LA MÉTAMORPHOSE DE MON NOUVEAU SLAVE (PART II) : Le contrat d’esclavage

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Le contrat d’esclavage

Bernard m’a écrit les jours qui suivent, matin, midi et soir. Quelques lignes pour me faire des compliments, vanter ma beauté, mon air impitoyable et son désir de m’appartenir définitivement. Je ne lui ai répondu qu’à deux reprises, pour lui reprocher deux fautes d’orthographe et lui dire que s’il continuait à faire des fautes, je le rayerais définitivement de mes contacts. Il n’en a plus fait, ce qui montre l’intérêt de la sévérité pour bien éduquer.

 

 

Au bout de cinq jours, j’ai jugé qu’il était mur pour une deuxième rencontre. Je lui ai dit de venir le lendemain à 8.30 précise, se garer près de chez moi et de m’envoyer un message sur skype pour me dire qu’il était arrivé. Je lui ai dit de porter un string, un porte jarretelle et un soutien-gorge rouges sous ses vêtements,  ainsi que des bas fins.

Je l’ai laissé attendre vingt minutes avant de lui dire de monter dans mon appartement et de se déshabiller avant de se montrer en sous-vêtements devant moi, en marchant à 4 pattes. J’avais mis un jeans skin et un chemisier blanc qui laissait transparaître ma poitrine, je me trouvais très désirable.

  • A genoux devant moi, yeux baissés ! Dorénavant, tu t’appelleras Bernadette. N’oublie pas de parler au féminin, tu es une lopette
  • Mais c’est ridicule Bernadette…

Une paire de gifles, bien fortes lui ont rosi les joues, « bien sûr, c’est ridicule, c’est ce qui te convient ! Va à quatre pattes jusqu’à l’évier de la cuisine, tu as une vaisselle qui t’attend »

Je me suis rapprochée de lui quand il a commencé à remplir l’évier d’eau chaude, d’abord quelques petites caresses sur les fesses pour voir son sexe se dresser, puis quelques coups de spatule en bois, de plus en plus fort, jusqu’à ce que les premières marques apparaissent. Il a bien réagi, en continuant la vaisselle, en frémissant légèrement mais sans casser quoi que ce soit. Pas de doutes, Bernadette est experte en vaisselle, aucunes traces sur les verres.

Je m’écarte, m’asseyant sur le canapé et la fait revenir à quatre pattes. « C’est bien, tu as droit à une récompense » dis-je en écartant les cuisses et lui collant son museau contre mon entre-jambe. « Renifle bien mon odeur, c’est à moi que tu appartiens dorénavant ». J’ai enfoncé son visage contre mon jeans, jusqu’à l’étouffer, mais manifestement, cela lui plaisait…

« La prochaine fois, tu pourras me sucer le clitoris, j’espère que tu fais cela bien » Je le sentais tout heureux, mais pas un mot ne sortait de sa bouche. Deux paires des gifles cette fois sur ses joues « Tu dis merci Maîtresse quand je te donne une récompense, compris ? » J’ai entendu en réponse un faible oui, Maîtresse, merci Maîtresse qui montre l’utilité de mon éducation, les gifles apprennent sans ambiguïtés la politesse et le respect.

  • Je te prends à l’essai pour un mois, si tu veux que ton contrat soit prolongé, tu as intérêt à apprendre vite ce que j’aime et comment me faire plaisir. Le contrat d’esclavage est simple, tu m’appartiens dorénavant sans restrictions et tu n’as plus aucun droit. Tu n’es pas marié, pas d’enfants ni d’amie, cela simplifie notre relation. Je te permettrai de continuer ton travail et de voir régulièrement tes parents, en dehors de cela, tu peux oublier tes amis, ta vie sociale, tu n’auras plus que les loisirs que je te donnerai, repassage, broderie, jardinage, courses, tout ce qui me conviendra. C’est la seule fois où je te demanderai ton avis, es-tu d’accord avec ce contrat ?

J’ai senti sa gorge se nouer et son incapacité à émettre un son pendant un long moment. Je l’ai fixé pour qu’il baisse les yeux, ce qu’il a fait, j’ai eu peur un instant qu’il n’ait pas le courage d’accepter et j’ai été soulagée quand j’ai entendu son « Oui Maîtresse », prononcé d’une petite voix presque chevrotante. Son sexe par contre ne chevrotait pas et se dresser bien dur, il faudra que j’en profite bientôt.

  • Fiche le camp maintenant, tu reviendras à quatre heure, avec une bouteille de Champagne (Veuve Clicquot bien sûr) et une bouteille de lait entier. Et une cage de chasteté fermée par un verrou à numéro aussi.
  • Bien contrat d'esclavage

Je l’ai senti tremblotant légèrement quand il s’est rhabillé, sans doute pas très sûr de lui. Moi par contre je l’étais, je tiens enfin mon toutou que je vais pouvoir dresser à ma guise, mon esclave, soubrette entièrement à ma dévotion. J’étais vraiment excitée…

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3 réflexions au sujet de “LA MÉTAMORPHOSE DE MON NOUVEAU SLAVE (PART II) : Le contrat d’esclavage”

  1. bonjour,
    qu’elle bien heureuse Bernadette,et,cette chance d’avoir trouver
    une Maîtresse aussi humaine qui comprend le désir de soumission
    par le biais de la féminitée.
    salutations respectueuses Maîtresse

    • Bonjour à toi Soumis . Je me présente Maîtresse Vivi Je suis une Dame Exigeante , Cruelle , Sadique , Perverse , Sensuelle , Phallique , Capricieuse , Vénale , Délicieuse , je recherche un homme soumis généreux de Coeur , dévouée , attentif , docile , qui sera ma lopette , mon larbin mon wc toilette pour demeure .
      Si intéresser contact moi.

      • Bonjour Maitresse Viviane,
        je suis un soumis debutant et tres motive pour vivre une telle experience…Peut être seriez vous intéressée par un toutou serviable comme, moi ?
        Au plaisir de vous lire.
        Jeffsoum

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