Ma nouvelle Maîtresse dominatrice : Madame Michelle de Montréal

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Maîtresse dominatriceArrivée au domaine de ma nouvelle Maîtresse dominatrice

Le vendredi 10 juin au petit matin, Madame Michelle, une belle grande femme d’1m75, la trentaine, ex-mannequin et avocate, arriva au domaine, accompagnée de servante Nora, pour l’échange comme convenu avec ma Maitresse Sandy lors du troc (voir Fête du troc). Dès dimanche 12 juin, à  minuit , Madame Michelle devenait officiellement, ma nouvelle Maîtresse dominatrice et ainsi la propriétaire de mon corps durant 2 semaines, en échange de sa servante Nora qui prenait ma place comme soumise au domaine.

Madame Michelle était une habituée, et donc une VIP du domaine. Elle faisait partie du comité du mouvement féministe. C’est elle qui a rédigé mon contrat de soumission (voir « contrat de soumission ).  Elle participait et organisait diverses activités au domaine, tel que la Fête du Nouvel An et la fête du troc (voir la Fête du Nouvel An ou voir la fête du troc ). Ainsi, elle était très proche de ma Maîtresse Maylee. Aussi, elle avait une chambre réservée au domaine un weekend sur deux. Elle était toujours accompagnée de sa servante Nora. A son arrivée, elle réservait régulièrement mes services pour deux demi-journées par weekend, pour son plaisir intime à trois.

A son arrivée, Madame Michelle, loua mes services pour deux demi-journées, du vendredi après-midi au samedi matin, auprès de ma Maitresse Sandy, propriétaire du domaine et de mon corps. Cette dernière  ne savait, malheureusement, pas que mon train n’arrivait que le dimanche matin. En effet, Miss Carolyn (voir Miss Carolyn de Toronto,) n’a pas voulu me laisser partir samedi Aussi, à mon retour les deux maîtresses étaient furieuses et Madame Michelle m’a simplement lancé un :

tu ne perds rien pour attendre !

Présentation à ma nouvelle Maîtresse dominatrice

Comme chaque dimanche soir, j’étais de service au club privé du domaine, pour le service et les demandes « exclusives » des tables 3 et 4, réservées aux VIP ainsi que de la zone réservée aux canapés. Je devais satisfaire la clientèle selon leurs envies du moment. Tandis que les  deux autres soumises du domaine étaient responsables du bar et des autres tables, mais également de moi et de mon emploi du temps. Ainsi, elles géraient mes réservations.

Dimanche soir, quand les deux femmes accompagnées de Maîtresse Solveig se sont assisses autour de la table, Maîtresse Solveig m’ordonna de me mettre à genou, de présenter mes respects aux deux femmes, en leur embrassant les pieds, puis de prendre la commande.

Après avoir servi leurs boissons, Maitresse Maylee arriva à la table avec un dépliant à la main. Cependant, comme il n’y avait que 3 chaises, Maylee me fit un signe de la main pour que je me mettes à 4 pattes, afin de permettre à sa soumise de s’assoir sur mon dos et de céder sa chaise à Maîtresse Maylee.

Maylee me présenta à Madame Michelle, ma nouvelle Maîtresse dominatrice. Elle lui expliqua les informations décrites sur le dépliant, puis lui donna des précisions sur mon utilisation et mes spécialisations au domaine et enfin des recommandations diverses. Ensuite, les deux Maîtresses signèrent un accord d’échange; puis Madame Michelle ordonna à sa soumise Nora d’enlever son collier et de me le mettre autour de mon cou puis d’aller aider au service de table pour me remplacer.

Humiliation et dressage par ma nouvelle Maîtresse dominatrice

Madame Michelle m’ordonna de me lever et de me mettre nu, les mains sur la tête, sous les applaudissements des clientes de la table avoisinante. Ensuite, elle examina l’anneau de servitude qui était fixé à mes couilles ainsi que ma virilité et mon corps. Après quelques minutes, elle dit à Maîtresse Maylee :

-ou votre chien est trop sage ou vous ne l’avez pas dressé ces derniers temps. Un esclave sans aucune marque sur le corps, c’est indécent !

Mes deux Maîtresses (voir Maylee et Solveig,) sourirent, puis elles lui indiquèrent l’emplacement de la salle de dressage en disant :

mais ne nous l’abimez pas trop, nos clients n’aiment  pas la viande trop battue !

Tout était dit ! Madame Michelle aimait voir souffrir, ramper son esclave à ses pieds en la suppliant d’arrêter. Elle adorait voir couler les larmes  sur le visage ridé par la douleur de son esclave pour faire des photographies de sa douleur et son humiliation.

Ainsi, elle me battit et me fit pleurer de douleur avec des aiguilles plantées dans mes tétons, mon sexe et mes testicules, puis elle fouetta mon dos et mes cuisses afin de les marquer fortement. Ensuite, ce fut au tour de mes fesses qu’elle frappa avec une brosse à cheveux jusqu’à ce que je me mis à pleurer.

Une fois terminé, elle prit la laisse et me traina à travers le club de table en table; en disant à mes Maitresses :

-voilà comme j’aime mes esclaves, bien travaillés et bien dressés !

Je n’osai plus regarder en l’air, car mes larmes coulaient suite à la douleur. Cependant, Madame Michelle s’assit sur mon dos, puis souleva ma tête pour montrer aux femmes de la salle que l’homme était faible et qu’il pouvait pleurer. Ensuite, elle me frappa encore pour que je la supplie de lécher ses mains tachées de mon sang; et qu’au moindre claquement des doigts, je lui obéisse Tel un bon toutou dressé !

 

Madame Michelle et ses copines

Durant les deux semaines passées dans son appartement, Madame et ses copines, m’ont fessées. Elles ont aimé torturer mon sexe et mes testicules, en marchant dessus et en les écrasant, mais aussi mes tétons. Elles ont introduit des fruits ou objets dans mon cul, et ce à raison de 3 fois par semaine. Ses copines ont adoré me ficeler comme un saucisson, posé sur un matelas au centre du salon. Elles ont pu danser sur mon corps, me chevaucher, s’amuser et torturer mon sexe avec de la cire de bougie ou cigarette. Elles m’ont masturbé et versé mon sperme dans leur vin chaud ou la bière. En jouant au docteur ou à la geôlière, elles ont enfilé un long tube en plastique dans mon anus surmonté d’un entonnoir; afin de s’amuser à pisser dedans pour remplir mon estomac.

En fin de soirée, les filles me mettaient debout dans une bassine, sortaient le tuyau de mon cul et s’amusaient à compresser mon estomac pour me voir tordre de douleur. La pisse s’écoulait le long de mes jambes pendant qu’une des filles faisait des photographies. Puis une fois vidé, elles me recouchaient  afin de s’assoir sur mon visage et de se frotter, masturber sur mon nez et mes cheveux. Tout cela les excitait fortement.

Le week-end avec sa copine

Samedi matin au réveil, Madame Michelle m’ordonna de m’habiller après avoir jeté mon slip, t-shirt et short au visage. En effet, on devait se rendre au centre commercial rejoindre ses 3 trois copines pour faire les boutiques de mode puis manger. Arrivés au café, nous avons retrouvé ses copines.

Quelques minutes plus tard, l’une des copines ne se sentit pas bien et voulut rentrer à la maison. Madame Michelle m’ordonna de l’accompagner et de rester avec elle jusqu’à son retour à la maison. Je lui fis un thé  puis elle me demanda de la prendre dans mes bras et de l’embrasser, ce que je fis. Ensuite, elle voulut que je lui raconte ma vie. Principalement , elle voulait savoir pourquoi je me laissais ainsi humilier et dominer. Après lui avoir raconté un peu ma vie; je lui racontai mon histoire d’amour et ma voir rencontre avec la belle maîtresse Sandyet  comment elle avait su me convaincre de la supériorité féminine..

En début de soirée, Madame Michelle, avec ses deux autres copines arrivèrent avec leurs achats et firent un défilé de mode en tenues sexy en cuir noir et en une matière synthétique qui leur moulaient le corps. Cela me faisait bander fortement. Cela excita fortement les copines. Mon moment calme et romantique était terminé, laissant la place à la douleur et les humiliations.

 

Souffrances et humiliation durant la fin de séjour !

Au bout des deux semaines, je ne savais plus qui j’étais. Je me comportais comme un chien. Ainsi, j’attendais à 4 pattes devant la porte que ma Maîtresse rentre puis je lui léchais les mains et les pieds, pour qu’elle soit heureuse et qu’elle ne me torture plus à son arrivée. Cependant, ses trois amies passaient souvent à la maison. Après quelques bières et vin chaud, je me retrouvais ficelé sur la table ou le matelas. Ensuite, elles n’arrêtaient pas tant que je ne me tordais pas de douleur ou que je pleure.

Quand ma Maîtresse Solveig vint me chercher, je me mis à pleurer de joie. Ensuite, je me mis à genoux pour la serrer fortement contre moi et l’embrasser. Je ne voulais plus la laisser partir, car j’avais peur qu’elle ne reparte sans moi au domaine. Une fois dans la voiture, je fus heureux de revoir mes Maîtresses.

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