LA MÉTAMORPHOSE DE MON NOUVEAU SLAVE (PART VII) : DRESSAGE DE MON SOUMIS

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La métamorphose de mon nouveau slave (Part VII) : dressage de mon soumis

Vers la prise de possession complète de mon slave

DRESSAGE DE MON SOUMIS

Le dimanche, j’allais commencer l’étape la plus importante du dressage de mon soumis, Bernadette : prendre le contrôle de ses érections. J’avais essayé avec mes esclaves précédents, avec au mieux des succès mitigés. L’incapacité des soumis à arriver au niveau de dépendance qui me plaît a été une cause de rupture fréquente. En général, ce n’était pas la seule cause mais cette épreuve apportait la confirmation que les candidates n’étaient pas à la hauteur de mes espérances.

J’étais relativement confiante dans le fait que Bernadette allait franchir cet obstacle. En tout cas, j’étais très motivée pour arriver à mes fins. J’ai expliqué à Bernadette que deux mots clés devaient déclencher le début et la fin de ses érections. Pute ou Putain sous toutes ses formes devaient la faire bander et Suffit ! devait marquer la fin de son érection. Elle m’a regardée incrédule, ne comprenant pas très bien ce qui allait se passer. Je n’ai donc pas attendu et lui ai crié, sale pute, bande ! La réaction a été immédiate, une belle érection, un sexe qui me faisait envie et dont j’étais impatiente de prendre complètement possession. Mais ce n’était pas le moment de rêver. J’ai tapoté son sexe avec ma cravache, ce qui l’a fait encore durcir et s’allonger, puis je l’ai laissé comme cela quelques minutes, lui parlant doucement, en lui disant qu’elle était une bonne pute et allait pouvoir bientôt utiliser ses talents pour me donner du plaisir et peut-être aussi à mes amies.

Evidemment, il n’a pas vraiment réagi quand l’ordre d’arrêter a fusé, Suffit ! Je suis passée de caresses avec ma cravache à de vrais coups sur son sexe, de plus en plus fort. La salope aimait cela et j’ai dû frapper ses couilles à plusieurs reprises pour qu’enfin son excitation s’arrête.

J’ai recommencé plusieurs fois lors du dressage de mon soumis, le résultat restait médiocre jusqu’à un premier succès, insuffisant mais qui m’a permis de m’attribuer un répit. Bernadette a pu se mettre à genoux et commencer à lécher ma chatte, me sucer le clitoris, revenir à mes lèvres pour les pénétrer de sa langue agile. J’ai saisi sa tête vigoureusement pour l’appuyer sur mon pubis et le sentir me respirer tout en me léchant. Jusqu’à ce que je jouisse et que mon sex toy montre son utilité.

Il y a eu trois autres séries  de dressage ce dimanche-là, sans gros progrès. J’ai à chaque fois arrêté quand l’érection s’est calmée suffisamment rapidement pour que je puisse récompenser Bernadette en la laissant lécher ma chatte. Le dressage de Bernadette, le plaisir de lui cravacher le sexe de plus en plus fort et ses trois premiers assauts avec sa langue m’avaient fort excitée et je me suis vraiment éclatée à la quatrième fois. Dès que les lèvres de mon jouet ont commencé à sucer mon clitoris, j’ai senti ma jouissance revenir et j’ai abondamment abreuvé Bernadette de ma mouille. Je ne me suis pas retenue après mon orgasme et j’ai satisfait mon envie de pisser en serrant son visage contre mon sexe, sa bouche grande ouverte pour recueillir mon Champagne. Ma chienne a été à la hauteur de sa tâche et a recueilli tout mon Champagne sans en perdre une goutte.

Bien sûr, ce n’était pas encore une réussite complète mais un pas dans la bonne voie. Il ne s’est pas vraiment confirmé dans les jours qui ont suivi. Pendant deux soirs, j’ai tenté d’apprendre à Bernadette à se plier totalement à ma volonté et à obéir à mes injonctions, sans qu’elle ne fasse de progrès. J’étais en colère le troisième jour et j’ai changé de méthode.

-Je suis en colère Bernadette. En tous cas, pendant quelques jours,  nous arrêtons ton entraînement. Tu vas garder ta cage 24h sur 24, tu seras fouettée chaque soir pour bien te mettre dans ton crâne de lopette que tu m’appartiens et que tu dois réaliser tous mes désirs. Tu es un sex toy en plus d’être ma servante, tu dois être prête pour tous les jeux que j’imagine. Et surtout tu dois me faire honneur quand je t’exhiberai devant mes amies.

J’ai senti une angoisse certaine chez Bernadette, qui m’a fait plaisir, peut-être que quelques jours de punition lui feraient faire de grands progrès. J’ai ajouté qu’il lui était interdit de parler, lors du dressage de mon soumis, jusqu’à nouvel ordre, si ce n’est pour répondre à mes questions. Dès qu’elle aurait fini son service, elle serait enfermée dans sa chambre jusqu’au lendemain.

Je l’ai fouettée vigoureusement, cinquante coups de ceinture, crescendo. Cela m’excite de voir le moment où la douleur devient trop intense et où elle doit lutter pour ne pas hurler, tout en comptant les coups et en répétant à chaque fois soit, je vous appartiens Maîtresse, soit, je suis votre sex toy Maîtresse, suivant mon humeur. Je regrettais de ne pouvoir lui demander de me lécher après sa punition, je mouillais et avais envie de jouir mais il fallait rester en mode punition.

Le troisième jour de punition, j’ai senti que Bernadette craquait, qu’elle perdait encore un peu plus de sa liberté et était encore moins capable de me résister. J’avais déjà connu cette impression avec mes esclaves précédents et à chaque fois, le résultat était clair : ils devenaient encore plus profondément dépendant de moi. J’espérais que ce signe allait se confirmer le lendemain et qu’enfin Bernadette allait m’obéir jusque dans ses érections.

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