Ma nouvelle Maîtresse : ma logeuse (8)

| | ,

 

nouvelle Maîtresse

Diner au restaurant avec ma nouvelle Maîtresse

Redescendus dans le salon, ma nouvelle Maîtresse me prit par le bras et nous sortîmes. Elle me tenait toujours par le bras quand nous arrivâmes au restaurant. Des regards ternes se tournèrent vers nous, se demandant sans doute s’il s’agissait de ma mère ou si j’étais son gigolo. Le garçon nous conduisit à une table à l’écart qu’elle avait réservée. Elle paraissait parfaitement à l’aise dans ce décor luxueux auquel je n’étais pas habitué. Nous commençâmes par un apéritif. Le Whisky aidant, je commençais à me détendre un peu.

-Pascal, il faut qu’on parle !

Je pâlis un peu à ces mots.

-Cela va bientôt faire trois mois que nous vivons ensemble, nous avons vécu bien des choses pendant ce temps. Ces derniers jours ont été, disons, un peu spéciaux.

Contrat de soumission à ma nouvelle Maîtresse

Elle posa sa main sur la mienne au travers de la table.

-J’ai besoin de savoir Pascal, maintenant que tu sais à quoi t’attendre avec moi, veux-tu toujours vraiment rester avec moi?

Je la regardais. Elle avait un regard implorant et je compris que cette question avait beaucoup d’importance pour elle.

-Oui, Hélène ! plus que jamais, je veux rester avec vous !

Elle continuait à me fixer, en silence son regard prit un air de défi :

-Et si je te disais que tu resteras puceau jusqu’à la fin?

J’hésitais devant l’abandon de mes espoirs de tenir enfin une femme dans mes bras, mais je me résolus à cette éventualité.

-Je reste avec vous et je resterai puceau !

-et si je te disais que tu n’auras aucun orgasme jusqu’à ce que te me quittes?

J’accusai le coup de cette hypothèse folle, ne plus jouir pendant 6 mois. Bien que je ne m’en sentais pas capable, surtout après le dimanche qu’elle m’avait fait vivre et pourtant, j’étais pourtant prêt à tout pour ma nouvelle Maîtresse. Après un long moment, je lui répondis :

-Si ça vous fait plaisir !

Acceptation du contrat

Ma nouvelle Maîtresse me regardait presque tristement.

-Tu m’aimes à ce point que tu es prêt à sacrifier tout cela?

-Oui Madame, je vous en prie ! n’en parlons plus ! Faites de moi ce que vous voulez mais ne me demandez plus si je veux rester avec vous !

Il y eut alors un instant de silence.

-Ça t’excite quand je t’humilie?

Je baissais la tête et je répondis à voix basse.

-Oui Madame…vous ne pouvez pas savoir à quel point !

Le garçon amena les hors d’œuvres et nous changeâmes de sujet. À un moment du repas, elle finit son verre et se leva.

-Je vais aux toilettes.

Quand elle revint quelques minutes plus tard, elle tenait en main un grand verre à vin plein d’un liquide jaune pâle. Je compris tout de suite de quoi il s’agissait. Elle posa le verre devant moi.

-Tiens, c’est ta boisson pour la soirée !

Le champagne doré de ma nouvelle Maîtresse

Certes, j’avais déjà goutté à son urine et je n’en gardais pas un très bon souvenir mais c’était la première fois qu’elle m’imposait cette humiliation en public. Ensuite, elle se resservit un verre de vin blanc et leva son verre.

-Allez, on trinque à notre nouvelle vie !

Je prenais à la main le verre tiède. L’odeur forte de l’urine me saisit et j’eus alors un geste réflexe de recul. Elle m’observait avec un sourire ironique. Aussi, je ramenais le verre vers moi, et je m’efforçais de respirer par la bouche pour ne pas m’imprégner à nouveau de cette senteur douceâtre. Ensuite, je portais mon verre à mes lèvres en même temps qu’elle y portait le sien. Nous bûmes en même temps, scellant par là notre accord définitif. Je gouttais la saveur amère et légèrement salée de son ‘cru du jour ‘. Cependant, je m’efforçais de fixer ma nouvelle Maîtresse dans les yeux pendant que j’absorbais le produit de sa miction.

Enfin, je vis son sourire s’épanouir,

-J’adore ça…et toi?

-Non, pas trop Madame.

-Alors, c’est encore meilleur.

Je fus un peu interloqué par cette remarque étrange. Nous avions reposé nos verres, le niveau du mien n’avait pratiquement pas bougé et je commençais à comprendre que la soirée serait longue.

Retour à la maison de ma nouvelle Maîtresse

Nous quittâmes le restaurant vers 23h. Elle semblait, alors, parfaitement décontractée, un peu gaie à cause du vin qu’elle avait absorbé et me tenait par le bras comme elle l’avait fait à l’aller. Moi, j’avais finis mon verre et avais la bouche pleine de l’amertume fade de son urine.

Quand nous arrivâmes à la maison, elle me demanda de me déshabiller. Quand je me retournai, elle était assise sur le bord d’un fauteuil, les jambes reposant sur les accoudoirs, et écartait avec ses deux mains les lèvres de sa chatte.

-Suce moi !

Me mettant à genoux, je commençais ma tâche enivrante, m’immergeant avec délice dans ses senteurs intimes jusqu’à ce quelle explose dans un premier orgasme. Après avoir récupéré, mon visage toujours coincé entre ses cuisses, elle appuya à nouveau ma tête sur sa chatte, m’intimant ainsi l’ordre tacite de recommencer mes caresses. Je repris doucement les rotations de ma langue sur son clitoris. Elle se laissait aller complètement. Puis son bassin commença à aller et venir, comme pour faciliter en elle le mouvement d’un sexe imaginaire. Je m’appliquais à suivre ses mouvements tout en m’efforçant de continuer mon léchage appliqué. Ensuite, je l’entendis gémir puis elle appuya ses deux mains sur ma tête, me plaquant fortement contre son sexe.

-Oui….continue petit-puceau…suce moi…oh oui, oui, ça vient…je vais te jouir dessus…Oooooh tiens, je viens…mange !

Ma nouvelle Maîtresse en extase!

Elle se raidit brusquement sur le fauteuil, appuyant de toutes ses forces mon visage contre sa chatte. Ainsi, j’étais écrasé contre cette chair humide et je sentais dans ma bouche l’écoulement chaud d’une liqueur acidulée. Puis elle se détendit, relâchant la pression de ses mains sur ma tête. Je m’écartais un peu pour reprendre mon souffle. J’avais le visage enduit de mouille. Elle était étendue lascivement sur le fauteuil, les yeux fermés, le souffle court, son visage adorable rougi par le plaisir et ses longs cheveux collés par la sueur. Je récupérais moi même de ce voyage fabuleux que je venais de faire dans les chairs intimes de celle qui était devenue au fil des semaines ma Déesse. Et je me dis que j’avais une chance inouïe d’avoir rencontré cette femme fabuleuse.

Nous restâmes tous deux ainsi un long moment, à récupérer de nos expériences mutuelles. Puis, elle ouvrit les yeux et se redressa en me fixant.

-Montre moi ta cage !

La cage de chasteté

Je me levai pour exhiber mon sexe violacé écrasé contre les barreaux d’acier, avec le traditionnel filet transparent qui pendait au bout de mon gland.

-Ça te fait mal ?

-Oui Madame !

Elle me lança un regard étrange.

-Tu es trempé. C’est moi ou c’est ta sueur?

-Euh…c’est surtout vous Madame !

-Je mouille autant?

-Ben…oui

-Et tu l’aimes ma mouille?

-Oui Madame

-Quel goût ça a?

-Euh…c’est dur à dire…ça n’a pas un goût très fort…c’est un peu salé…un peu acidulé.

Elle éclata d’un rire gai.

-Oui, c’est pas mal défini…tu sais, je me suis déjà goutté quand je me caresse…je te fais enrager.

Elle préleva d’un doigt le filet visqueux qui pendait de ma cage et me le mit dans la bouche.

-Et ça, tu aimes?

-Pas trop Madame

-Oh Pascal, Pascal, si tu savais toutes les idées perverses que tu m’inspires…d’une certaine façon, tu as fait exploser ma libido…mais je ne suis pas sûr que ça te plaise toujours.

-Hélène, tout ce qui vient de vous me plaira, aussi dur, aussi dégradant que ça puisse être, parce que ça vient de vous.

-Viens là !

Elle me prit dans ses bras longuement, puis elle ajouta en murmurant à mon oreille.

-Dur et dégradant…oui, je te le promets!

Et elle partit du rire gai et espiègle qu’elle avait depuis quelques jours.

-Bon aller, allons nous coucher ! Je vais te faire une fleur ce soir. Tu dors avec moi. Je veux dire dans ma chambre.

Préparation pour la nuit

Quand j’arrivais un peu plus tard dans sa chambre, elle avait étalé sur le tapis à côté de son lit un gros oreiller et une couverture.

-Voilà, c’est là que tu dors !

Ainsi, je m’allongeai sur le tapis, recouvrant ma nudité de la couverture. Ensuite, je la vis se déshabiller lentement au-dessus de moi, ôtant sa robe, puis son soutien gorge laissant libre sa poitrine lourde, puis elle décrocha ses bas de son porte-jarretelles et les descendit doucement comme dans une scène de film, enfin, elle retira son porte-jarretelles et se retrouva devant moi, absolument nue, sans sembler y attacher le moindre importance. Ainsi, je me régalais de son corps, ses seins fermes, ses hanches larges. Elle s’allongea sous sa couette, me cachant ce spectacle paradisiaque.

-Ça va petit-puceau, tu es confortablement installé?

Je haïssais qu’elle m’appelle de ce surnom humiliant et je savais que c’était précisément pour cela qu’elle le faisait.

-Oui Madame, ça va !

-Bon, allez, bonne nuit !

Elle éteignit sa lampe de chevet, nous plongeant dans un noir dense. Je ne mis pas très longtemps à m’endormir. Dans la nuit, je fus réveillé par Hélène qui se levait comme un zombie pour se rendre aux toilettes. J’adorais secrètement cette nouvelle complicité qui se tissait entre nous en partageant une partie de sa vie que j’ignorais.

Previous

Nouvelle vie d’homme soumis (2) : début du dressage

Relations BDSM en ligne ?

Next

8 réflexions au sujet de “Ma nouvelle Maîtresse : ma logeuse (8)”

  1. Cette histoire est tellement naturelle et dégage une originalité dans la domination que cela donne envie de lire et relire autant des fois que possible.
    Une domination naturelle et une soumission honnête, tous ça dans un amour mutuel.

  2. Cette histoire est une de mes préférées. Et quel plaisir ça doit être d’humilier ainsi en publique.

  3. Enfin une belle histoire qui laisse place a l’imagination… j’attends la suite avec impatience…..

  4. slave caged 456 desperately prays to sign a contract of total submission slavery for a lifetime,as an owned and totally controlled chastity slave.
    slave prays to be trained to serve a strict superior female as her permanently locked in a steel chastity cage,butt plugged/dildo’d every waking moment.
    slave caged 456 surrenders it’s rights of choice and decision,accepting the fact that all choices and decisions will be made will be made only by it’s superior female owner,
    slave caged 456 accepts that once it surrenders itself by contract slave caged will no longer be allowed to refuse any command given by it;s superior female owner anyplace,anywhere anytime.
    slave accepts the fact ii will no longer be allowed limits,unless agreed upon in said contract,
    slave caged 456 accepts that chastity, constant penetration,humiliation,strict bondage,and total obedience without question,hesitation or discussion along with severe punishments will be slaves life as an owned and totally controlled chastity slave.
    slave caged prays that it never again know the meaning of freedom.

    • moi aussi je suis un puceau de 48 ans maitrese est je veut devenir votre soumis rien qua vous madame

Les commentaires sont fermés.