La Maîtresse domina de Toulouse !

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Maîtresse domina 

La Maîtresse domina de Toulouse à Paris !

 

Je viens de recevoir une nouvelle très surprenante et très excitante ! La Maîtresse domina de Toulouse que j’avais croisée sur slave-selection il y a quelques mois vient à Paris. Cette magnifique domina avec qui j’avais quelque peu échangé malgré la distance entre Toulouse et Paris avait décidé de venir voir de la famille sur Paris.

Jamais je n’avais imaginé que cette domina toulousaine, d’une simple discussion presque entre deux amis de longue date, en viendrait à me recontacter pour que je me rende disponible lors de sa venue à Paris.

J’avais quelques bons et tout de même assez vagues souvenirs de cette domina toulousaine. Elle était blonde et très bien faite à peu près dans mes âges bien que paraissant un peu plus jeune. Ce qui avait retenu mon attention, c’est qu’elle avait un corps parfait. De plus, sous l’apparence d’une femme un soupçon bourgeoise, elle tenait un langage cru et ferme dans l’intimité.

Nous n’avions eu qu’un échange téléphonique et pourtant cette domina toulousaine m’avait fait forte impression, j’en avais même regretté ne pas être résidant du sud-ouest, ou qu’elle fût parisienne pour la découvrir physiquement en face de moi.

 

Convocation pour une soirèe !

 

Elle avait donc décidé de venir à Paris pour voir de la famille, et pas que ! En effet, au programme de son week-end prolongé, du lundi au mardi matin, il y avait la visite de sa famille mais elle avait aussi prévu d’arriver une journée plus tôt pour me rencontrer. Ses consignes avaient été claires, au travers d’un texto ne laissant place à aucune autre possibilité. « Bonjour jeune chien sans collier, car je suis sûre que tu n’en as toujours pas. Je monte sur Paris et désire être accompagnée vendredi soir lors d’une sortie en club. Sois disponible à partir de 18h, et viens me chercher à Orly à 18h30. Ta Domina toulousaine ».

Je dois reconnaître qu’à la lecture de ce texto sorti de nulle part, alors que j’étais au travail et plutôt bien entouré, mon cœur se mit à battre la chamade. En effet, j’imaginais déjà le déroulé de cette soirée. Et je ne fus pas loin de ce que j’avais imaginé pour ce qui était de notre rencontre, et bien en deçà de ce que je pensais concernant la soirée.

 

Arrivée de la domina de Toulouse !

 

Son avion avait atterri à l’heure, Je n’eus pas de mal à la reconnaître, talons aiguilles de près de 10 cm, jupe noire assez serrée moulant un corps aussi bien fait que ce qu’elle m’avait laissé apercevoir. Elle portait, aussi, une petite veste stricte sur un chemisier blanc qui laissait entre apercevoir des dessous avec une lingerie de qualité et de couleur.

-Bonjour mon chien !

je me mis à rougir légèrement tout en osant à peine regarder à droite et à gauche si quelqu’un avait pu prêter attention aux mots qu’elle venait de prononcer en plein cœur de l’aéroport. Elle s’en aperçut et me sourit, en me demandant si quelque chose n’allait pas ? J’hochais de la tête pour tenter de faire comme si tout allait bien. Prenant le contrôle sur moi ou tentant de m’amadouer un peu plus, elle ajouta :

-tu es bel homme, ça se confirme !

Je répondis un simple :

-merci Madame !

Elle me reprit sur le champs !

-tu peux m’appeler Maîtresse désormais si tu le souhaites, même si tu ne portes pas mon collier pour l’instant et tant que je ne t’ai pas testé !

Cela finit de me faire rougir.

Comme convenu, je l’emmenais chez moi pour prendre une douche et se préparer pour notre sortie du soir qu’elle avait méticuleusement préparée.

Elle en ressortit prête à sortir, pomponnée, maquillée de façon plus appuyée. Sous un tailleur stricte et souple, on devinait une tenue plus personnalisée pour la soirée.

Elle m’indiqua l’adresse du club qui allait nous accueillir. Elle avait pré-réservé. C’était un haut lieu parisien des échanges bdsm. Je n’en menais pas large. Elle m’avait donné des consignes claires sur comment me comporter vis à vis d’elle, toujours en arrière, et à ne pas laisser mes mains traîner afin de lui faire honneur !

 

Accueil à l’entrée du Club SM !

 

J’aperçus à l’entrée du club qu’il y avait une soirée à thème : « SM, Trio et Initiation ». Il y avait quelques noms de Maîtresses dominas connues du cercle. Ma Maîtresse domina toulousaine semblait parfaitement à l’aise en confiant ses affaires au vestiaire. Elle ne se fit pas prier pour m’envoyer un « à poil mon chien… » qui ne laissait la place à aucune contestation. J’avais pourtant déjà aperçu les autres clients qui étaient assez habillés, même les soumis en laisse entrés en même temps que nous.

J’avais envie de bégayer quelque chose mais ça ne sortait pas. Elle me toisait et souriait en me regardant me déshabiller totalement.

-Quoi, qu’y a t il ? une remarque ?

Je parvins à répondre un « non Maîtresse » en baissant les yeux sur ma nouille qui s’était recroquevillée de honte. Elle se mit à rire, et sortit de son micro sac une espèce de slip ouvert que je ne connaissais pas, un jock strap me dira t elle plus tard.

-Tiens, mets ça, sinon tu vas te faire violer à peine auras tu mis les pieds dans la boite ! Ce qui ne serait pas pour me déplaire soit dit en passant !

La propriétaire des lieux vint à la rencontre de ma domina toulousaine.

-Oh la toulousaine, toi ici, quelle belle nouvelle du sud ouest… et comme d’habitude toujours bien accompagnée d’un petit chien tout neuf je présume!

 

Accueillis par la propriétaire du club en personne !

 

Elles se sourièrent et échangèrent quelques banalités.

-Allez mon chien, c’est le début de la fête ! Si on te met la main aux fesses, tu ne bouges pas, tu ne dis rien. Par contre, toi tu ne touches à personne.

Et en même temps qu’elle disait ça, je sentis une main palper ma fesse droite fermement. C’était la patronne qui s’octroyait son droit de cuissage.

-La soirée va être longue, me dit elle, alors détends toi, car tu vas prendre cher jeune chiot !

En effet, à peine entrés, la domina toulousaine me fit m’asseoir par terre à ses côtés alors qu’elle prenait place sur un siège molletonné.

-Regarde ce qui se passe au centre de la scène ! Vu le temps que nous avons mis pour venir, ton tour va venir juste après je pense.

On y voyait un soumis se faire fouetter, puis pénétrer. D’autres hommes soumis ou dominants en profitaient aussi pour se soulager dans la bouche de celui-ci. Je commençais à craindre un peu ce qui allait se passer.

La domina toulousaine avait glissé une main entre ses cuisses. Je m’en aperçus en la voyant se contorsionner sur le siège. Il ne fallut pas plus d’une minute de plus pour qu’elle m’empoigne par les cheveux, en me disant :

-fais moi vite jouir avec ta langue avant qu’elle ne serve à autre chose et que tu n’aies plus de force !

Elle écarta les cuisses, décalant son entre cuisses et m’appuyant la bouche sur son sexe. Je m’appliquai avec ma langue à donner du plaisir à son clitoris et par voie de conséquence à sa propriétaire qui me lâcha un jet de cyprine en plus de multiples gémissements de plaisir dévoilant son orgasme. J’étais entrain de léchouiller encore ma domina toulousaine, que j’entendis appeler « le chien de la toulousaine… à la croix »…

 

Prise en main du chien !

 

La croix de Saint André avait été amenée au centre de la pièce. Je fus attachée à celle-ci, dos au public. Tout d’un coup, je ressentis s’abattre sur moi lentement, puis de façon plus rapide des coups de lanières multiples. Un martinet était l’instrument utilisé et de manière très professionnelle. Je fus surpris de découvrir, que c’était ma Maîtresse, remise de son plaisir, qui maniait le martinet avec une grande dextérité. J’avais déjà goûté à ce plaisir et je savais que moins je résisterais, plus vite mon esprit s’échapperait de mon corps pour m’évader tout en sentant mon corps rougir et se marquer.

Les coups s’arrêtèrent. Ma maîtresse vint me voir et me dit simplement :

-c’est un bon début, je suis fier de toi !

On m’installa alors sur une espèce de cheval d’arçon. Ensuite, on me présenta la queue d’un soumis sous le nez.

-suce salope !

Comme ma bouche ne s’ouvrit pas assez vite, un cinglant coup s’abattit sur mon fessier droit. Ce coup de cravache était loin de la caresse précédente du martinet. J’ouvris la bouche et me mis à sucer la queue présentée, qui durcit relativement vite. Ma Maîtresse à mes côtés vint titiller mon petit trou offert, en le lubrifiant, alors que je suçais de plus belle cette queue bien trop grosse pour ma bouche !

 

Le gode-ceinture !

 

Elle passa ensuite derrière après m’avoir glissé à plusieurs reprises un, deux, et même jusqu’à trois doigts en moi. Je sentis une forme appuyer sur mon intimité. Ma maîtresse toulousaine avait décidé d’être la première à me déflorer et je tentais de résister en vain à son entrée en moi. Elle portait un gode-ceinture qu’elle avait pris soin de lubrifier. Il dérapait une ou deux fois, et je sentis à la 3e ou 4e reprise que la porte d’entrée de mon intimité fût forcée et que le gland de ce gode ceinture de bonne taille entrait en moi.

Ne s’arrêtant pas en si bon chemin, elle continua de s’enfoncer en moi, alors que le soumis giclait dans ma bouche. Je fus surpris car j’étais concentré sur ma Maîtresse qui me remplissait. Je pensais que cela allait s’arrêter mais ce fût un Dom déjà à la queue tendue, qui se présentait à ma bouche, alors que ma Maîtresse toulousaine donnait le rythme par des allers retours plus rapides, plus profonds, et plus forts ! Elle se mit à jouir en me défonçant, et se retira lentement avant de dire à l’assistance :

-il est à vous maintenant !

Le Dom dans ma bouche vint se positionner derrière moi, et le cul encore ouvert, il s’enfonça en moi sans retenue. Je gémis alors une autre queue vint fermer ma bouche.

 

Utilisation sans retenue !

 

Ce fut pas moins de 5 ou 6 queues que je dus contenter et quand je n’étais plus assez rapide, je recevais quelques coups de cravache.

On me détacha et je tombai les genoux au sol. Un dernier coup bien différent vint zébrer mon fessier puis mon dos, un fouet certainement. Je n’avais plus la force de bouger. On me poussa du pied, et je vis apparaître le visage de la patronne, qui se tourna vers ma Maîtresse. Elle lui demanda :

-je peux ? sa langue a l’air efficace !

Ma Maîtresse domina répondit :

-bien entendu, vous êtes chez vous alors faites comme vous le désirez !

Elle venait d’offrir ma bouche et mon visage et une autre chatte à faire jouir, une des limites dont nous avions parlé. Je la regardais, elle me souriait. Elle était belle et je ne sus mot dire. Je m’appliquai, donc, à faire jouir la patronne, plutôt pulpeuse et qui mouillait bien plus que ma Maîtresse domina.

Elle me ramena en tirant sur la laisse reliée à mon collier. Ma Maîtresse domina dit : « 

-cette salope vous a t elle bien faite jouir ma chère ? Mérite t elle une récompense ?

Celle-ci complice répondit :

-pour une première fois, c’était très bien !

 

La récompense !

 

Ma Maîtresse domina me remit à 4 pattes. Ensuite, en glissant un doigt dans mon intimité, elle se mit à exciter ma prostate de l’intérieur. Je sentis une espèce d’excitation monter sans pour autant me mettre à bander fermement, et sans que je ne comprenne ce qui se passait. Par le doigté de ma Maîtresse, le sperme se mit à jaillir de ma queue, une espèce d’orgasme ruiné. Je me vidais sur le sol.

Cela contenta ma Maîtresse domina qui évidemment me dit de nettoyer mes cochonneries avec ma langue. Je trouvai cela rebutant, mais je m’exécutai pour lui obéir et lui faire honneur.

Elle me félicita pour lui avoir fait passer une bonne soirée. Ensuite, elle annonça à l’assistance, que je serai percé au téton en signe d’appartenance et qu’elle reviendrait la prochaine fois, pour une fois, avec le même chien… J’en rougis un peu de fierté, car j’avais compris qu’elle changeait souvent de soumis, mais je craignais aussi le futur piercing à venir.

Merci à cette Maîtresse domina toulousaine pour m’avoir fait vivre une telle soirée d’initiation en club et pour ce qu’elle m’apprend maintenant.

Bien à Vous

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2 réflexions au sujet de “La Maîtresse domina de Toulouse !”

  1. le gode est un bon moyen de sentir la femme prendre le contrôle de la sexualité du soumis, c’est à la fois une récompense et une punition très forte

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