L’immeuble (6) : mon appartement de lope soumise

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lope soumise

Bain froid pour la lope soumise

Après quelques minutes, je reprends enfin mes esprits. Ma maitresse libère mes poignets et chevilles et m’aide à entrer dans la baignoire de la salle de bain. J’espère alors un bain chaud pour me remettre de cette soirée éprouvante. Pauvre de moi, je n’avais pas encore compris ce qui m’attendais dans mon nouveau statut de lope soumise ! Madame ouvre le robinet de la douche mais uniquement l’eau froide. Je me rétracte sous cette douche glacée.

-Lave toi bien, frotte avec cette éponge à vaisselle ! Je veux que tu frottes avec les deux côtés, oui, même avec celui qui récure. Tiens, pour te laver voilà du liquide vaisselle, c’est tout ce que tu mérites, allez, frotte vite, je te regarde !

Une humiliation de plus. Sous l’œil de cette belle bourgeoise certaine de son statut supérieur, je me lave du foutre et des crachats que la bande de mecs a laissé sur mon corps. L’eau froide me brule les chairs. L’odeur de citron bon marché du produit vaisselle me renvoie à la condition de produit de consommation que je suis pour elle et les habitants de cet immeuble.

-Ah, mais tu ne frottes pas là, espèce de lavette ! Donne moi, ça, il faut que je fasse tout ! :me lance alors Madame.

Humiliation pour la lope soumise

Elle se saisit de l’éponge et, en n’utilisant que la partie verte récurant, commence à me frotter vigoureusement ! Ma peau me brule comme jamais. Elle passe même l’éponge sur ma rondelle, on s’y arrêtant sadiquement et en écorchant un peu plus ma chair déjà à vif après la séance de sodomie sauvage !

Je suis heureux que l’eau s’arrête enfin de couler sur mon corps devenu tout rouge. Ensuite,  Madame me tend une serviette et me dis de me sécher vite, qu’elle revient dans un instant. Je termine lorsqu’elle rentre à nouveau.

-Quoi ? Tu n’as pas terminé ? Et qu’est-ce que tu fais encore debout ? Tu n’as pas compris que ta place était et sera toujours, devant moi, à quatre pattes par terre ? ».

Joignant le geste à la parole, Madame attrape mes cheveux encore humide pour m’obliger à me mettre à genoux. Il va falloir que j’apprenne cet automatisme. Me prosterner toujours devant ma maitresse. Ensuite, elle fixe à nouveau un collier autour de mon cou. Celui-ci n’est pas en cuir comme le premier, mais en métal grossier. Il est froid. Et je ressens d’emblée qu’il est très inconfortable. Madame y fixe une laisse également en métal. Comme celle que l’on utilise pour les chiens. Elle tire alors sur la chaine m’obligeant à me mettre debout.

-Mets les mains sur la tête ! :m’ordonne-t-elle.

La Cage de Chasteté

La chaine froide pend le long de mon dos et sur mes fesses encore humides. Ma maitresse sort d’un sac un dispositif que je n’identifie pas immédiatement.

Tu vois ça, c’est une cage de chasteté. A partir d’aujourd’hui, tu vas la porter tout le temps. Même quand tu iras travailler. Je suis la seule à détenir la clé. Je m’occuperais de te vidanger régulièrement, enfin, selon mon bon désir et ton degré d’obéissance. Si tu es un vilain garçon, je t’assure que tu apprendras à oublier ce petit spaghettis qui va réduire entre tes jambes.

Joignant le geste à la parole, ma maitresse enchâsse mon sexe tout mou dans la cage en métal et y fixe un petit cadenas. L’ensemble est lourd et inconfortable. Je me demande déjà comment je vais faire pour sortir travailler avec cet engin sans que cela se voit. Et comment je vais bien pouvoir le supporter… Autant de questions qui n’ont pas lieu d’être aux yeux de ma geôlière qui pose une main sur le haut de ma tête tout en tirant sur la chaine pour me faire reprendre ma position de lope soumise à quatre pattes.

-Allons, viens, il est tard, je te conduit à ta niche, mon chien : dit-elle en souriant.

En laisse !

Je trottine à quatre pattes derrière elle, faisant mon possible pour suivre son rythme et ne pas laisser le collier me blesser lorsque la laisse se tend. Nous traversons son appartement. Elle ouvre la porte. Et nous montons alors l’escalier intérieur de l’immeuble, direction ma chambre un étage au dessus. Je pense à l’image que je renvois. Nu. La cage de chasteté tintinnabulant et me tirant les couilles. En laisse. A quatre pattes. Si jamais nous croisons des voisins ou pire, de simples visiteurs… J’ai honte de moi mais je n’ai pas le temps d’y penser et je grimpe les marches dans le sillon des bas noirs de ma maitresse que je suis, sans jamais pouvoir m’en rapprocher.

Arrivé sur le palier, je sens que la douce moquette de l’escalier sous mes genoux est remplacée par un dur parquet sombre. Nous nous arrêtons devant la porte de ma chambre où je vois qu’une pancarte a été épinglée. On peut y lire : « Chambre de bonne de Luc la lope soumise » !

Découverte de l’appartement de la lope soumise

Voilà, c’est officiel, je suis la lope soumise de l’immeuble ! Ensuite, nous pénétrons dans l’appartement froid et quasiment vide. Au milieu de la pièce, je vois un anneaux encastré dans le sol. Madame tire un coup sur la laisse ce qui m’oblige à lâcher une sorte de jappement de surprise de ma bouche. Elle y fixe ce lien d’un clic. Me voilà retenu par le cou au bout d’une laisse, nu, sur un sol dur.

-Il est tard, je m’occuperais de te trouver un niche demain samedi en allant au marché. En attendant, tu vas dormir ici sur le sol. Voilà une bassine pour tes besoins. Mais attention, j’attends de toi que tu sois propres, sinon, gare à la correction. Allez, dors bien Luc. C’est ton nouveau chez toi maintenant. La porte ne sera jamais fermée et ton appartement toujours accessible aux résidents de cet immeuble. Je veillerais ce week-end à t’en faire un petit nid douillet » conclu avec un sourire sadique Madame avant de refermer la porte, me laissant dans le noir et le froid…

à suivre…

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