Une nuit avec ma belle dominatrice : un rêve éveillé (13)

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belle dominatriceMa belle dominatrice dans mon appartement

Nous restons une bonne heure lovés, enlacés l’un dans l’autre. Cette belle dominatrice me caresse le torse, et me dit que dès la semaine prochaine je n’aurais plus un seul poil sur mon corps. Elle m’interroge sur la sensation que j’avais d’avoir le sexe encore en liberté, sur le fait que j’ai pu lui faire l’amour sans contrainte autres que ses indications orales ?

  • J’ai faim : me dit-elle. Je vais nous préparer un petit repas pour reprendre des forces !

Ma Maîtresse qui me fait un repas, c’est le monde à l’envers, si je puis dire. Cependant, je suis heureux de cette situation. Enfin, je le serais encore plus si je pouvais voir quelque chose, mais ce n’est pas encore le cas. Elle se lève, fouille dans mes placards, va et vient dans mon appartement et se rapproche de moi. Ensuite, elle me met un collier de chien et me signifie ainsi que je retrouve ma place qui sera toujours la mienne. Elle y attache, au bruit, sûrement une laisse et me tire ainsi.

Elle me dirige d’abord aux toilettes pour se soulager dans ma bouche, rituel classique à présent. Ensuite, nous nous dirigeons vers la cuisine. Elle attache la laisse aux pieds de la table et me dit de patienter. Je l’entends s’activer en cuisine et pester car il n’y a pas tout ce qu’elle désire dans mes placards ou mon réfrigérateur.

Au pieds de ma belle dominatrice

 

Au bout de 20 minutes, elle passe à table. Je n’ai pas le droit visiblement de partager son repas avec elle. Elle me tire à ses pieds et me cale contre sa cuisse. Je sens encore son odeur d’ici ! C’est impressionnant comme je reconnais ma belle dominatrice, maintenant, à sa seule odeur. Ainsi, je me suis focalisé dessus à défaut de pouvoir voir. Je suis certain que je subis ce traitement dans ce but là. Je dois développer mon odorat et mes autres sens pour être capable de la reconnaître entre 10. Elle me fait de temps à autre ouvrir la bouche pour me nourrir. Certains aliments ne passent pas étant assez difficile. Maîtresse Ana se fâche en me disant de tout avaler sans rechigner sinon elle me mettra au régime sec pendant toute la semaine prochaine !

J’avale difficilement, je suis au bord du vomissement. J’avais évoquée cette crainte avec elle durant nos conversations sur internet. Ma belle dominatrice me pousse à lui obéir. Je dois faire bonne figure si je veux passer une semaine agréable à ses cotés.

  • C’est bien mon chien, ouvre la gueule !

La fellation

 

Je m’exécute ! Une petit boule tombe dans ma gorge puis elle me fait boire de l’eau pour la faire passer. Elle me dit qu’on passe au dessert et me le donne comme à un bébé, à une différence prêt que la je suis à terre à ses pieds. C’est un simple yaourt. Elle prend à peine le temps de me laisser avaler qu’une autre cuillère arrive au niveau de la bouche. Elle accapare tellement mon esprit que je n’ai pas ressenti ce qui se passait au bas de mon ventre. Une érection terrible me reprend alors que j’étais totalement extenué et vidé sexuellement parlant. Je ne comprends pas comment réagit mon corps. Ma belle dominatrice s’en aperçoit :

  • Eh ben mon cochon, tu bandes sérieusement, aurais tu encore envie de moi ?

Complètement perplexe, je lui avoue mon incompréhension, ne sachant pas pourquoi je bande autant à m’en faire presque mal. Elle se met à rire, un rire que j’apprécie par dessus tout.

  • Mon pauvre petit, me dit elle, vient la que j’apaise tes souffrances ! Débout !

Je me présente debout devant elle. Elle me trempe le sexe dans quelque chose de froid et visqueux et commence à me sucer. Ah terrible torture, je ne prends aucun plaisir à cela. Pour moi un soumis c’est le comble de l’horreur d’être sucé par sa Maitresse. Je dirais même qu’il s’agit d’une punition extrême. Enfin j’exagère un peu surtout quand c’est bien fait !

Cependant, je n’apprécie nullement les fellations et encore moins quand c’est ma belle dominatrice qui la pratique. Malgré cela mon sexe bande encore plus fort ! Je ne comprends pas la réaction de mon corps. Pourquoi tant d’excitation alors que je ne prends pas de plaisir ?

Un simple sex-toy

 

Je me concentre et commence à comprendre. Je pense à la petite boule qui ressemblait à un cachet ! M’a t-elle fait prendre du viagra ou un autre stimulant ? Ce ne peux être que cela. Mon sexe est raide comme jamais ! Elle se lève, me tire par la laisse puis m’allonge sur mon lit. Ensuite, elle m’attache les poignets et les chevilles aux montants du lit, et me chevauche à nouveau. Elle ne prend aucun ménagement. Je ne suis qu’un simple sex-toy à ce moment là.

Elle ne prend que son plaisir. Je ne ressens que peu de chose étant déjà totalement vidé auparavant. Son excitation est totale ! La base de mon sexe est détrempée. Je sens coulé son excitation même sur mes couilles. J’avoue que je suis aux anges ! Etre le jouet de ma maîtresse, pour son plaisir est un divin bonheur ! De plus, elle y prend du plaisir, cela s’entend.

Elle s’arrête toujours empalée sur moi et m’emprisonne à nouveau en contractant son périnée. Elle s’allonge sur moi et fouille à coté de moi. Ensuite, elle se redresse légèrement et me demande d’ouvrir la bouche !  Je sens qu’elle me colle un bâillon boule qu’elle me le sert fortement derrière la tête. Enfin, elle me cale bien la tête et me demande si j’ai mal. Je lui fais non de la tête et  je sens une résistance, comme un déséquilibre.

Ma belle dominatrice prend son plaisir !

 

Je devine tout de suite qu’il y a un god qui prolonge le bâillon et je ne me trompe pas. Elle délaisse mon sexe qui est toujours aussi raide pour venir s’empaler sur mon visage. Son sexe est collé à mon nez. Elle ne bouge plus, son excitation coule sur mes narines. Je suis au plus prêt pour la sentir. Cela m’excite totalement, me provoquant une érection encore plus forte et bien douloureuse.

  • Humm t’es un bon chien qui réagit à l’odeur de sa Maîtresse dis moi. T’es qu’un petit pervers en fait !

Ne pouvant parler, je me résous à faire un hum de la gorge mais me retrouve immédiatement écrasé encore plus.

  • Je ne t’ai pas permis de répondre. Mon soumis n’est pas un pervers, c’est un jouet, une chose qui a décidé de se donner corps et âme. Sexuellement et intellectuellement, il m’appartient. S’il se caractérise de pervers, c’est qu’il me prend moi même pour une perverse. Suis-je une perverse?

Je veux faire un signe de la tête de négation mais le sexe planté en elle et sa pression m’en empêche. Cela lui arrache juste un petit soupir de plaisir.

  • Très bien alors je vais continuer à me donner du plaisir !

Une vraie amazone sur son destrier !

 

A peine cette phrase finie, elle entreprend un va et vient sur le god, écrasant son sexe sur mon nez à chaque passage, haletant et gémissant. Etre comme cela le visage détrempé par la jouissance de ma maitresse est terriblement divin. Mon coup devient tout raide. Ma belle dominatrice ne semble pas vouloir s’arrêter.

Elle se retourne me présentant maintenant son anus sur mon nez. Ensuite, elle s’empale le plus possible pour que mon nez entre en elle. Les effluves m’enivrent. Au fond de moi, je me dis oui je suis un pervers. Cependant, c’est tellement bon d’être perverti de la sorte, de n’être plus soi même et d’être totalement dévouée au bien être d’une femme magnifique et libérée.

J’ai l’impression que son anus veut aspirer mon nez. Il s’ouvre tellement facilement sur moi. C’est dantesque. Elle reprend son va et vient et me branle en même temps sans aucun ménagement. Ce traitement ne m’apporte que souffrance mais je ne dis rien. Je subis en me laissant aller. Elle est totalement hystérique sur moi, et est totalement désinhibée. Une vraie amazone sur son destrier. Je sens la sève monter à nouveau en moi. Je ne peux pas parler mais mon corps s’arque sous la pression.  Ma maitresse le sent et accentue sa pression sur mon gland et son va et vient sur ma bouche. Elle jouit en inondant mon corps et moi j’éjacule le peu de foutre que j’avais encore en moi et qu’elle s’empresse de lécher. De plus, elle avale même ce qui me trouble encore plus dans ma position de soumis.

Ma Maîtresse prend du plaisir !

 

De son coté, elle ruisselle encore de plaisir. Ensuite, elle s’enlève de ce phallus artificiel et se remet sur mon sexe qui est semi rigide. Enfin, elle se frotte à lui tout en m’enlevant le bâillon. Puis m’embrasse à pleine bouche avant de coller son sexe sur mon visage et de me dire d’un ton sec « lèche ! ». Son odeur s’est mélangé avec la mienne. Son gout sur les premiers coups de langue s’est modifié mais rapidement il reprend le dessus. Je me délecte à nouveau de sa jouissance.

Elle n’arrête pas de se vider telle une fontaine intarissable. Je prends un plaisir fou à m’abreuver à cette source quand elle se met à jouir une dernière fois en me plantant a nouveau ses ongles dans mes épaules et en collant de toutes ses forces son sexe sur ma bouche. Une fois fini, elle s’allonge de tout son corps sur le mien, comme si j’étais une literie calant sa tête sur mon épaule. Elle m’embrasse le cou et me remercie à son tour.

Je suis tellement bien dans ses bras. Cependant, je regrette juste d’avoir les bras attachés et de ne pas pouvoir la serrer très fort. Elle me susurre à l’oreille que cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas joui aussi intensément.  Cela est étrange connaissant la taille de mon sexe. Elle aurait cru ne pas pouvoir autant jouir, elle qui les préfère beaucoup plus long et large. Elle m’avoue donc sa satisfaction et me dit que cela lui confirme tout le bien qu’elle pense de moi.

Le bonheur ultime

 

Derrière un physique banal (je ne le prends pas mal) se cache sa moitié. Elle me dit qu’elle est comblée et que je ne suis plus très loin du bonheur ultime. Je vais pouvoir voir son visage et donc être définitivement, et jusqu’à ce qu’elle me révoque, son soumis attitré mais aussi son compagnon dans la vie vanille aux yeux de tout le monde. Elle me détache du lit, me traine jusqu’aux toilettes pour lui permettre de se soulager dans ma bouche puis me réinstalle dans mon lit main attaché aux pieds.

Elle sort de la pièce et je l’entends prendre une douche alors que moi je suis encore gluant et collant de toute son excitation et de sa passion. Je pense m’être endormi avant qu’elle ne sorte de la salle de bain. Ainsi, je ne me réveille que le lendemain par mon réveil qui avait été mis a 7h au lieu de 6h. Je suis paniqué. Il faut que j’écrive un mail à ma Maîtresse. Je me redresse mais mes liens sont encore là. En bougeant, je sens qu’il y a quelqu’un à coté de moi. C’est ma Maîtresse qui a passé la nuit chez moi et qui se réveille tout doucement. J’essaye de me mettre dans une position moins inconfortable.

Le réveil avec ma belle dominatrice

Mes membres sont tous engourdis, mon sexe me fait mal du traitement de la nuit. Cependant, en repensant à la nuit dernière, une érection me prend. Toutefois, je me rends vite compte que je suis à nouveau mis en cage et que mon sexe bute contre la paroi et cette soudaine envie stoppe net. Je me recale dans le lit. Maîtresse Ana se réveille et m’embrasse sur la bouche en me disant :

  • bonjour, mon amour de soumis !

Je lui réponds par un :

  • bonjour ma Maitresse adorée !,

Elle me caresse le corps et frotte ses seins fermes sur mon torse. Je suis bien. A peine quelques minutes de se bonheur et elle m’extirpe du lit, pour me recoller aux toilettes.

  • tu vas voir ma petite chienne, le pipi matinale est d’un tout autre gout que celui de la journée, je te souhaite une bonne dégustation !

Elle commence à se vider.
En effet l’urine est plus forte, plus odorante et plus piquante. Je me concentre pour ne pas en laisser une goute par terre mais elle ne fait plus attention au rythme de son jet.  Au début, elle le contrôlait pour que j’ai le temps de tout boire  mais maintenant c’est à moi de faire en sorte de trouver les bonnes techniques pour tout avaler. Elle se retire puis constate les éventuelles pertes. Ensuite, elle me félicite en me disant que je suis un avaleur de première classe que là encore elle n’aurait pas cru que je tienne le coup sur la durée. Elle aurait pensé que je demanderais un traitement moins fort comme de boire plus d’eau classique. En fait, je respecte ce que j’ai dis.

Frustration

Je sais que cela sera encore dur mais que c’est ce que je voulais au départ. Je n’ai aucune raison de faire marche arrière. Elle se rhabille puis se prépare pendant que je dois rester dans le salon à genoux sans rien dire. Elle revient vers moi, me relève la tête et m’embrasse à nouveau en me fouillant de toute sa langue. Finalement, elle me dit à la semaine prochaine et d’attendre son coup de fils pour bouger de ma position. Ses talons claquent le sol et la porte se referme me laissant seul. Le téléphone sonne :

  • Allo ma chienne, je te félicite t’es docile à souhait et je te rendrais encore plus docile dans le futur. Tu vas pouvoir te lever et aller prendre une douche pour aller bosser. Je t’ai laissé un fichier sur ton ordinateur. Il s’appelle nuit de folie, si tu as le temps regarde le. Et elle raccroche.

Brrr quelle frustration de ne pas pouvoir en placer une au téléphone ! Cependant, ma curiosité est très forte alors je me précipite vers l’ordinateur. Je cherche le fichier et l’ouvre. C’est une vidéo visiblement. Ma stupeur est grande je me vois en position d’attente. Ensuite, je vois ma belle dominatrice de dos venir s’empaler sur moi. Terrible perversité, je vois son corps, sa longue chevelure brune, sa croupe divine qui s’empale sur moi. Toutefois, quand elle se retourne pour que je puisse enfin voir son visage, elle porte un masque, un loup avec un voile qui descend jusqu’au menton.

La vidéo de ma nuit avec ma belle dominatrice

Elle a tout filmé de nos ébat amoureux. Je ne vois pas le temps passé et un SMS me tire de cette rêverie :

  • Va au travail sinon tu va te faire engueuler !

Merde, cela fais plus d’une demi heure que je mate cette vidéo et que j’ai rien fait d’autre. Je le transfère sur ma clé USB, pour la visionner entre midi et deux. Ensuite, je me prépare en deux minutes pour aller au travail. 1h30 de retard, les transports en commun servent de bonne excuse mais ma tête est vraiment ailleurs.

Aujourd’hui, je n’ai aucune envie de travailler juste de penser à celle qui m’a envouté. Je lui envoie un mail pour lui faire part de ma surprise et de mon émotion quant à cette vidéo et que je suis fière et heureux de la soirée que j’ai passé hier. En retour, ma belle dominatrice me dit qu’elle mettra cette vidéo sur un site porno amateur et que pour la fin de semaine, j’aurais très peu de nouvelle car elle est débordée avant le séminaire. Je repars dans mes rêveries en attendant le lundi suivant.

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2 réflexions au sujet de “Une nuit avec ma belle dominatrice : un rêve éveillé (13)”

  1. Bonjour, je viens de lire tous ces épisodes d’une traite. Bravo. J’étais encagée pendant ce temps, ce qui m’a aidé à me projeter dans l’histoire. J’ai aimé la progression dans la perversion, la dévotion totale du soumis à sa Maitresse (de telles Femmes sont des Déesses) malgré quelques épreuves rudes, le vice de la dominatrice, les scènes d’urine et de cage portée.

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