéressé, elle pourrait me faire quelques suggestions quant à l’aménagement de ma maison. Je répondis à Séverine que ce serait avec plaisir. Je proposai de nous voir ce week-end afin que ma copine puisse être présente. Ensuite, je lui demandai de choisir entre Samedi ou Dimanche.

Elle me répondit, avec un large sourire, qu’elle n’avait pas envisagé les choses ainsi. Sur le moment, je ne compris pas vraiment ce qu’elle voulait dire. En fait, elle déclara qu’elle préférait plutôt le vendredi soir.

Je rétorquai que ma copine ne pourrait être là vendredi soir. Pour simple réponse, elle me dit  :

-19h, est-ce que cela te convient ?

Surpris par ce tutoiement familier, et ayant souvent été incapable de dire non à une jolie femme, j’acquiesçai. Je lui dis que c’était d’accord. Sa mère surenchérit en disant qu’elle pouvait garder sa petite fille si Séverine le souhaitait pour être plus tranquille. Je tentais de glisser, que non. Je voulais que sa mère, ma voisine avec du charme, se joigne à nous. Séverine, sans s’occuper de moi, lui dit que c’était une très bonne idée. Elle la remercia pour sa proposition spontanée. J’eus l’impression durant cet échange d’être transparent, réduit à un objet, voire inexistant !

Séverine, se tourna vers moi et me dit :

-Et bien à vendredi soir, 19h… j’aime les hommes ponctuels et bien habillés !

Je souris bêtement devant cette sublime femme d’une petite quarantaine d’années, à la plastique irréprochable et au sourire troublant et presque angélique !

En retard pour l’apéritif !

La semaine passa très vite. Je me dépêchai de me préparer ce vendredi soir, après une petite douche, en cette fin de journée ensoleillée. Il faisait encore bon et je décidai de m »en tenir à un simple polo et un bermuda confortable et correct tout de même ! Je saluai ma voisine qui venait de récupérer sa petite fille.

-Dépêche-toi donc… tu es déjà en retard, tu vas mettre ma fille de mauvaise humeur !

J’avais oublié sa remarque sur la ponctualité, et en regardant l’heure sur mon téléphone, je constatai que j’avais à peine 5 min de retard et qu’elle habitait au pire à 3 minutes de là…

Je me pressais tout de même. J’aperçus la fille de ma voisine sur le pas de sa porte, bras croisés, et tapotant de la pointe du pied, comme quelqu’un d’agacé, qui a trop patienté !

-Et bien … voilà comment tu me respectes alors que je t’invite chez moi : me lança Séverine !

Je tentais une boutade en imaginant qu’elle plaisantait :

-Oh, je suis certain que votre mère vous a prévenu que j’arrivais, n’est ce pas ?

-Peu importe, tu es en retard quand même pour notre premier rendez-vous !

La fille de ma voisine est en colère !

Je tentai de reprendre un peu l’ascendant sur cette femme, qui me semblait encore bien jeune, et en tous cas, loin d’être mon aînée. Je lui dis :

-oh, tu ne vas pas m’en tenir rigueur, pour 5 minutes quand même, je peux repartir sinon !

J’avais décidé d’utiliser le tutoiement pour me positionner comme elle sur ce registre.

Je sentis qu’elle se contint de me répondre aussi violemment qu’elle l’aurait fait si nous nous connaissions déjà depuis longtemps.

-Entre ! : me lança-t-elle, comme un ordre.

Elle ajouta sur le même ton.

-tu n’es pas obligé de me tutoyer ! J’aime qu’on me vouvoie, d’autant plus quand on se connaît si peu…

J’allais lui répondre mais la voyant passer au rouge, je m’abstins et j’entrai chez elle.

J’avais à peine passé le pas de la porte, qu’elle me dit qu’elle allait se changer. Elle en avait pour cinq minutes. Elle me dit que je pouvais nous servir un verre de punch et en boire un le temps qu’elle revienne, pour me faire visiter sa demeure.

Je ne me fis pas prier. Elle était sublime. Il faisait chaud. Je me dis qu’avec un peu de chance, j’allais pouvoir dévorer cette sublime femme, la fille de ma voisine. Le punch était frais, et je bus un demi verre presque d’un trait. Je me dis qu’en me dépêchant, je pourrais me re-servir sans qu’elle se rende compte que j’avais déjà bu. Je voulais qu’elle croit, que par galanterie, je l’avais attendu !

Drogué par la fille de ma voisine, véritable femme dominatrice !

Je me hâtai de finir. Elle revint quand j’étais entrain de me resservir. Je tentai de lui faire croire que je me servais pour la première fois après l’avoir attendu. Elle éclata de rire en me voyant reposer la cruche de punch bien frais. Elle dit simplement :

-Et tu penses que je ne sais pas quelle quantité, j’ai faite de ce breuvage !

Elle se mit à rire de nouveau….

-Si tu savais ce qui t’attend !! Tu aurais pu en effet m’attendre…

Mais, tuuu… heu, vous m’avez dit de boire un premier verre !

-oui, et alors ?! Puisque tu as bu presque cul sec, un grand verre de ce nectar, nous allons nous amuser plus vite que prévu !

Je ne compris pas exactement ce qu’elle voulait dire. Je lui tendis le verre de punch que j’avais préparé pour elle. Elle rit en me disant :

-non merci, ce breuvage est pour toi. Je souhaite, être en possession de tout mes moyens !

Ces mots se mirent à résonner dans mon esprit comme un écho. Ensuite, j’eus l’impression d’être étourdi, comme lorsqu’on a trop bu. On est conscient de ce qui se passe sans pouvoir opérer une quelconque opposition à ce que l’autre dit ou fait. Elle me poussa dans le canapé, et sans aucune résistance, je tombai dessus…

Je compris alors que la belle Séverine, femme dominatrice impitoyable, m’avait drogué.

Qu’avait en tête cette femme dominatrice, qu’allait elle faire de moi?

Je n’allais pas tarder à découvrir que cette femme dominatrice avait beaucoup d’imagination.

Previous

Diane, femme dominatrice (2)

L’esclave soumis familial (1)

Next

1 réflexion au sujet de « La fille de la voisine, femme dominatrice ? (1) »

Les commentaires sont fermés.