Soumis asexuel au service d’une dominatrice

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soumis asexuel

Tout a commencé un beau jour d’automne, un jour ensoleillé juste après une grosse pluie.

J’étais assis dans le parc de la tête d’or à Lyon à réfléchir, lorsqu’une femme, très bien mise d’une cinquantaine d’années, me demanda si elle pouvait s’asseoir à mes côtés.

Je bafouillai un oui, surpris.

Puis je repartis dans mes réflexions quand la Dame me posa une question.

-Puis-je vous demander ce que symbolise cet anneau noir à votre majeur droit ?

De nouveau un peu surpris, mes premiers mots furent hésitants avant de reprendre normalement.

Je lui expliquai que c’était le symbole de l’asexualité et que c’était un signe distinctif pour se reconnaître entre nous, mais qu’il y avait peu de chance que je croise un autre être asexué.

S’ouvrit ainsi une discussion qui me sortit de ma morosité.

Elle me demanda en quoi cela consistait et si c’était définitif… Elle fut un peu surprise.

En lui montrant l’anneau d’hématite, elle vit aussi mes deux bracelets.

L’un est un QR Code avec mes données médicales et l’autre est une plaque de bois gravée d’un symbole complexe reprenant de nombreux symboles qui me représentent ou que j’affectionne.

On y retrouve un groupe de symboles : deux fourmis, une couronne, deux mains, le triangle asexuel et le triple ying yang BDSM.

La conversation s’orienta alors vers la symbolique de ces bracelets, leur intérêt …

Elle fut d’abord intéressée par le bracelet médical.

Je lui expliquai alors son fonctionnement, qu’il contenait les maladies chroniques, les allergies, les traitements en cours, le groupe sanguin et les personnes à prévenir.

Elle convint que pour des cas comme moi, que ça pouvait être très utile en cas d’accident.

Le soleil commençait à faiblir. Il faisait plus frais. Elle me demanda si j’acceptais que l’on continua cette conversation en marchant vers un bar pour se mettre au chaud.

J’adhèrai volontiers à cette idée.

J’appris pendant notre marche qu’elle était divorcée sans enfant, qu’elle travaillait dans les ressources humaines d’une petite société Lyonnaise.

J’appris également qu’elle ne voulait plus s’embêter avec un homme.

Ce fut alors que l’on commença à parler de mon bracelet des symboles. Il contenait à peu près tous les symboles qui me représentaient. J’aime les symboles car ils ne parlent qu’aux personnes initiés bien souvent.

Deux des symboles l’intéressaient tout particulièrement : un triple yin yang et un triangle inversé qui allait du blanc au noir vers la pointe basse.

Quand on en arriva au triple yin yang, elle me dit qu’elle connaissait.

Je le sentais, mais ça se confirmait.

C’était le triangle surtout qui l’intriguait.

S’en suivit cette discussion :

– Ah tiens, comme ça vous n’éprouvez rien du tout.

– En fait, ce n’est pas cela, bien sur dans les asexuels, il y a des aromantiques mais ce n’est pas mon cas. C’est juste que je n’ai pas envie de sexe purement physique « animal » et que je n’ai rien éprouvé les deux ou trois fois que je l’ai fait. Mais je trouve du plaisir ailleurs, d’où le précédent symbole.

– C’est très intéressant ça, de mon côté, j’ai rarement pris beaucoup de plaisir, pardonnez-moi l’expression, avec une queue entre les jambes, je préfère de loin mes jouets, ou d’autres caresses.

A ce moment là, je me sentis gêné. Je ne savais trop quoi dire, alors je me tus. Et on arriva devant une brasserie.

Elle me prit la main et on y entra.

Elle choisit une table au fond et elle s’installa de façon à voir la salle.

– Tu n’as personne en ce moment ?

– Non

– Alors ne cherche plus et à partir de cet instant, tu me vouvoies en permanence, en public comme en privé. Désormais tu es à moi aussi longtemps que je le désirerais, mon petit soumis asexuel, ça peut être une nuit, une semaine, un mois, ou des années si tu ne quittes pas cette table avant la prise de nos commandes par le serveur.

J’étais en panique. D’un côté, je la connaissais à peine et de l’autre, elle m’offrait pour l’heure ce dont j’avais toujours rêvé.

Elle ne disait pas un mot, elle m’observait.

Soudain, je l’entendis me dire :

– il arrive, décide-toi.

Je bafouillai un :

– je reste Madame

– ok, alors plus un mot sans mon autorisation, mon petit soumis asexuel.

Je ne dis donc rien.

Le serveur arriva et je ne savais pas quoi prendre, je n’y avais pas réfléchi.

Il demanda si on avait choisi. J’allais pour prendre la carte mais Madame lui répondit que oui tout en posant sa main sur ma carte en me faisant comprendre de ne pas l’ouvrir.

– Nous prendrons deux limoncellos, deux salades lyonnaises, deux truites avec leur accompagnement de saison, le tout avec deux verres de vin blanc. Merci.

Le serveur me jeta un œil mais je ne réagis pas. J’étais hypnotisé par Madame. Il partit chercher nos apéritifs.

Puis il les déposa. Elle le remercia. Je ne décrochai toujours pas un mot.

– Tu ne bouges pas et tu ne dis pas un mot, je reviens.

Puis elle s’éclipsa aux toilettes.

Elle revint des toilettes et quelque chose avait changé. Elle n’avait plus ses bas blancs.

Elle me demanda ma main et y déposa ses deux bas et me dit :

– là, ici et maintenant, je veux que tu en noues un à ton cou un peu comme une cravate avec le pied bien visible. Avec l’autre, tu fais un nœud autour de ta queue et tu le noues très serré autour de ton ventre sous la chemise.

Je tremblais et je n’en menais pas large. La honte était là et je ne me sentais pas très bien.

Elle me rassura :

– Allez dépêche-toi, de toute façon je te dirais si quelqu’un vient.

Je m’exécutai avec difficulté, je me sentis ridicule et mal à l’aise.

Durant le repas, du coin de l’œil, j’avais bien vu les regards du serveur quand il venait nous débarrasser. Cela rajoutait à ma honte.

Durant le repas, je n’avais pas eu le droit une seule fois à la parole.

Elle m’informa :

– Je veux un double de tes clefs afin de pouvoir débarquer sans prévenir. Je veux aussi que ton appartement soit aussi propre que le mien d’ici notre prochaine rencontre. Tu veilleras aussi à disposer chez toi de limoncelo, de marsala et de chouchen, ainsi que du champagne. Je veux aussi chez toi, deux oreillers neufs, un ensemble de draps en satin noirs qui seront à ma disposition si je décide de dormir chez toi ainsi que des bougies parfumées, du papier d’Arménie et de l’encens.Et la place sur la baignoire et sur le lavabo est à moi, tu te débrouilles comme tu veux pour tes affaires.                                 Ah, et tu n’as plus le droit de prendre un bain, ni d’uriner debout. Pour ce qui est de tes repas quand je ne suis pas là, c’est salades composées ou soupes, tu n’as plus le droit aux gâteaux, desserts et autres sucreries. Pour ton petit déjeuner, c’est uniquement un quart de baguette rassie dans de l’eau. Les débuts seront durs mais il te faudra tenir. Désormais, je vais veiller à ta santé et ton équilibre. D’ailleurs au niveau médical, où en es-tu ?

Je lui expliquais mes maladies, leurs conséquences et les traitements. Je l’informais que je prenais de l’Androcur de moi même et que j’attendais un rendez-vous avec une équipe médicale pour voir si je pouvais suivre un parcours officiel, sans quoi j’envisagerais d’autres solutions.

Il y eut comme un blanc, elle se cala dans sa chaise et me regarda.

Le serveur arriva, débarrassa et apporta les cartes des desserts.

Madame, lui dit que ce n’était pas la peine et que ce serait deux icebergs bien tassés et un café.

Elle continua de m’observer et dit :

– Quand même, tu es un sacré cas, je crois que j’ai tiré un joli numéro. Je vais faire de toi ma créature, tu seras unique. Le chemin sera long, je n’en doute pas et sans doute que tu auras des moments difficiles, mais je serais là.

Mon visage s’illumina et je la remerciai chaleureusement.

– T’ai-je donné l’autorisation ?

Je fis un signe négatif de la tête.

– Effectivement, je conçois que ce que je viens de t’annoncer, t’est fortement ébranlé, mais tu ne dois jamais oublier MES règles. C’est compris ?

– Oui Madame, je m’en excuse.

– Bien, prenons le dessert puis nous irons chez moi.

Le dessert se passa dans un calme impressionnant, elle pensait, elle réfléchissait et m’observait.

Et je fis de même, j’appréciai sa beauté, sa féminité et son autorité.

Durant le trajet à pied pour aller chez Madame, elle m’informa de comment je devrais m’y tenir, ce que je devrais y faire et comment.

Arrivés en bas de chez elle, Madame me tendit un trousseau de clef en m’indiquant d’utiliser la plus grosse.

J’ouvris la porte, passa en premier et lui maintint ouverte la lourde porte.

Elle me guida pour aller chez elle. On prit son courrier au passage.

Elle alla à l’ascenseur, et m’indiqua de courir jusqu’au troisième étage et de lui ouvrir la porte , la deuxième sur la droite avec la petite clef.

Aussitôt sa phrase terminée, je me rua dans les escaliers pour arriver le premier comme elle le désirait.

J’avais peu d’avance, très peu, juste le temps d’ouvrir la porte et d’attendre dans le couloir son arrivée.

Elle sortit de l’ascenseur, me passa devant, j’entrai à sa suite et refermai la porte à clef.

Je l’aidai à enlever son manteau et l’accrochai.

Je mis genoux à terre et lui enlèvai ses chaussures pour lui mettre ses chaussons.

Je lui enlevai sa jupe, elle aimait rester en collant et longue chemise m’avait-elle dit lors du repas.

Elle s’en alla se poser dans le fauteuil et ouvrir son courrier en m’indiquant un placard derrière la porte de l’entrée.

– Ta tenue est là, m’a-t-elle dit.

Pour ma part, je me mis nu puis j’enfilai la tenue que j’y trouvai: une couche, un collant blanc, des escarpins noirs vernis, des gants longs en latex noir brillant, une robe longue de service en toile de jette teinte en noir, une cagoule en latex noir avec sa coiffe blanche et un serre taille blanc.

Je n’aurais le droit de me changer que le lendemain avant de partir travailler.

En attendant, j’allai me présenter devant ma Maîtresse , droit comme un i à ses côtés . J’attendis ses ordres comme elle me l’avait indiqué lors de notre sortie du restaurant.

Ce soir là, j’ai attendu une demi heure environ, qu’elle termina de lire son courrier, mais depuis, j’ai quelques fois attendu bien des heures.

Son courrier terminé, elle leva la tête et me regarda de haut en bas puis me dit :

– Alors ces escarpins ? Pas trop dur ?

Et moi je lui réponds :

– Ils sont à ma taille, mais c’est effectivement dur Madame, je n’en ai pas encore l’habitude.

– c’est tout à fait ça, tu n’en as pas encore l’habitude, mais ça viendra.

Elle me tendit une enveloppe vide qu’elle venait d’ouvrir et un stylo en me disant de prendre note.

– Demain, je te donnerai un trousseau de clefs. Si tu arrives et que je ne suis pas encore là, tu mets exactement la même tenue que celle de ce soir puis tu vas à la cuisine faire la vaisselle que je t’aurais laissée. Si tu as fini et que je ne suis pas encore là, tu trouveras sur le réfrigérateur, mes ordres à ton encontre. Quand je rentre, tu accours à la porte et tu m’aides à me mettre à l’aise, comme tu l’as si bien fait ce soir. Pour chez toi, en plus de ce que je t’ai déjà indiqué, à savoir, les alcools, les bougies, tout ça. Je veux que tu achètes des couches pour toi, je veux que tu en aies toujours chez toi et qu’à chaque fois qu’on se voit tu en aies 2 dans ton sac ou plus si tu restes plus longtemps, car ce n’est pas moi qui vait payer pour ton entretien vu que tu travailles. Je veux aussi que tu achètes une boite qui ferme avec un cadenas que je te donnerais. Tu y glisseras tout tes slips, caleçons, pyjamas, t-shirts et pantalons masculins. Tu devras toujours avoir dans ton congélateur de quoi me faire quatre repas à base de poissons. Tu remplaceras tous tes produits d’hygiène par des produits féminins, y compris déodorants et parfums. Et tu devras prendre uniquement dans les parfums qui suivent : violette, lilas, rose, vanille, ou cannelle. De même, tu remplaceras au plus tôt tout ce que tu peux tels que trousse de toilette, bagages, ustensiles de cuisine, draps de bains, coussins … pour des tons violets, mauves ou roses pâles. Car je veux me sentir bien quand je prendrais la peine de venir chez toi. Je veux également te voir quand tu n’es pas en tenue, toujours affublé de deux colliers, deux bracelets et deux bagues, et il faut qu’ils soient mixtes ou féminins, rien d’ultra masculin. Enfin, je veux que dès que possible que tu remplaces ton portefeuille tout moche par un portefeuille mauve. Bon maintenant je te montre où tu dormiras quand tu seras chez moi.

Elle me précédai vers son bureau, elle ouvrit un long placard mural et là je tombai des nues.

– oui c’est bel et bien un cercueil. Quand je te dirais qu’il est l’heure de te coucher, tu viendras te placer dedans, la fermeture sera automatique et ne s’ouvrira qu’en cas d’alarme incendie, si je le décide ou s’il est 4h du matin, heure à laquelle, désormais tu devras te lever. Maintenant, prends place.

Je m’y installai, je n’avais guère de place pour bouger, et une fois fermé, je ne pourrais pas me retourner, je serais condamné à dormir sur le dos.

Elle ferma le couvercle, et j’entendis le clic qui me deviendrait familier.

Elle me souhaita une bonne nuit, me rappela que les instructions pour le lendemain seraient sur le réfrigérateur, puis elle étint la lumière.

C’est ainsi que j’ai commencé mon service auprès de Madame qui tout au long de ces années m’a accompagné dans mes démarches et soutenu.

Je ne peux que continuer à être le meilleur possible pour ses besoins, elle est si douce.

Ceci est un fantasme, j’espère qu’il vous aura plu.

M.N

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