Nicolas et l’agent de sécurité, une femme dominatrice (2)

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femme dominatriceBrutalisé par cette femme dominatrice !

Caroline saisit Nicolas par l’oreille et entreprit de le pousser hors de la pièce. Il comprit aussitôt l’étendue de son malheur et tenta de résister à la traction de cette femme dominatrice. Elle se contenta de tirer plus fort sur l’oreille et il fut contraint d’en passer par sa volonté.

La traversée du magasin constitua un véritable chemin de croix. Les femmes BCBG et plutôt jolies composaient l’essentiel de la clientèle. Leur morgue habituelle trouva dans cette scène un défouloir de premier choix. Les quolibets et autres moqueries fusaient de toutes parts. La vue de cet homme entre deux âge, nu et traité de cette façon par une belle et grande fille brune leur inspirait mépris et sarcasmes.

Caroline tirait sur l’oreille avec une brutalité excessive, déclenchant une violente douleur chez son infortuné captif.

Cette femme dominatrice lui fit traverser un couloir aux murs tapissés de blanc et dont le sol couvert de moquette apportait un confort tout relatif à Nicolas. Le moelleux du revêtement synthétique succédait agréablement au froid provoqué par le carrelage.

Présentation du voleur à la directrice

Caroline frappa un coup bref à une porte vernissée sur laquelle le mot « Direction » se détachait en caractères noirs sur fond doré.

Un « entrez » sec se fit entendre et Caroline pénétra dans le bureau de sa supérieure.

— Alors… Mais qu’est-ce que c’est que ça ?

— C’est un voleur que j’ai pris sur le fait.

— Et qu’est-ce qu’il voulait dérober ?

— Un parfum.

— Vu le prix affiché par nos articles, on peut assimiler ça à un délit. J’ai bien envie d’appeler la police.

— Non, s’il vous plaît…

Sa protestation s’acheva dans un cri.

— La prochaine fois, je te décolle l’oreille, dugland.

— Je vois que vous l’avez fouillé. Vous avez bien respecté la procédure ?

— Oui, on l’a inspecté intégralement, même le trou du cul.

— Bien, pour dissuader les vols, nous appliquons une recette éprouvée. En l’occurrence, nous prenons des photos de l’indélicat et nous les affichons bien en évidence dans le magasin. C’est ainsi que nous allons procéder.

Enoncé de la sentence pour le voleur !

Nicolas se sentit soulagé. Après tout, il lui suffirait de ne pas revenir ici. Quant à sa femme, vu que l’achat de produits de luxe lui incombait, aucun risque qu’elle tombe sur les clichés compromettants.

La quadragénaire appuya sur un bouton avant de parler dans un interphone :

— Envoyez-moi Sophie immédiatement, nous allons prendre un voleur en photographie.

Un silence pesant s’installa dans la pièce sobrement meublée, juste égayée par quelques copies de tableaux modernes.

L’arrivée de Sophie provoqua un choc à Nicolas. La jeune femme n’avait pas daigné apporter ses vêtements.

— Mais…

Cette fois, son cri dut s’entendre jusque dans le magasin, bien qu’amorti par les murs épais.

— Ouvre encore ton clap et je t’arrache l’oreille complètement.

Sophie éclata de rire.

— Puisque vous voulez vous amuser avec lui, je vais vous en fournir l’occasion ! Vous allez lui photographier le visage puis ensuite prendre une belle photographie en pied. Après quoi, un cliché en gros plan pour les fesses et un autre pour le service trois-pièces.

— Vu la taille du matériel, il va falloir zoomer, se gaussa Sophie.

La plaisanterie fut goûtée par sa collègue mais moins par Nicolas. Il était de toute façon obnubilé par la douleur de son oreille que sa gardienne continuait à martyriser.

Humiliation totale pour le voleur !

Sophie se mit en devoir de photographier un Nicolas dont Caroline maintint la tête bien de face en lui tirant les cheveux. Le rictus qu’il affichait sur le portrait amusa beaucoup ses tortionnaires. Sophie prit ensuite une photographie en pied d’un Nicolas solidement immobilisé par Caroline. L’instantané était très explicite. On comprenait que la fille dominait l’homme et lui imposait ce cliché impudique. On devinait déjà l’outrage que constituerait l’exposition publique d’une telle image.

Nicolas atteint le comble de la honte quand Sophie lui photographia le derrière. Sur suggestion de Caroline et après approbation de la directrice, il fut convenu de lui prendre également l’anus en gros plan. Caroline enfonça ses doigts pour distendre l’orifice puis maintint les fesses écartées.

— C’est bon, Sophie, fait un gros plan de son trou du cul. Et règle bien l’appareil, c’est sombre là-dedans. N’oublie pas que tout le monde devra bien remarquer les détails. Ce serait dommage que des clientes affligées de problèmes de vue ne puissent pas observer ses hémorroïdes.

Goguenarde, Sophie s’appliqua à sa tâche. Elle termina avec un gros plan des parties sexuelles. La peur et le froid ambiant avaient conduit à un recroquevillement des attributs masculins, pour le plus grand amusement des deux jeunes femmes.

— Voilà ce que c’est d’avoir des ennuis de trou de balle, dit Caroline, tu n’as plus assez de sang pour irriguer tes balloches et ton spaghetti.

Nicolas ignora cette sortie. Les humiliations qu’il subissait depuis son interpellation l’avaient anesthésié d’une partie de sa conscience, toute volonté de révolte matée pour l’heure.

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