Ma belle-mère dominatrice, fin du dressage?

| | ,

ma belle-mère dominatrice

Transformé en bonniche par ma belle-mère dominatrice !

Après une courte nuit de sommeil, je rêvassais dans mon lit. En fait, je repensais à ce qui venait de m’arriver ces derniers jours. En effet, après quelques jours passés chez nous, ma belle-mère dominatrice, Héléna avait pris en main mon destin. Elle m’avait transformé petit à petit en bonniche. De plus, elle m’avait obligé à quitter le lit conjugal pour me faire dormir dans sa chambre et ce afin de mieux me prendre en main.  Avec ma femme, devenue Maîtresse Valérie, elles m’avaient emmené dans un centre commercial pour me faire un maquillage permanent.

Depuis ce jour, je porte en permanence des habits de femme et une ceinture de chasteté. Je ne voulus pas me lever quand le réveil sonna à 6h00 du matin, mais Mère Héléna me dit d’aller faire ce que j’avais à faire dans les toilettes.  Elle me suivit dans la salle de bains.  Elle resta à la porte me regardant quand je m’assis sur les toilettes.  Je relevai ma chemise de nuit rose, baissai ma culotte de la même couleur et je fîs pipi assis comme une femme.
-Plus de problèmes avec les traces sur l’abattant des toilettes quand tu es assise.  C’est quand même mieux, pour toi. : dit-elle.  Avant, avec tes efforts ridicules pour passer pour un homme, tu devais essuyer tout le temps le siège des toilettes.  Maintenant, tu n’as plus rien à faire.  Ça reste propre.
Je la regardai et je fis oui en hochant de la tête.  Je murmurai :
-Merci de m’avoir fait assoir pour aller aux toilettes, Mère Héléna.

Le plug anal

Elle me sourit et parut contente de ma réponse.  Je m’essuyai comme elle me l’avait appris et elle me fit me déshabiller. Elle retira ma ceinture de chasteté.  Mon sexe reprit vie instantanément et lui toucha presque le visage.  Cette faute fut immédiatement réprimée par une claque vigoureuse sur le pénis.  Je criai de douleur, mais la claque eut l’effet désiré et mon pénis rétrécit jusqu’à disparaître presque complètement.
-Voilà, c’est la bonne taille pour une fille, ma Chérie.  Ta zigounette ne doit pas être plus grande qu’un clitoris de femme, ma belle, et je vais faire le nécessaire pour qu’elle ne le redevienne pas.
Elle me nettoya la zigounette et me la remit en place dans la ceinture de chasteté.  Puis elle me remonta la culotte et passa la main sur le devant, tout plat, tout lisse.
-C’est mieux comme ça.  Continue à bien te comporter, comme je te le demande et tout ira bien.  Je suis sûre que tu ne vas pas tarder à aimer ce que je vais te faire.  Nous ne sommes pas loin d’être amies, je le sens.
Puis je l’aidai à s’habiller.  Elle m’ordonna de me pencher en avant, mains sur le lit.
-Ne bouge pas ma fille !  Elle me lubrifia le petit trou et sans plus de cérémonie elle m’enfonça un plug anal dans le fondement.  Elle me mit une petite claque sur les fesses.
-Très bien, voilà qui devrait t’aider à te tortiller quand tu marches et à avoir une jolie démarche bien féminine.

La paire de seins en latex !

Puis elle sortit ma tenue pour la journée en me disant :
-Habille-toi et descend préparer le petit déjeuner !
Je pris le corset blanc à dentelles et l’enfilai.  Mère Héléna serra les lacets étroitement dans le dos.
-Mmmmmm, ta taille a déjà bien rétréci !  Tu t’adaptes vraiment bien à ta nouvelle condition.  Bientôt tu auras une silhouette de rêve, ma fille.
J’enfilai mes bas blancs et les fixai à mon corset, puis j’enfilai une culotte blanche à dentelles.
-Avant de continuer, pendant que tu étais au salon de maquillage, Maîtresse Valérie et moi avons fait quelques petites courses pour toi.  Ta nouvelle poitrine.
D’un des sacs que j’avais monté hier, dans sa chambre, ma belle-mère dominatrice sortit une superbe paire de seins en latex et les mît devant moi, sur ma poitrine.
-Oh, ma Chérie, ils te vont comme une paire de gants !
Elle mit de la colle sur l’intérieur des seins et les pressa sur ma poitrine.
-Ne bouge pas !
Cela dura quelques minutes, le temps que la colle durcisse et prenne solidement.
-Assieds-toi, maintenant !
J’obéis et je sentis immédiatement le poids, même s’ils étaient d’une petite taille.  Je bougeais à droite, puis à gauche.  Les seins me suivaient !  Je poussai un petit cri de surprise ce qui fit rire Mère Héléna.
-Eh oui, Johana.  Ce sont les tiens maintenant.  Ils te suivront où que tu ailles.  Penses-y comme étant ton meilleur atout !  Puisque de toute façon tu n’en as plus d’autre maintenant.

La perruque

Elle resserra rapidement mon corset et elle tripota mes faux seins.  Je tressaillis à son grand plaisir. En me tendant un chemisier blanc, elle m’expliqua qu’il y avait de petits capteurs intégrés dans les faux seins qui causaient la même réaction que si c’était mes tétons qui avaient été touchés.
-Ma Chérie, tu vas avoir de telles sensations quand quelqu’un te touchera les seins !

 

Elle me tendit une courte jupe noire en cuir qui arrivait 10 centimètres au-dessus des genoux et des escarpins de 6 centimètres complétèrent ma tenue.  Puis elle me fit descendre à la cuisine.  En chemin, je m’arrêtai et lui demandai :

-Hhuuumm, Mère Héléna, puis-je mettre ma perruque s’il vous plait, je me sens un peu nue sans elle ?
Elle me sourit et me dit :
Je t’ai dit hier que tu devais mériter le droit de porter cette perruque, pour ressembler plus à une femme, ce que tu veux vraiment être.  Aussi, je ne vois pas ce que tu as fait aujourd’hui qui te donne le droit de la porter ?
Je préparais le petit déjeuner pour tout le monde dans la cuisine.  Cette fois-ci, je ne montais pas le petit déjeuner au lit à Maîtresse Valérie.  Elle descendit dans son négligé en soie favori.

Réduit à l’état de soubrette en quelques jours !

Avant de s’assoir, Maîtresse Valérie me regarda et me dit :
-Bonjour Johanna, tu es bien habillée aujourd’hui ! : Dit-elle en regardant Mère Héléna d’un air entendu. Oh Maman, regarde cette bonniche comme elle est pathétique.  J’ai pensé un jour épouser un homme et tu l’a réduit à l’état de soubrette en quelques jours!  Elle n’a aucune personnalité.  Qu’allons-nous en faire à la fin de ce week-end ?  Elle doit retourner travailler.
-Ne te tracasse pas pour ça, Chérie, tu as deux choix possibles.  Soit, tu la renvoies au travail en jupe et elle fait son coming-out au travail, ou bien tu la gardes ici, avec moi.  Combien gagne-t-elle au fait ?  Je veux dire qu’elle n’a pas une carrière comme la tienne.  Elle gagne tout juste de quoi t’acheter quelques produits de beauté supplémentaires.  Je crois que tu devrais me la confier entièrement à partir de demain matin.  Je pourrais m’en occuper du matin jusqu’au soir et toi tu pourrais t’occuper entièrement de ta carrière.

 

Ma belle-mère dominatrice me dit d’une voix qui ne souffrait aucune contrariété.
-Johanna, va au coin, face au mur.  Mets tes mains sur la tête et réfléchis à la manière dont tu pourrais servir le mieux Maîtresse Valérie.  Tu as le choix : Ou bien demain matin tu vas au travail, mais habillé en femme ou bien tu démissionnes et tu promets de devenir la meilleure bonne que Maîtresse Valérie n’ait jamais eue.  Nous ne sommes pas pressées tu peux réfléchir jusqu’à ce que Valérie ait terminé de prendre son petit déjeuner et tu nous diras ce que tu as choisi.  Ah ! Pendant que j’y pense, si tu décides d’aller travailler au dehors, tu iras sans perruque bien sûr, sinon tes collègues risqueraient de ne pas te reconnaitre.

Choix de vie difficile !

Face au mur, je les entendis pouffer de rire dans mon dos. Toujours debout dans le coin, je savais que j’avais un problème.  Les idées se bousculaient à très grande vitesse dans ma tête.  Comment pourrais-je faire pour continuer mon travail habillé en femme.  Si je continuais à aller au travail, je serais la risée de toute ma compagnie, et rétrogradée au rang de serveur de café en un rien de temps.  Si je restais à la maison, je devrais endurer la formation sévère de Mère Héléna et je devrais servir non seulement Valérie, mais également ma Belle Mère.
J’étais perdu dans mes réflexions. Aucune solution n’émergeait, à part celle d’un coup de baguette magique qu’une bonne fée aurait donné sur le monde pendant le week-end et qui aurait transformé tous les hommes en femmes.
-Johanna ? dit Mère Héléna. Nous avons attendu assez longtemps à présent ! Tu as eu suffisamment de temps pour réfléchir.  Quelle est ta réponse maintenant ?  Toute habillée à ton travail ou la bonne de Maîtresse Valérie à la maison ?
Je me retournai lentement car je savais que je devais répondre. De plus, je savais que je ne pourrais jamais faire face à mes collègues en robe ou en minijupe et escarpins. Je baissai les yeux et murmurai :
-Je veux devenir votre servante, Maîtresse Valérie. Elle me regarda :
-Je n’ai pas entendu ta réponse.  Qu’as-tu dit ?

Fin du dressage ?

Je bégayai et baissai la tête.  J’avais l’impression de jouer dans un film ou une pièce théâtre.  Ça ne pouvait pas être moi, ça ne pouvait pas m’arriver, qu’avais-je fait pour mériter cela ?  Sa voie glaciale m’arracha à mes pensées.
-Ta réponse, Johanna ? Parle plus fort !
-S’il vous plaît, Maîtresse Valérie, laissez-moi devenir votre servante.  Je promets de devenir la meilleure bonne que vous puissiez souhaiter posséder.
-C’est parfait ! : dit Maîtresse Valérie.  Après le petit déjeuner nous irons à ton travail et tu donneras toi-même ta lettre de démission.
-Non, pitié, ne me faites pas cela.  Je ferai ce que vous voudrez, mais je ne peux pas aller là-bas habillé en femme.  S’il vous plait !!!!
Mère Héléna et Maîtresse Valérie attendirent patiemment que je me calme.  Evidemment, elles pensaient la même chose toutes les deux et se dirigèrent ensemble vers le mur où était accrochée la redoutable paddle en bois.  Je tombais aussitôt à genoux, sachant que je n’avais pas d’autre choix. Je voulais éviter le pire : être puni et remettre ma lettre de démission habillé comme je l’étais.
-C’est bien, tu es une bonne fille obéissante maintenant : dit Mère Héléna. Tiens, Valérie, je te transmets ma paddle bien aimée.  Je ne pense plus en avoir besoin à présent.  Prends-en soin.
Previous

Nouvelle vie d’homme soumis (11) : punition de Jean

Nicolas et l’agent de sécurité, une femme dominante

Next

5 réflexions au sujet de “Ma belle-mère dominatrice, fin du dressage?”

  1. Merci chers Maitresse pour vos commentaires
    Moi soumis je suis le Soumis de Cala c’est ca mère qui me donne les séances de dressage elle assure mon éducation
    Elle a 30 ans de plus que moi elle est très autoritaire et spontané
    Je dois réagir a ses ordres immédiatement
    malgré se 74 ans elle est très alerte les corrections qu’elle m’inflige son redoutable j’ai très souvent les fesses qui saigne ses joujoux favoris fouet cravache et canne

  2. Je rejoins Phil, toute l’histoire est géniale, mais nous restons sur notre faim… Que Johanna plonge davantage dans ce monde, qu’elle comprenne bien le plaisir de servir et subir les caprice de sa Maitresse!!!

    Merci pour tout!!

  3. Merci pour cette belle histoire.
    J’espère qu’elle n’est pas terminée car elle mérite d’autres digressions.
    J’ai hâte de savoir ce sui va se passer lundi.
    Merci pour ces bons moments que vous nous faites passer.

Les commentaires sont fermés.