Mon éducation par Maîtresse D, belle dominatrice

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belle dominatricePremière rencontre avec ma belle dominatrice

Je suis tombé amoureux de Maîtresse D, belle dominatrice, avant même d’avoir vu sa photo. Je m’étais inscrit sur le même site qu’elle et son annonce détaillée avait attiré irrésistiblement mon attention. Nos échanges de mails m’avaient confirmé qu’elle était typiquement la personne que je recherchais, peu m’importait la distance entre nous. Elle était Femme et Maîtresse, deux indicateurs de supériorité. J’étais mâle et soumis, deux signes d’infériorité. Les contraires s’attirant, j’étais sûr qu’une belle relation gynarchique pouvait s’établir entre nous. Et puis, comme l’a dit Oscar Wilde, « je peux résister à tout, sauf à la tentation ». La réception de sa photographie fut pour moi un électrochoc. Maîtresse D était plus belle que dans mes rêves les plus fous. Comme l’écrit Alfred de Musset dans son poème Souvenir : « Je n’aurais jamais cru que l’on pût tant souffrir d’une telle blessure, et que sa cicatrice fût si douce à sentir ».

Je compris, quand il me fut donné de pouvoir enfin rencontrer Maîtresse D, que je n’avais pas à avoir peu. Même si, tellement impressionné, je n’osais lever les yeux vers elle. Maîtresse D m’avait confirmé dans ses écrits ce pour quoi j’étais fait. De plus, quand elle m’avait affirmé avoir pris possession de mon esprit, je savais que c’était exact. J’étais retraité, disponible et délocalisable. La personne avec qui je vivais et moi entretenions des rapports détestables. Je n’avais qu’une idée en tête, la quitter. Aussi, lorsque cédant enfin à mes pulsions de recherche de vie avec une belle dominatrice, je pensai enfin pouvoir exister pleinement, dégagé des tracas de la vie professionnelle et de couple, il me sembla que mon objectif avait des chances de se concrétiser.

Education sévère

J’avais juste à abdiquer toute forme de volonté, à suivre l’expérience certaine de Maîtresse D, belle dominatrice, et à lui obéir en tous points. Mon éducation fut sévère, mais juste. Les punitions, nombreuses et douloureuses au début, alternèrent avec les récompenses. Maîtresse D goûtait avec plaisir l’usage du fouet, du martinet et de la cravache pour se faire comprendre, craindre et respecter. Les rares récompenses, d’autant plus appréciables, étaient par exemple le droit sporadique à la jouissance devant Maîtresse D ou le plaisir éphémère de flatter son bourgeon avec la langue, la tête coincée entre ses cuisses musclées. La domination du corps se mêlait à celle de l’âme, pour mon plus grand ravissement.

J’eus le bonheur d’être choisi parmi des candidats sans doute aussi valeureux que moi, mais je m’étais engagé à lui offrir un très beau cadeau, objet de ses rêves. Quant à Maîtresse D, elle me fit porter une cage de chasteté dont elle seule avait la clé. Dans le même temps, elle me demanda de faire un tatouage indélébile, gage de mon appartenance et de signer un contrat moral, indiquant que j’étais à elle, en tous points.

Depuis, Maîtresse D règne sur 3 soumis. Trois hommes pour une femme, c’est dans l’ordre des choses. Je suis suppléant des tâches subalternes. Cela me plaît, car nous concourons tous trois à soulager Maîtresse D des basses besognes, indignes d’elle et nous œuvrons pour son bonheur. Le nôtre aussi est assuré, car nous avons compris où était notre place. Notre communauté fonctionne bien, grâce à Maîtresse D, belle dominatrice, notre amour et notre dévotion pour elle, pour le meilleur… et pour le pire !

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