Ma belle-mère dominatrice (2)

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ma belle-mère dominatrice

Seul avec ma femme !

Que me réserve Mère Héléna, ma belle-mère dominatrice, jusqu’où a-t-elle l’intention de me pousser pendant ces quatre semaines à la maison ?

Quand je repris mes esprits, je vis les deux femmes assises sur le canapé.  Valérie me dit fermement :

-Avant que tu n’ailles dans la chambre de ma mère, je veux avoir une petite conversation avec toi.

-Maman, nous serons prêts dans quelques minutes et je te la laisserai à ta disposition pour que tu puisses la prendre en mains sérieusement.

Mère Héléna fît juste une remarque :

-D’abord, il faut qu’elle se rhabille convenablement.  Elle a l’air d’une fille de joie, juste avec son corset, ses bas et ses talons aiguilles.  Il faut lui apprendre à rester simple dans la maison.

Elle m’aida à enfiler mes vêtements et prit un soin particulier à bien fermer la jupe droite qu’elle m’avait confectionnée, m’obligeant ainsi à faire de tout petits pas.  Tête baissée, je suivis ma femme du mieux que je pus dans notre chambre.  Mais était-ce encore la nôtre ?  Est-ce que je dormirai ici à nouveau un jour, après ce qui c’était passé ce soir ?  Valérie s’assit sur le lit et me dit de fermer la porte.

-Approche toi et mets-toi à genoux devant moi, John !

Avais-je bien entendu ? M’avait-t’elle appelé par mon nom ? Y avait-il encore de l’espoir ? Je m’avançais lentement vers elle. Ensuite, je me mis à genoux difficilement devant elle à cause de l’étroitesse de ma jupe droite.  Je relevai la tête vers elle et la regardai dans les yeux.  Elle se pencha vers moi et prit mon visage dans ses mains magnifiques.

Poussé à la révolte par ma femme

Elle regarda mon visage et examina ce qui se passait derrière ce maquillage.

-Chéri, on ne peut pas revenir sur ce qui s’est passé ici depuis que Maman est arrivée.  Je sais que tu dois te sentir humilié, mais je t’aime encore et tu es toujours mon mari.  La seule chose, c’est que je ne peux pas me battre à ta place contre ma mère.  C’est à toi de le faire.  Tu as vraiment l’air d’une fille, comme ça !  Où est l’homme que j’ai épousé il y a quelques années ?  Allez, va maintenant.

Elle m’aida à me relever et me raccompagna à la porte de notre chambre.

Je pensais que j’allais montrer à Mère Héléna qui était l’homme de la maison. Mes talons de 6 centimètres cliquaient bruyamment sur le parquet.  Je m’arrêtai pour tenter de me calmer un peu pendant un moment avant d’aller affronter ma belle-mère dans la chambre d’amis.

Elle m’attendait.

Souriante.

-Alors Johanna, tu es enfin là.  Qu’est-ce qui t’a pris autant de temps ? Viens ici, maintenant !  Je vais t’apprendre tout ce que tu dois savoir sur l’hygiène féminine, ma fille.

Je restais planté là, défiant ses ordres.

-Bonté divine ! Que s’est-il passé dans la chambre de ta Maîtresse ?  Tu as l’air viril tout à coup !  Hihihihi. Elle rigola jusqu’aux larmes qui lui coulaient sur les joues. Mon Dieu ! Ce que tu es drôle !  Je croyais que nous avions réglé ce problème. Regarde de quoi tu as l’air.  Jette un coup d’œil dans la glace et dis-moi si tu vois un homme ?

Elle se leva d’un bond et me poussa en face du miroir.  Je ne voulus pas le regarder.  Je savais bien que je n’avais pas l’air d’un homme comme ça.  Comment aurais-je pu, habillé ainsi ?

Début de rébellion !

Je me dégageai de son emprise et lui dit :

-Oui, je sais que je ne suis pas habillé comme un homme, mais c’est vous qui m’avez forcé.  Ça ne veut pas dire que je ne suis pas un homme car je suis un homme et vous le savez.  Je vais vous le montrer.

Je commençai à déboutonner mon chemisier, mais elle s’était remise de la surprise de ma rébellion inattendue.  Une fois de plus, je fus surpris par la force et la rapidité de ma belle-mère dominatrice. En un mouvement, elle fût sur moi, me tordit le bras dans le dos et me poussa vers son lit. Je trébuchai et tombai dessus. Ensuite, je l’entendis fouiller dans la table de nuit et le temps que je réagisse, elle sortit une paire de menottes.

Je m’y attendais et quand elle essaya de me les passer, j’arrivais à l’y empêcher, du moins pour un court instant.

Nous luttâmes un bon moment, mais elle avait l’avantage de ne pas porter une jupe étroite et de ne pas avoir d’escarpins de 6 centimètres aux pieds.  Le combat était inégal et s’arrêta rapidement.  Mes mains menottées dans le dos, je savais que j’avais laissé passer ma chance et elle le savait également.

-Bel effort pour une faible fille comme toi, mais chérie tu aurais dû savoir que, en plus de Valérie, j’ai élevé quatre garçons et qu’ils m’obéissent tous.  Pourquoi penses-tu qu’ils le fassent ?  Simplement parce que je leur préparais de bons petits plats ?

Corrigé par ma belle-mère dominatrice !

Son rire résonna dans mes oreilles.  Elle me releva et me remit sur son lit, fesses en l’air.  J’attendais, résigné dans cette position.  Je l’entendis fouiller dans l’armoire.  Elle revint et ouvrit ma jupe, la retira et baissa ma culotte sur mes chevilles.  Elle me remit en position debout, me montra une paddle en bois et me la mit sous le nez.

-Combien crois-tu que ta rébellion va te coûter, ma fille ?

Je ne répondis pas et cela la mît encore plus en colère.

-Bien, tu viens de gagner dix coups supplémentaires à ne pas me répondre.  Laisse-moi réfléchir…  Pour ta conduite inadaptée, tu recevras 20 coups, plus 10 pour ne m’avoir pas répondu.  Ça nous fait donc 30 coups.  Je parie que ton joli petit cul, va avoir une jolie couleur après notre petite séance.  Je choisirai le rouge à lèvres qui lui correspondra, ma chérie.

Elle s’assit sur le lit.  Je la regardais et la supplia.

-S’il vous plait Mère Héléna,  je ne recommencerai plus, j’ai compris la leçon.

Elle rit aux éclats à nouveau.

-Tu n’as rien compris du tout.  Si je promets quelque chose, tu peux compter sur moi pour le faire, ma chérie.  Je veux le meilleur pour toi.  Si tu sais ce qui est bien pour toi, arrête de pleurnicher et accepte ta punition comme une bonne fille.

Cette humiliation cessera-t-elle un jour?

Je la regardais et me mît doucement en position sur ses genoux.

-C’est bien, ma chérie.  Commençons à présent.  Avant que je n’oublie, voudrais tu compter chaque coup et me dire merci à chacun d’entre eux, s’il te plait ?  Autrement, j’ai peur de devoir ajouter un coup à chaque oubli.  Tu as compris Johanna ?

Fessé avec un paddle

Je hochais doucement la tête en signe d’acceptation, vaincu.

-Je n’ai pas entendu ma chérie ?

Finalement, je lui répondis docilement :

-Oui, Mère Héléna, je n’oublierai pas.

Dès que je lui répondis, le premier coup s’abattit sur mes fesses nues.  Je criai de douleur, surpris par l’intensité du coup.  Avant que je ne dise un mot, deux, trois puis quatre coups s’abattirent sur mon postérieur en succession rapide et ininterrompue.  La douleur était si intense que je ne pouvais plus respirer et je pleurais sans retenue.

-Ça fait mal, chérie ?  C’est pour ton bien.  Nous devons extraire cette stupide attitude macho qui est en toi.  Tu ne m’as d’ailleurs pas remerciée à chaque coup comme tu l’avais promis !  Reprenons… A partir du début.

-Oh Mère Héléna, arrêtez s’il vous plait.  Ça fait mal, j’ai les fesses en feu.  Je vous promets que je n’aurai plus de comportement macho à l’avenir.  Arrêtez, s’il vous plaît, ne me frappez plus.

Elle pouffa de rire.

-Pas question, ma fille, tu ne me voleras pas cet instant de plaisir.  Je compatis, et tu n’es plus obligé de compter les coups sinon, tu ne seras jamais prête pour le petit déjeuner.  J’ai besoin d’une bonne nuit de sommeil réparatrice, tout comme toi, ma chérie.

Pas un coup de manqué et je vis Valérie arriver pendant ma correction, bouche ouverte avec une expression étonnée et dégoûtée en même à la fois.  Elle partit et ferma la porte derrière elle.

-Qui es-tu ? Entendis-je Mère Héléna me demander ?

En sanglotant et en frottant mes fesses, je répondis :

-Je suis une fille et mon nom est Johanna, Mère Héléna.

-Tu veux ajouter quelque chose d’autre ?

Acceptation de ma soumission !

Je savais ce qu’elle attendait de moi et je savais également que j’allais lui donner satisfaction, car je ne voulais pas qu’elle recommence à me fesser.

-Oui, Mère Héléna.  Je veux rajouter quelque chose.  Je vais essayer d’être ce que vous attendez de moi.

-Bien.  Dis-moi ce que j’attends de toi.  Je veux que tu deviennes une sissy.

Aussi, je rougis et dis :

-Je veux devenir la bonne de Valérie comme vous le souhaitez, Mère Héléna.

-Bien, ma petite.  Qu’est-ce qu’il y a de difficile à admettre que tu es une fille et pas un homme ?  Tu n’as qu’à prendre le dessus sur ce reste de machisme et penser comme la fille que tu es.

Ayant dit cela, elle me retira mes menottes et farfouilla dans son armoire de laquelle elle sortit une nuisette rose avec sa culotte fleurie assortie qu’elle me tendit.  Je les enfilai docilement et je vis son sourire ravi.

-Le rose te vas à merveille, chérie.  Je vais t’habiller en rose pour le restant de tes jours.

Je restais en face d’elle, me sentant ridicule dans mon corset serré, mes bas et mes escarpins qui contrastaient joliment avec ma nuisette et ma culotte rose à fleurs.

-Mère Héléna, s’il vous plait, laissez-moi retirer mon corset.  Il est si serré.  Je ne pourrai pas dormir avec.

Elle leva la main et dit :

Pas de pleurnicheries inutiles.  Tu en as besoin pour avoir la silhouette que je veux que tu aies.  Tu le gardes pour la nuit.

Début de ma transformation en Sissy !

Puis elle alla à sa table de nuit et prit deux pilules dans un flacon de verre posé dessus.

-Ces pilules vont t’aider à contrôler ton reste de machisme.  Tu en prendras deux chaque matin et deux chaque soir.

Je les pris dans mes mains, les regardai un instant et doucement les portai à ma bouche pour les avaler.

-Bien, dit-elle en souriant, tu viens de faire le premier pas vers la féminité ma chérie.  Je suis fière de toi.

Puis elle alla vers la salle de bains, semblant avoir oublié ce qu’elle voulait m’apprendre sur l’hygiène féminine.  Elle mit un certain temps avant de ressortir habillée gracieusement d’une longue chemise de nuit en soie, qui cachait quelque peu ses seins amples mais encore fermes.

-Je t’ai préparé quelque chose à laquelle tu devras t’accoutumer, dans la salle de bains.  Les femmes veulent toujours que leur chatte soit propre pour leurs hommes.  Donc, nous nous douchons.  Puisque tu n’as pas de chatte naturelle mais que tu veux être propre, je vais te montrer comment faire.

Elle m’emmena dans la salle de bains où je vis qu’elle m’avait préparé une autre tâche humiliante.  Mère Héléna sourit quand elle vit mon expression.

-Je vois que tu sais ce qu’est une poche à lavement.  Tu le feras chaque matin et avant d’aller te coucher à partir de maintenant et bien sûr à chaque fois que tu vas aux toilettes.  Tu dois être propre en permanence.

Ultime humiliation !

Je rougis jusqu’à la racine des cheveux, face à cette nouvelle humiliation.  Elle me fit signe de me pencher et me baissa rapidement ma culotte sur les cuisses.  Sans cérémonie aucune, elle m’introduit l’embout dans ma « chatte » et je sentis l’eau chaude savonneuse m’envahir.  Petit à petit mon ventre se dilata pour atteindre des proportions de femme enceinte.  Je fus soulagé quand je pus enfin me vider assis sur la cuvette des toilettes.  Elle me remplit et me vida encore deux fois avant qu’un liquide clair ne sortit de mon fondement.

-Maintenant, tu sais comment faire et j’attends que tu sois rigoureuse sur ce point.

Je hochais simplement la tête et dit :

-Oui, Mère Héléna.

Quand nous eûmes fini, nous allâmes vers nos lits, mes pieds toujours enfermés dans mes escarpins.  Elle s’allongea et dit :

-Viens me souhaiter bonne nuit, Johanna !

J’obéissais et allais vers son lit pour lui donner un baiser sur les joues.

-Mère, pourriez-vous me détacher mes escarpins ?  Ils sont jolis mais ils me font très mal et j’ai peur de ne pas pouvoir dormir si je les garde dans mon lit.

Elle me regarda avec un air faussement apitoyé, éteignant sa lampe de chevet.

-Tu as besoin de t’y habituer ma chérie.  Il n’y a pas que les escarpins qui sont jolis, tes jambes également avec tes bas.  Bonne nuit, dors maintenant.

Je retournais à mon lit, les yeux remplis de larmes sans autre choix que de dormir habillé comme je l’étais.  Bien que serré très étroitement dans ma tenue de nuit, je m’endormis comme une masse jusqu’au réveil qui sonna à 6 heures du matin.

Quelles nouvelles épreuves avait prévu ma belle-mère dominatrice pour aujourd’hui ?

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6 réflexions au sujet de “Ma belle-mère dominatrice (2)”

  1. Bonsoir,SI Mère Héléna souhaite avoir une autre femelel à pouvoir prendere en main,je serais heureuse et ravie de pouvoir devenir sa protégée pour la vie,SANS retour en arrière,ni de remise en liberté.
    Mère Héléna,ou une autre Femme Dominante,ferme et sévère,acceptez vous de me contactée je vous en remercie de tout cœur.
    Laeticia,soumise sans appartenance.

  2. à quand la belle-mere-dominatrice-3 , les hormones qui fait plus peur ,une Femme qui faut pas défier Mère Héléna

    • Bonjour à tous, merci pour vos commentaires qui m’encouragent à continuer la saga de Mère Héléna.
      Attention à vous, « Ma Belle Mère Dominatrice-3 » ne devrait pas tarder à arriver

  3. Super idée, j’aime beaucoup le début de rébellion qui s’efface rapidement face à l’ordre naturel des choses… et le plaisir que l’on éprouve à être soumis…. Mère Héléna, on rêve tous de lui être soumis…
    Bonne continuation !

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