L’immeuble (7) : prisonnier de ma cruelle Maîtresse

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cruelle Maîtresse

Le donjon du soumis

La nuit fut courte mais j’ai dormi d’une traite. La soirée du vendredi, avec ma cruelle Maîtresse m’a littéralement vidé de toutes mes forces. Lorsque j’ouvre les yeux, je suis dans une position fœtale, à même le sol. J’ai toujours froid et mon corps est tout endolori. Je devine un peu mieux mon nouvel appartement. Dans un coin, se trouvent mes valises, toujours fermées. La pièce principale, dans laquelle je me trouve, est de bonne taille, à vrai dire, il m’apparait vite que l’appartement ne contient qu’une seule pièce !

Le toit en pente m’avait la première fois donné l’impression qu’il pouvait y avoir d’autres espaces. Mais non. Une seule pièce. Pas de cuisine. Pas de chambre. Et pas de salle de bain non plus. Il y a juste une cabine de douche, vitrée, dans un coin. Et à côté, une cuvette de WC. Là aussi, je ne pourrais pas échapper aux regards d’éventuels visiteurs qui me rendraient visite. Je reste prostré ainsi un long moment. Puis j’entends des pas sur le palier. Les talons de ma Maîtresse. Je frétille presque de la revoir ! La porte s’ouvre et elle apparaît, plus haute et impressionnante que jamais.

Bonjour Luc. Je suis allé faire quelques courses pour toi ce matin. Entrez messieurs, je vous en prie, déposez tout dans l’appartement… », lance-t-elle à d’autres personnes que moi.

Une niche pour le soumis

Je le devine et le crains ! Entrent alors deux livreurs avec des cartons ! Mon dieu, quelle humiliation pour moi d’être ainsi enchainé, nu, devant des hommes inconnus ! Ils écarquillent les yeux, eux-aussi surpris. Avant d’afficher un petit sourire. En déposant leurs cartons, ils ne me lâchent pas des yeux et je peux y lire toute la répugnance que ma situation de larve volontaire provoque chez eux. Heureusement, bien vite, ils repartent. Madame, ma cruelle Maîtresse, approche alors des paquets. Elle sort de son sac un très beau couteau au manche d’albâtre et fend le scotch qui les ferment.

-Tiens, regarde, je t’ai trouvé une belle niche ! J’ai choisi le modèle pour « grand chien », j’espère que tu n’y seras pas trop à l’étroit, même si j’en doute », dit-elle, toujours avec ce sourire qui me fait baisser les yeux.

Elle dépose le panier près de moi et du regard m’ordonne de m’y installer. Il est en rotin. De forme ovale. J’y trouve place avec peine et je dois me recroqueviller pour y tenir entier. Je sens tout de suite que le rotin, rigide et ferme, sera un vrai calvaire pour ma peau et mes os ! C’est cela tout le confort auquel je vais avoir droit ?

Soumis attaché à genoux

-Voilà aussi deux gamelles. Une pour ton eau. L’autre pour ta pâtée. C’est Eliane, tu sais la belle rousse que tu as rencontré hier, qui s’est proposée pour venir te nourrir quand je ne pourrais pas. Tu as de la chance, elle cuisine mieux que moi. Avec moi, tu devras te contenter de pâtée pour chiens ou d’une soupe. Enfin, nous verrons ça plus tard. J’ai aussi acheté quelques bricoles, comme des serviettes pour toi, bon, en fait, je crois que je me suis trompée et j’ai pris des serpillères, mais ce sera parfait pour te sécher après ta toilette, non ? ».

Toujours cette arrogance et ce cynisme dans sa voix qui me rabaissent à ma condition de chienne…

Madame, ma cruelle Maîtresse, se rapproche alors de moi. Elle décroche mon collier de la laisse.

Allez, va faire tes besoins si tu veux, tu as deux minutes ! .

Je me précipite vers la cuvette. Il n’y a pas d’abattant et je dois m’asseoir sur la faïence froide. Je pisse vite. La tête baissée pour ne pas voir cette femme élégante me scruter. Impossible de faire plus. Je sens que je vais être bloqué un bon moment question besoins naturels !

Puis ma Maîtresse me fait mettre assis à genoux. Elle prend mes bras et attache mes mains dans le dos avec ce que je crois être une paire de menotte en métal. D’autres menottes sont fixées à mes chevilles sur lesquelles je suis assis. Puis une chaine vient relier les deux équipements d’incarcération. Je suis ainsi condamné à rester assis à genoux au milieu de la pièce. Ma cruelle Maîtresse a quand même eu la générosité de disposer l’une des serpillères neuves sous mes genoux, rendant la position « tenable ».

Ouvre grand la bouche ! : m’ordonne-t-elle dans mon dos.

L’ami de ma cruelle Maîtresse

J’ouvre et alors je sens le contact froid d’écarteurs en acier le long de mes joues. Je suis ainsi obligé de garder la bouche grande ouverte ! Madame me montre alors un petit carton muni d’une ficelle sur lequel je lis « vide couilles, à utiliser à loisir ». Elle fixe mon regard hébété. Souris de toute sa bouche ourlée de rouge et dispose la pancarte autour de mon cou.

– J’ai un ami entrepreneur qui va venir faire quelques travaux d’aménagement dans ton « home sweet home » cet après-midi. Je veille toujours au confort de mes amis. J’espère qu’il appréciera ma gentille attention ! .

Je vois alors ma tortionnaire désirée s’éloigner et fermer la porte…

Un long moment passe. Je me dandine sur les genoux, mes mains attachées dans mon dos commencent à me faire mal. Je ne peux retenir ma salive qui dégouline de ma bouche ouverte de force. Ma bave coule en longs filaments sur mon torse nu et sur la pancarte pendue à mon cou. J’espère que ma salive va effacer l’invitation que ma Maîtresse a inscrite dessus. Mais je rêve, évidement.

L’ami s’amuse avec le soumis !

La porte s’ouvre finalement. Un homme entre, les bras chargés de matériel. Il s’arrête sur le pas de la porte et lâche :

Mince, sacrée Martine !

Il dépose son matériel dans un coin. Puis approche de moi. Sa main caresse mes cheveux. Et sans un mot, il dézippe son jean. Il en sort alors un sexe déjà dur qu’il enfourne directement dans ma bouche ouverte et bien lubrifiée par ma salive coulant abondamment. Sa bite remplie ma bouche et force l’entrée de ma gorge. Il va et vient rapidement tout en me caressant la tête. Pas un mot, ni aucun râle ne sortent de sa bouche. Ses grosses mains calleuses caressent mon front. Et d’un coup, je sens une giclée chaude jaillir de son membre et couler dans ma gorge. J’avale son foutre du mieux que je peux mais quand il se retire, je sens qu’il en reste un bon paquet dans ma bouche. Son sperme chaud se mêle à ma salive et commence alors doucement à couler de mes lèvres étirées par les écarteurs.

L’homme recule, referme son jean et lance sans me regarder :

Bon allez, c’est pas tout, mais au boulot maintenant… 

Dure journée pour le soumis !

Il va passer l’après midi à monter du matériel et a installer une sorte de structure en acier dans un coin de la pièce. Il soude, il tape, il visse. Je ne peux pas bien voir car c’est dans mon angle mort, mais j’ai l’impression qu’il construit une… cage ! Il va travailler dur toute la journée. De temps en temps, il s’approche de moi et engouffre à nouveau sa queue dans ma bouche. Il jouit vite. Et au fil des heures, son foutre épais au début devient plus liquide. Il s’accumule dans ma bouche, couche après couche. J’ai du mal a déglutir la gueule ainsi ouverte. Et son foutre qui ne coule pas dans ma gorge reste dans ma bouche.

Entre deux saillis, je sens des larmes couler sur mes joues. Elles se mêlent à ma bave et à la semence de cet homme qui se sert de moi pour se vider, sans aucune considération pour l’objet de que je suis à ses yeux. A la fin de la journée, alors qu’il repars après une énième éjaculation express sur ma langue, je l’entends juste dire

-Bon, j’ai pris du retard moi, va falloir que je bosse demain dimanche aussi, pffff.

Je comprends alors que ce n’est pas demain que je pourrais prendre un peu de repos. Et que ma seule pitance de la soirée sera ce foutre avec lequel j’ai été rempli…

à suivre

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2 réflexions au sujet de “L’immeuble (7) : prisonnier de ma cruelle Maîtresse”

  1. Bonjour
    quel recit très intéressant ,si un jour je divorce j’aimerais bien trouver un tel immeuble ,mais surtout une maîtresse aussi douée

  2. J’aime beaucoup la tournure que ça prend, continue comme ça 😉
    (Je suis bien content pour le coup de ne pas avoir de Maîtresse et que ma cage soit en stand by^^)

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