Offert aux copines de ma femme dominante (8)

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femme dominante

Ce soir, nous nous rendons chez Béa, une amie de ma femme, une femme dominante elle aussi. Ma première rencontre avec elle date de plusieurs mois, lorsque nous avons commencé à « jouer ». Pour ma femme et moi, « jouer » veut dire qu’elle devient ma dominante et moi son soumis, sexuel bien sûr. Elle peut me fouetter et m’attacher. Je suis son sex-toy pour la durée du jeu. Elle avait organisé une soirée chez nous au cours de laquelle elle m’avait donné à trois femmes, dont Béa. Cela a été le déclic pour nous deux. Elle adore, en effet, faire la voyeuse et mater le spectacle d’autres femmes dominantes me soumettant à diverses « tortures ». Le scénario est toujours défini à l’avance, dans le respect de tout le monde. Notre amour et notre couple grandissent à travers ces expériences.

Donc, ce soir nous allons chez Béa pour une nouvelle expérience. J’y suis déjà allé. J’ai été livré, anonymement (cagoule de soumis, attaché sur un banc) à la lubricité de plusieurs femmes, des connaissances de Béa. Ma femme, en femme dominante, avait bien sûr assisté à la séance, masquée et discrète dans un coin de la pièce.
Ce soir, c’est autre chose. Mon épouse a manifesté l’envie de satisfaire un nouveau fantasme qui a pris forme en elle, dit-elle, depuis nos nouvelles pratiques. Elle souhaite se faire baiser par un autre mâle, en ma présence de soumis.
– je voudrais pimenter encore nos jeux, je veux faire de toi un cocu consentant, soumis. Me faire baiser devant toi, je dis bien baiser, pas faire l’amour ; la nuance est importante à ses yeux : me dit-elle.

Nous en avons discuté pendant une bonne semaine, la jalousie me rongeant déjà. Je conviens que ce n’est pas juste. Je goûte à plein d’autres femmes, même dans un contexte particulier, alors qu’elle…
Lorsque j’ai enfin été ok, un peu réticent mais surtout très angoissé, elle a tout organisé avec Béa. Je suis certain qu’elles avaient, déjà, tout concocté d’avance. Elle m’a proposé un code entre nous, une petite phrase à sortir si ça me rebute vraiment et elle arrêtera tout.

-On ne fera rien sans le consentement de l’autre : m’assure-t-elle.

Nous sommes presque arrivés. Durant le trajet, elle ma tenu la main et m’a rassuré sans cesse.

-C’est juste une autre façon de nous faire plaisir mutuellement, de profiter de la vie. Ça ne changera jamais l’amour, l’estime et le respect que j’ai pour toi ; c’est toi l’homme de ma vie, personne d’autre.
Ça me touche beaucoup mais je demande quand même qui est le mâle qui va me cocufier ce soir.
Elle me dit qu’elle l’a déjà rencontré avec Béa, qu’il est au courant de nos jeux et qu’il saura comment se comporter. Elle ajoute que c’est un jeune de 25 ans et qu’il est très vigoureux d’après Béa ???

J’ai 50 ans, ma femme 48, mais le gamin adore les femmes mûres paraît-il. Nous sommes arrivés, ma femme met la main sur le pantalon et constate mon érection. Je suis aussi un soumis cérébral plaisante-t-elle.
– on joue ?
– oui Maîtresse.
La partie est lancée. Nous sortons de la voiture. Elle sort de son sac à main le collier de soumis et la laisse qui va avec et me dit de mettre tout ça. Béa nous ouvre et nous pénétrons chez elle. Elle sourit en voyant le collier et la laisse que tient ma Maîtresse. En femme dominante, elle sait que le jeu est amorcé.
– Steve ne devrait pas tarder : dit elle.

Elles m’emmènent dans la même pièce que la dernière fois, équipée pour des parties fines un peu spéciales. Un grand lit a été rajouté depuis l’autre fois, spécialement pour cette soirée dit-elle. Mes deux Maîtresses s’embrassent goulûment. Une angoisse sourde me ronge.

– allez le soumis ! à poil ! tu seras attaché ! : me dit Béa.

J’ai oublié de préciser que pour la circonstance, elle est en tenue de femme dominante, avec une combinaison cuir noire, des fermetures éclair aux endroits stratégiques (poitrine et entrejambe). Ma femme a mis sa jolie robe bleue roi, des bas résilles noirs et des escarpins noirs. Elle est mignonne, aguichante, comme il se doit. Je suis nu, avec une érection formidable.
– il bande comme ça depuis tout le trajet ; ça t’excite dis donc l’idée de me voir sautée par un autre ?, dit ma femme.
– Elle va bien se faire baiser tu verras, moi je m’occuperai de toi, mets ta cagoule de soumis : fait Béa.

Je n’ai rien à répondre, je suis un peu ko. Je mets la même cagoule en cuir que l’autre fois, ne restent apparents que mes yeux, le nez et la bouche. Béa m’attache à la potence en croix par les poignets et les chevilles, à un mètre du lit.

On sonne, Béa part ouvrir. Ma femme s’approche de moi, m’embrasse et me dit :
– profite bien du spectacle, je te confie à Béa ; ce soir j’ai envie de me faire baiser comme une vraie salope, je vais te faire cocu, laisse toi aller, regarde moi, je t’aime.
Béa revient, suivie de Steve. Il est grand, mince, cheveux noirs mi longs, des yeux gris bleus. Un mec vraiment mignon, d’allure franche et virile. Il est en chemise, jeans. Il me lance un regard appuyé et me sourit. Je bande toujours.

Il fait la bise à ma femme qui se colle à lui. Elle me lance un regard profond, suivi du petit clin d’œil qui n’appartient qu’à nous. Du coup, je me détends, mon espèce de jalousie mal placée fait place à une envie énorme de voir ma chérie prendre du plaisir. Je me libère complètement, je sais aussi que je ne serai pas perdant grâce à l’ingéniosité et à l’imagination de ces deux libertines.
Béa prend place dans un fauteuil à côté de moi, les futurs amants restent debout juste devant nous.

Ma femme pose ses mains sur la poitrine de Steve et commence à le bécoter dans le cou, elle se retourne et se colle à lui. Il lui enserre la taille, elle presse ses fesses contre son pantalon, on peut voir qu’il bande aussi. Elle commence à onduler sans me quitter des yeux, Steve remonte ses mains et commence à lui pétrir les nichons. Dans le même temps, elle dégrafe sa jolie robe bleue, il ouvre la fermeture éclair, la robe glisse au sol, dévoilant un soutien gorge, une culotte et un porte jarretelle bleus du plus bel effet. Ensuite, elle repousse la robe du pied, Steve lui reprend les seins et les malaxe à travers le soutif.

-attends ! : souffle-t-elle.

Elle s’écarte un peu, ôte le soutien gorge et sa culotte. Elle prend Steve aux épaules, le fait s’agenouiller devant elle et colle son bas ventre contre son visage. Puis elle relève une jambe, pose un pied sur le lit. Le mec a compris, il sort sa langue et commence à lui brouter le minou. Elle ondule sous le léchage adroit du jeune mâle, lui prend la tête et la presse contre son sexe. L’autre introduit un, puis deux doigts dans la fente et commence à la doigter tout en la léchant copieusement maintenant. Lui aussi se lâche. Tout ceci à un mètre de moi.
Béa tend son bras et entreprend de me caresser la queue du bout des doigts, elle me regarde et me sourit. Je suis totalement perdu entre de la rage, du bonheur, une reconnaissance infinie.

A présent Béa m’a décalotté et me serre la verge d’une main ; avec les doigts de son autre main, elle me frotte le gland, lentement mais sans aucune pitié. Je suis au bord de l’orgasme mais je n’y arriverai pas de cette façon. Béa le sait, elle sourit et me dit, assez fort pour que les deux autres puissent l’entendre :
– toi tu as interdiction de jouir, le plaisir ce soir c’est pour ta maîtresse.

Ma Maîtresse s’est allongée sur le lit, cuisses largement écartées dans notre direction. Son jeune étalon se met au dessus d’elle, tête bêche, lui met son sexe dans la bouche et commence à faire des va et vient de son bassin. D’une main il entreprend de lui caresser la chatte qui commence à bien couler. Le rythme s’accélère, maîtresse pousse des petits cris de plaisir, le jeune mâle lui baise la bouche. Maîtresse soulève le bassin, Steve colle sa bouche contre son sexe et la suce. Ils se goûtent ainsi pendant de longues minutes. Ça n’en finit pas, les cris de plaisirs deviennent de plus en plus forts, saccadés ; l’orgasme approche.
Béa me masse toujours le gland en regardant les ébats.
– regarde, ta femme va bientôt jouir.

Steve augmente la cadence, sa tête oscille de gauche à droite, d’avant en arrière. Il doigte ma femme à toute vitesse, on entend le clapotis de sa chatte trempée. Elle lâche la queue et je l’entends crier son plaisir : « oh mon dieu, oui, oui, oui, ». Béa arrête son manège, me serre la verge de toutes ses forces puis elle me lâche d’un coup. Elle agrippe mes testicules, les tire et me rappelle la consigne : « interdit de jouir ». Ma frustration est énorme.
Steve retourne ma femme, se met une capote et se couche sur elle, en missionnaire. Maîtresse remonte ses cuisses, j’ai une vue de première sur sa chatte et son anus. Je vois la verge gonflée de Steve entrer lentement en elle et commencer un va et vient langoureux.
– là t’es vraiment cocu, me fait Béa.

Et elle reprend son manège sur mon gland. J’essaie de lancer mon bassin en avant, mais Béa accompagne mes tentatives où me lâche à chaque essai.
« oui oui , baise moi, vas y » grogne ma maîtresse. Steve ne se fait pas prier, il commence à la pilonner de plus en plus fort, de plus en plus vite. Elle ponctue ses coups de boutoirs de petits cris, on entend le claquement de ses fesses contre le pubis du garçon. Je vois les couilles de Steve frapper le cul de ma bien aimée.
– il la baise bien, je trouve, me fait Béa avec un sourire innocent.

Je deviens fou entre ce que je vois, ce que j’entends et cette masturbation qui n’en est pas vraiment une. Je m’agite contre ma poutre mais je suis bien attaché. Steve procure une suite d’orgasmes à ma douce chérie. Il la pilonne de plus en plus vite jusqu’à ce qu’elle hurle son bonheur puis il recommence doucement, attentif à la montée du plaisir. Quand il sent que ça vient il accélère et la défonce jusqu’à l’orgasme suivant.

Béa continue son traitement sur ma verge et mon gland, imperturbable ; les deux amants se séparent enfin, Steve se met sur le dos. Ma femme reprend ses esprits. Elle jette un œil vers moi et sourit, elle voit comment Béa s’occupe de ma queue et se marre. Elle fait signe à Steve de se déplacer un peu et s’installe sur lui en 69. J’ai une vue sur la bouche de Steve qui lui lèche le sexe, mais aussi sur sa bouche à elle qui lui pompe avidement la queue.

Elle est en appui sur les deux mains et suce la verge pendant qu’elle frotte sa chatte sur le visage de l’étalon. Steve remonte son bassin en prenant appui sur ses pieds, elle peut mieux sucer ainsi. Là aussi ils font durer la chose de longues minutes ponctuées de râles de plaisir. Ils parviennent enfin à un orgasme simultané. Ma femme laisse couler un peu de sperme de ses lèvres pour que je voie bien, le reste est avalé. Elle baise le visage du jeunot et lui coule abondamment dans la bouche dans un dernier orgasme. Ils se séparent et s’écroulent sur le lit. Steve se relève et sort, ma maîtresse vient se coller contre moi.

Sans un mot elle cale mon sexe entre ses cuisses et se frotte les lèvres de sa chatte dessus. Elle est chaude, gonflée et trempée. Puis elle m’embrasse à pleine bouche, partageant avec moi les restes de foutre qu’elle vient d’avaler. J’explose et j’éjacule entre ses cuisses. Elle arrête tout de suite et m’engueule.
– ça va pas non, tu éjacules à tort et à travers.
Elle ponctue ses paroles de bonnes claques sur ma verge, le reste de mon sperme reste bien sagement au fond de mes couilles. Béa éclate de rire, ainsi que Steve qui était revenu entre temps.
Je gémis de honte et de rage mais je sais aussi que c’est le jeu de ma femme dominante. Mon orgasme a été frustré mais j’ai bon espoir. Mes maîtresses finissent toujours par me combler, je suis fier des orgasmes de ma femme dominante !

 

 

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2 réflexions au sujet de “Offert aux copines de ma femme dominante (8)”

  1. La dominatrice joue, dans le cadre d’une pratique dominante, un role tres different de celui qu’elle incarne en tant que femme a la ville ou au foyer. Elle apprend, dans la situation du contrat, a tirer parti de la puissance erotique que constitue ce rapport particulier a l’autre.

  2. Quelle histoire de cocu soumis acceptant sa position ! Une vraie remise à sa place de cet homme soumis !

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