Site de rencontres : à quelques clicks du bonheur

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site de rencontresJeune timide et inexpérimenté, j’étais en quête d’une éducation sexuelle.
Heureusement, la fréquentation assidue d’internet me mettait sur la voie de mes désirs et des fantasmes multiples emplissaient mon esprit, me perturbaient.
C’est la fréquentation assidue de sites pornos qui m’a conduit à m’intéresser au site de rencontres. Pouvoir discuter avec une femme, en oubliant ma timidité voire mon inexpérience.
Plusieurs sites de rencontres existaient mais une publicité sur un bus, avait attiré mon attention. Elle vantait un site de rencontres libertines, qui prônait l’adultère, symbole pour moi, de la femme mariée, délaissée, hautaine et dévoreuse de jeunes hommes sans expérience. Tentatrice, éducatrice et libérée. Je m’y précipite…
Apres avoir complété mon inscription et mon profil: très beau jeune homme (ne doutant de rien) souhaite rencontrer dame très perverse….
Je ciblais ensuite ma proie virtuelle grâce aux multiples critères offerts par le site pour affiner ma recherche: 35 a 50, puis jusqu’à 55 ans. J’avais, en effet, constaté que de nombreuses femmes inscrites, dans la tranche 35 a 50 ans, soit ne me répondaient pas, soit écartaient d’emblée mon profil
– pas intéressée…pas l’ame d’une cougar…
Après avoir recadré mes critères, je naviguais à nouveau, plein d’attentes, sur de nouveaux profils, épuisant mes crédits, mais désireux de contacter de plus en plus de femmes. Apres plusieurs jours, mes tentatives demeuraient infructueuses pour établir un contact suivi avec une femme mure.
Je persévérais et après quelques semaines, je m’arrêtais sur un nouveau profil qui m’attirait, bien qu’il n’offre que très peu d’informations, pas de photographie ou de description, juste: Chris, 53 ans, habitant Neuilly sur/Seine…Ayant bien étudié ce profil un peu trop énigmatique; ni photographie, ni phrase de présentation, je me décidais à la contacter. Je lui écrivais simplement que j’aimerais beaucoup entrer en contact avec elle. Me reconnectant dans la journée, je découvris avec plaisir, qu’elle avait consulté mon profil.
Et OH surprise, vers 18h, Chris, m’invitait à me reconnecter le soir même.
– Bonsoir, faisons un peu connaissance. Je serai connectée ce soir vers 21h

A 21h05, je me connectais donc. Elle était déjà en ligne. Je lui écrivais une premier message, sobre, pour masquer mon émotivité:
– Bonsoir
La réponse fut presque instantanée.
– Bonsoir
Quel est votre prénom?
– Jerome
-Enchantée, moi c’est Chris? Vous avez quel âge? Reellement…
– 21 ans

Un rapide échange de courtoisies et elle me demandait déjà, pourquoi j’étais sur ce site et pourquoi l’avais-je contacté. Conforté dans cette approche virtuelle, je lui répondais que j’avais envie d’une expérience sexuelle avec une femme plus âgée et lui demandais en retour ce qu’elle attendait d’une rencontre….avec moi.

Elle adopta alors un ton qui me parut plus direct, directif presque et me répondit qu’elle me poserait les questions et que je devais d’abord y répondre. J’acceptais, pensant que c’était un jeu de séduction…qui s’établissait entre nous deux. Mais bien vite, et sans que je m’en rende vraiment compte, ses questions se firent très précises, mes pratiques sexuelles, si je pouvais la recevoir dans ma chambre d’étudiant. Ce faisant, elle prenait l’ascendant sur moi, se moquant de mon éducation trop lisse et me blessant dans mon amour propre, en remarquant que les jeunes gens comme moi, étaient bien insipides, trop policés.
A contrario, elle faisait l’apologie de la racaille banlieusarde, désinhibée même si souvent vulgaire et peu enclin à aligner une phrase correctement, mais entreprenant…et elle m’avoua, alors, rechercher des jeunes téméraires mais pas trop, ceux qui osaient faire des avances à une femme plus âgée. En définitive, elle concluait la conversation épistolaire, par une phrase presque définitive:
– Je ne trouverais pas ici celui que je cherche. Vous êtes bien trop mièvre pour moi.
Je me lançais alors, dans une tentative désespérée et suicidaire en l’interpellant, lui avouant que je ne pensais qu’à une chose c’était la prendre devant et derrière…elle me rétorqua sèchement : si vous avez envie de m’enculer, dites le carrément.
-Vous êtes si pathétique. Où habites-tu?
– Paris 17e!
– Bon, c’est assez proche de Neuilly, mais je suis veuve et souhaite rester discrète. Mon mari commandait un régiment parachutiste, c’était un vrai homme lui!
Peu après son décès, un jeune homme que je connaissais, dans mon immeuble, avait osé m’aborder un soir. Et nous avons baisé toute la nuit. Il était très vicieux et je l’excitais tellement. Malheureusement, ses parents ont déménagé et il est parti peu de temps après notre première rencontre.
– il faudra que tu fasses comme lui. Mettre l’uniforme de mon défunt mari et me baiser comme cela. Ton poids? Ta taille? Tu es mince, je cherche un garçon mince?

Je répondais du tac au tac en essayant d’entrer dans le costume, si je puis dire…
– oui assez mince.
– Bon, ça ira. Evidemment tu n’auras pas la musculature de mon mari. Sa force, sa brutalité. Il me faisait jouir…voila ce qu’est un homme.
– Viens à 21h…ma voisine est presque sourde. Je laisserai la porte de mon appartement entre-ouverte. Il y a très peu d’activité dans l’immeuble à cette heure. Note le code et l’adresse et donne-moi ton numéro de portable.
Je m’exécutais sur le champ, trop excité à l’idée de plonger vers l’inconnu, excité par cette femme, mais terrifié à l’idée de la rencontrer aussi. Elle avait insisté sur le côté téméraire mais pas trop. Serais-je à la hauteur de ses exigences ? Se rendra t-elle compte de mon inexpérience..

Elle ajouta, d’une voix persuasive:

– Je suis respectée et travaille dans la haute fonction publique, pas question que je m’expose davantage. Tu feras ce que je te dis. Tu mettras l’uniforme de mon mari, mon défunt époux, si courageux, si fort. Tu ne lui arrives pas à la cheville. Je passerais des vidéos de lui, quand il défilait et tu me baiseras, tu me prendras, tu m’enculeras aussi et je te sucerais la queue…toi, tu auras son uniforme, ses décorations et tu me traiteras de pute, de salope, tu comprends ce que je veux de toi.
Je répondais sans hésiter que oui et osait l’interroger:
– comment êtes-vous physiquement?
– mon petit fils me dit que je ressemble a une actrice francaise: Marie-France Pisier. Je suis élancée et toujours élégante, volontiers en tailleur ou jupe, mes jambes sont fines mais je n’ai pas énormément de poitrine.
– Je vous lécherais les seins, les sucerais longuement, je descendrais vers votre sexe ensuite..
Elle m’interrompit:
– Maintenant, je vais quitter le site, j’ai à faire. Tu viens à 21h ce soir et tu montes par l’ascenseur au 5e, puis tu redescendras à pied jusqu’au 3e, sur le palier à gauche, ma porte sera entrouverte. Entre et trouve-moi, je serais dans la chambre! Tu as compris? Et pas de retard!
– promis Chris, Chris c’est ca?
– oui appelle-moi comme cela. Et toi, ton prénom?
– Jerome
– A ce soir, Jerome
– A ce soir, Chris.
Une après-midi entière à attendre…me préparer, êtres physiquement prêt, envie furieuse de me masturber, mais je me ravise, car je dois être en forme. Je me douche, et me recouche deux heures plus tard. Je pense à elle…pas de photo, une description et puis ces mots crus, prononcés par elle. Elle va m’initier, m’éduquer sexuellement, une femme perverse j’en suis convaincu, bourgeoise et perverse. Cette idée m’excite furieusement. Mais il est temps de me préparer à aller la rejoindre. Je dois m’habiller, lui plaire, me parfumer, j’ai une crème hydratante pour le corps. Son parfum stimule mes sens, mon érection surgit. Je me sens fier de moi.
Il est temps de partir. Je me reconnecte une dernière fois. Son profil n’est pas actif. Elle ne s’est donc pas reconnectée depuis tout ç l’heure. Elle m’attend. Je suis excité tout en ressentant une immense timidité à l’idée de me trouver devant elle.
Je prends le métro. Je descends aux Sablons. Je gravis les marches, prestement, trop pressé, trop impatient. Je suis à une rue maintenant. Je suis vraiment en avance. Je décide de passer une première fois devant son immeuble. Un repérage en quelque sorte. Je m’attarde un instant devant l’immeuble. Je vois le digicode. Il va me faire monter au 7e ciel ce soir!
Je reprend ma marche car j’entends des voix dans mon dos. Un couple. ils entrent dans l’immeuble. Je leur tourne le dos. Habitent-ils au meme étage. Connaissent-ils Chris? Peu m’importe après tout…encore 15 mn à errer, à gamberger. Ne pas trop penser.
Presque 21h, j’entre dans l’immeuble et prends l’ascenseur, en respectant scrupuleusement ses instructions. Le palier, enfin, je suis bien au 3e? Oui, la porte est entrebaillée. Inconsciemment, je me retrouve dans mon univers de fantasmes. Je referme la porte derrière moi. Un couloir, pas de bruit, et il est plongé dans une sorte de pénombre, j’avance, je perçois seulement un rayon de lumière au bout. Une porte entrouverte. Je pousse délicatement la porte. Ce n’est pas une chambre mais un salon. Je découvre Chris. Elle est assise dans un fauteuil, face à moi, ses jambes sont croisées. Elle porte un tailleur gris et un chemisier en soie, blanc. Je remarque son soutien gorge, noir sans doute, qui se devine par transparence. Elle me regarde, sans un mot, me toise un instant.
Et puis, me lance:
– tu vas te déshabiller devant moi, maintenant. Je veux voir comment tu es?
Je suis troublé et elle le sent bien.
– Allons vite. Enleve tes vêtements. Tout.
Je bredouille
– Là? Maintenant?
– Oui, qu’est ce que tu attends?
Je commence par mon blouson, mon polo, puis mes mocassins, j’ouvre ma ceinture et je fais descendre le zip de ma braguette. J’ai l’impression qu’elle reste impassible. Je descends mon pantalon et le pose sur une chaise proche avec le reste de mes vêtements.
– Je vois que tu bandes, petit vicieux, ne bouge pas.
Elle se lève et je découvre cette femme à l’allure distinguée, grande et si séduisante. Je n’ose pas affronter son regard à cet instant. Mais déjà, elle poursuit son inspection.
– Allez, baisse ton caleçon maintenant, je veux voir ta queue.
Je ne contrôle plus mon érection, mon sexe est si dur. Je saisis les bords de mon caleçon et descends d’un mouvement lent le sous-vêtement, dégageant mon sexe dressé devant elle.
– Tu vas te branler! je veux voir comment tu te donnes du plaisir, comment tu t’excites tout seul. Et sache qu’ensuite, quand c’est moi qui aurait envie de te branler, je reproduirais tes gestes pour te caresser, tu seras encore plus excité…
Je ne peux plus agir, ni penser, je suis dans un blocage. La honte et une gêne immense m’envahissent soudain.
Elle m’interrompt alors que je voulais essayer de parler pour gagner du temps.
– soit tu fais ce que je te demande, soit on arrête tout! Sur le champ! C’est cela que tu veux?
-non, je le fais…oui, je le fais
Je saisis alors mon sexe entre mes doigts, et entame de lents va et vient, autour de mon gland non décalotte. Cette scène est terrible à vivre, tellement impudique, livrant mon intimité, mais je me suis curieusement, sous son regard durci, totalement désinhibé. Perdu mais sous son contrôle et son autorité. Comme si je n’avais pas d’autre choix…que de faire ce qu’elle me disait de faire, de sa voix, douce et ferme, toujours très féminine.
Mon sexe est si sensible, que je suis bientôt au bord de l’explosion.
D’un signe de la main, elle me fait signe d’arrêter. Mon sexe est alors parcouru de spasmes.
Elle s’approche de moi me tourne autour. Je regarde devant moi, n’osant plus affronter son regard. Son regard est sur mon dos, je le sens. Et puis, la sensation de ses seins qui se plaquent contre moi, elle passe ensuite très lentement sa main droite sur ma hanche droite, pour saisir, presque cueillir à pleine main, mon sexe dressé vers le ciel.
Elle me chuchote alors:
– ferme les yeux…
Je lui obéis aussitôt.
Et la commence, une lente et douce masturbation, pendant laquelle je ressens exactement les mouvements que je pratiquais sur moi, quelques minutes plus tot. Ces mêmes caresses, comme si elle avait épousé ma main avec la sienne. Bientôt, sous ses ingénieuses manipulations, j’explosais sur le parquet, et répandais ma semence dans sa main. J’étais à la fois profondément ému et infiniment gêné, de m’être livre , si intimement, à cette femme, presqu’une inconnue.
– Attends comme ça, ne bouge plus
Elle sortit, dans le couloir et revint après s’être lavé les mains. Moi, j’étais là pantelant devant elle.
– Tu vas te rhabiller et partir. Et tu attendras que je te rappelle dans quelques jours. Cette fois, on ira chez toi. Non, j’ai une autre idée. Chez tes parents, dès qu’ils seront absents. Et je m’habillerai avec les vêtements de ta mère, ses dessous, et tu me baiseras, comme si tu baisais ta mère. Et toi tu mettras ceux de ton père.
Sors maintenant, habilles-toi dans le couloir, et n’allumes surtout pas la lumière, je ne veux pas te voir..tu as 5 mn!

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