Ma petite amie dominatrice (4) : donjon mystère

| | ,

dominatriceUne ballade en voiture avec cette femme dominatrice

J’étais mal… très mal ! J’avais fait la connerie de l’énerver , qui était cette maîtresse dominatrice Lou ? Etait-ce réellement maîtresse Lou ou bien était-ce un faux nom ? J’avais peur de ce qu’elle pouvait me faire. J’avais encore le goût de son urine mélangé à celui de mon sperme en bouche. C’était infecte , presque insoutenable. Elle ne me laissa aucun répit. Je sentais encore un picotement aux joues suite à la paire de gifle que je venais de recevoir. Juste après ces gifles, je l’entendis défaire mes menottes. Allait elle me libérer ou bien est-ce juste pour changer de position ?

J’avais alors une lueur d’espoir. En effet, je n’étais plus retenu par ces menottes. Mais l’espoir prit vite fin car elle me mit les bras dans le dos. Ensuite, elle me menotta les mains en serrant les menottes extrêmement fort. Je n’avais pas mangé depuis hier soir et j’étais fatigué. Aussi, je ne pouvais pas lutter. Je n’en avais pas la force. Après, je sentis du cuir se resserrer sur mon cou. Deux secondes après, je fus tiré par le cou. Elle était bien en train de me tirer en laisse. J’étais traité comme un chien, mais je n’avais pas d’autres choix que de la suivre. Je devais la suivre à l’aveugle car elle ne m’avait pas enlevé le bandeau. Sur le chemin, je me suis cogné contre des meubles ce qui la fit rire. Je la soupçonnais de l’avoir fait exprès.

Rencontre avec le facteur

Enfin, nous arrivâmes devant la porte d’entrée. Je l’entendis ouvrir la porte et je me mis à ressentir un élan de panique. Je vous rappelle que nous étions au quatrième étage et sans ascenseur. De plus, j’étais toujours nu avec une cage de chasteté, menotté dans le dos, tiré en laisse par une femme dominatrice que je ne connaissais pas. J’avais tellement peur de croiser quelqu’un ! Mais si j’avais croisé quelqu’un, je crois que j’aurais très certainement entendu une réaction. Je ne voulais pas que l’on croise qui que ce soit.

Enfin, nous arrivâmes à la porte d’entrée de l’immeuble par la sortie parking. Nous n’avions croisé personne et cela me soulagea énormément. J’entendis la porte s’ouvrir puis j’entendis ma mystérieuse maîtresse dire :

-bonjour M. Le facteur !

Etait-ce réel ? Ou bien voulait-elle juste me faire peur ? Une voix d’homme répondit alors :

-euh… bonjour !

Puis, j’entendis des pas pressés derrière nous. Il était parti. Mon dieu quelle honte… être vu ainsi, je ne pouvais pas ! Ce devait être un cauchemar et j’allais me réveiller. Elle continua de me tirer et me fit monter à l’arrière d’une grande voiture. Elle monta derrière avec moi.

-A genoux en face de ta maîtresse sale chien puant !

Récompensé par cette femme dominatrice

Son ton agressif me fit tellement peur que je m’exécutai directement sans même réfléchir. Je sentis alors sa main me caresser les cheveux.

-Qu’est-ce que ça te fait d’avoir été vu par le facteur ?

_ J’ai honte maîtresse !

_ Et dire que tu risques de le croiser très souvent, à ton avis que pense-t-il de toi ?

_ Que je dois être pathétique …

_ Tu l’es, tu es pathétique, abruti, incapable, bon à rien ! En fait, tu es juste un jouet parmi tant d’autres pour nous. Tu ne vaux pas plus qu’un verre de champagne.

_ Oui maîtresse, je ne suis qu’un toutou, un petit soumis, un grain de poussière, je suis l’imperfection plaquée sur une perfection.

Je m’étonnais d’avoir dit ça. Même si ce qu’elle venait de dire me faisait très mal, c’était sorti d’un coup, naturellement. Je compris par son silence qu’elle fut elle-même surprise. Après quelques secondes de blocage, elle m’agrippa fortement les cheveux.

-Tu as mérité une petite récompense !

Elle plaqua alors ma tête contre ses seins. Ainsi, j’avais ma tête bien calée pile entre les deux. Je pouvais maintenant ajouter aux caractéristiques de cette femme dominatrice une poitrine pulpeuse, bien douce et bien ronde. Aussi, je peux vous dire que je n’avais pas froid aux oreilles. Je sentis aussi un peu de cuir sur le côté. Elle portait une tenue en cuir depuis tout ce temps ? Alors elle aussi a été vu par le facteur ? Ça ne lui a rien fait, ou était elle gênée ?

Elle me retira la tête d’entre ses seins avec force et agressivité ce qui me fit mal aux cheveux.

-Merci maîtresse ce fut un éternel plai…

Ma Maîtresse dominatrice prend du plaisir !

Je fus coupé par une vive douleur. Je voulais bander mais la cage me l’interdisait avec douleur. Elle me reprit par les cheveux puis me colla la tête entre ses jambes. Elle ne portait pas de culotte.

-Allez fait ton boulot de petit chien : sors ta langue et lèche ta maîtresse.

Son entrejambe dégageait une odeur forte d’urine. Je surmontai mon dégoût et sortis ma langue. Je me mis à la lécher entre les parois de haut en bas, je l’entendis gémir légèrement. Ensuite, je passai des coups de langue sur son clitoris, ce qui la fit réagir plus intensément. Elle gémit plus fort et appuya ma tête plus fort contre sa fleur. Je me sentais bien, je ne me sentais plus en état de soumission totale. Mais la douleur générée par ma cage de chasteté me ramena à la réalité. J’avais de plus en plus de mal a me concentrer sur la lèche car la douleur se faisait de plus en plus intense.

J’entendais ma maitresse gémir et se tortiller de plaisir en appuyant toujours plus fort ma tête sur son sexe. Je m’efforçais de faire ça bien en alternant les coups de langue entre son clitoris et ses parois. Elle avait l’air de plutôt apprécier. Je me mis alors à rentrer ma langue à l’intérieur de son minou et à faire tourner ma langue. Je l’entendis alors pousser un cri de plaisir.

-OUVRE GRAND LA BOUCHE SALE CHIEN !

Ma Maîtresse dominatrice est une femme fontaine !

Alors une déferlante de jouissance m’arriva en bouche. Elle était, en fait, une femme fontaine. Je n’avais pas d’autre choix que de tout avaler. Je ne pouvais pas dire que ça avait bon goût, mais c’est tout de même bien meilleur que l’urine ou le sperme. Elle retira ma tête de ses jambes et me regarda tremblant légèrement de douleur.

-Pourquoi trembles-tu p’tit chien ?

_ A cause de la douleur générée par la cage de chasteté maîtresse

_ Cela signifie que tu bandes ? Mais pourquoi bandes tu ?

_ Pour vous maîtresse !

Elle éclata alors de rire. Elle se moquait de moi et j’avais honte. Puis la voiture s’arrêta.

-On est arrivé sale cabot puant, alors comporte toi comme un bon chien et PEUT-ETRE que je serais gentille.

La chambre rouge

Elle sortit de la voiture et me tira par la laisse. Je sortis puis je restai debout en attendant les ordres. J’étais toujours nu avec la cage et les yeux bandés. Ensuite, je reçus un coup de cravache puissant sur les fesses qui me fit crier et faire quelques pas en avant, puis un deuxième et un troisième à la suite. Quelques larmes de douleurs coulèrent sur mes joues.

-Les chiens doivent être à genoux ! sale clébard de merde !!! TU ES TOUT JUSTE BON A LÉCHER OU QUOI ???

Oups, j’avais fait une boulette. Aussi, je me mis directement à genoux puis m’inclinai devant elle.

-Pardon maîtresse, cela ne se reproduira plus !

Je me repris 3 coups à la suite, tous aussi puissants que les 3 précédents, mais cette fois-ci sur les boules. Mon dieu quelle douleur ! Vous n’auriez pas eu envie d’être à ma place croyez moi. Si mes mains n’avaient pas été attachées, j’aurais été en train de me tenir les boules. Cependant, comme elles l’étaient, je ne pouvais que baisser la tête et toucher le sol en criant de douleur.

-Depuis quand les chiens parlent-ils ? Tu aboies et couines, et gare à toi si tu grognes !

Electrodes posées sur mon corps !

Elle se mit alors à tirer super fort sur la laisse. J’étais à genoux et donc plus lent. De plus, le frottement de mes genoux au sol me faisait mal. Je l’entendis ouvrir une grande porte, qui grinçait beaucoup. Le fait de passer des cailloux du parking au froid d’un parquet était, assez agréable, en fait. Mais je n’eus pas le temps de me reposer. En effet, elle me fit aller dans une pièce au fond d’un long couloir. Dans ce très long couloir, je me sentis fortement rougir car a à côté de nous j’entendais des bruits de talons aiguilles. Cependant, je fus surpris de n’entendre aucune remarque ou autre bruit démontrant une quelconque surprise.

Nous arrivâmes à la salle. Je sentis qu’il y avait de la moquette dans cette pièce. Merci mon dieu ! Que c’était bon ! Traverser ce couloir sur les genoux avait été très douloureux. Je pense que mes genoux devaient être rouges. Ma maitresse me détacha les mains et me fit asseoir sur une chaise. Ensuite, elle me lia chaque cheville à un pied de la chaise différent , puis les poignets aux deux derniers pieds. Elle me mit des électrodes sur le corps, des pinces sur les tétons et les couilles ce qui me fit gémir de douleur. De plus, elle me mit un bâillon boule. Je ressentis d’un coup une impulsion électrique puissante. Mais elle n’était pas douloureuse, elle était excitante. Je me mis à gémir dans le bâillon boule, sentant ma bave couler le long de mon menton. Ma cage me faisait horriblement mal.

-Bon sale chien ! Maintenant, tu vas rester là bien gentiment, et si quelqu’un vient jouer avec toi, t’as intérêt à lui obéir au doigt et à l’œil sinon… »

Le jouet de ces dames

Sur cette parole, je la sentis poser son pied sur mon sexe et faire pression dessus ce qui me fit énormément mal. Je compris que je n’avais pas intérêt à faire ma tête de mule. Après quelques secondes, elle enleva son pied et partit de la pièce. J’étais alors seul dans cette pièce, que j’imaginais être une chambre de torture, plus communément appelée « chambre rouge ».

J’étais seul dans cette pièce. Un courant électrique me parcourait tout le corps. J’étais attaché à une chaise, les yeux bandés, un bâillon en bouche et le sexe encagé. Il faisait extrêmement chaud dans cette pièce, et j’avais peur de ce qui m’attendait. Je gémis de douleur sans répit à cause de la cage qui m’empêchait une érection. De plus, les pulsions électriques étaient là pour m’exciter. Ainsi, il s’agissait d’une combinaison bien sadique et presque infaillible.

Soudain, j’entendis des bruits de talons qui se dirigeaient vers moi. Je n’étais plus seul dans la pièce. De qui pouvait-il bien s’agir? Maîtresse Lou ? Ou bien ma Maîtresse Chloé ? Ou même une autre ? Je n’en savais rien. Elle m’enleva toutes les pinces des courant électriques, puis me détacha. Je sentis des filets de bave couler un peu partout sur ma mâchoire et mon torse. Je restai assis sur la chaise attendant les ordres. J’avais peur de recevoir une possible punition si je ne faisais pas ce qu’il fallait.

Présence de ma nouvelle Maîtresse Chloe

Soudain, je sentis sa langue me lécher le torse, remonter ma mâchoire, pour finalement me lécher les lèvres. Un grand frisson me parcourut. Elle venait de me laver de ma bave avec sa langue. Cela ne ressemblait à aucune des maîtresses que j’avais rencontrées jusqu’ici. Aucune n’avait sa tendresse, ni son odeur. C’était une odeur enivrante et envoûtante, et surtout familière. Je tombai sous le charme comme lors de ma rencontre avec Chloé. Cependant quelque chose me taraudait, je sentais une autre présence dans la pièce.

Pas le temps de me poser de question, je sentis la même langue me lécher le téton. Je gémis de douleur. Satanée cage, quand allait-on me l’enlever ? Je sentis alors une main qui me caressa lentement et tendrement les testicules. J’ouvris les yeux en grand, je ne pouvais évidemment rien voir à cause du bandeau, mais je ressentais une incroyable douleur à la base de mon sexe. Les larmes coulèrent alors. Cette femme incroyable s’arrêta et dit :

-tu peux y aller.

Évidemment, ce n’était pas à moi qu’elle parlait, mais bien à la personne derrière moi qui partit alors. Mais ce n’était pas cela qui me troublait le plus, ce qui me troublait le plus c’était que cette voix était en fait la voix de ma toute nouvelle maîtresse Chloé. Etait-ce vraiment elle ? Je le pense oui.

Previous

Parcours d’un Slaveboy : le centre de dressage (2)

Professeur soumis à ses étudiantes dominas (25)

Next

1 réflexion au sujet de « Ma petite amie dominatrice (4) : donjon mystère »

Les commentaires sont fermés.