La sublime Maîtresse et son jeune esclave

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jeune esclave

Étudiant de 21 ans, nouvellement arrivé à Paris, j’avais une obsession de plus en plus intense, rencontrer et servir une femme dominatrice en tant que jeune esclave. Je parcourais, tous les soirs, « Femdom dating » pendant 3 mois sans oser répondre à une annonce. Un soir, je décidai qu’il était temps que je me lance. Certaines femmes me répondirent que j’étais trop jeune et sans expérience. D’autres me laissèrent sans réponse. Le miracle se produisit un 2 décembre.

Une très élégante femme de 49 ans était d’accord pour « m’essayer »!

L’idée d’éduquer, façonner un jeune esclave la séduisait. Elle n’avait aucun tabou mais était prête à me dresser progressivement pour que j’apprenne. Très élégante, très souriante, elle avait une autorité naturelle et indiscutable. Elle était brune aux yeux bleus, les cheveux mi longs, grande, avec des formes généreuses (1m72, 76 kg). Divorcée, elle vivait seule dans un très beau pavillon, situé à Boulogne Billancourt. Elle ne travaillait pas, sa fille de 22 ans ne vivait plus chez elle. Elle occupait ses journées à voir ses amis ou prendre soins d’elle.

Très vite elle a défini mon rôle de sa belle voix douce et sensuelle. J’étais là pour lui rendre la vie la plus agréable possible. Je devais être à la fois une « boniche », un masseur, un chauffeur, un esclave sexuel, un souffre douleur… Un jouet utile prêt à répondre à n’importe quelle exigence aussi humiliante, perverse ou sadique soit-elle. Avec un novice, elle pouvait façonner un jeune esclave exactement comme elle le souhaitait.

  • Tu es comme une chaussure neuve. Il faut que le cuir se fasse, ça va prendre un peu de temps mais après tu va épouser parfaitement la forme de mon pied!

Elle a voulu, également, mettre les choses au clair, très vite, mes envies, mes fantasmes, ce que j’aime, n’aime pas… elle s’en fiche totalement. Une seule chose comptait, son bonheur, son plaisir et son bien être. Je devais être prêt à me fatiguer, à souffrir pour lui rendre la vie encore plus douce et plus amusante. Ma première épreuve a été de copier 15 fois, avec la plus belle écriture, les définitions du dictionnaire des mots « sacrifice », « dévotion », « déesse » et « esclave ».

Un premier rendez-vous mémorable

Elle me convoqua une première fois un dimanche à11H. Je n’avais presque pas dormi la nuit avant le rendez-vous. J’étais nerveux, j’avais très peur. Elle était particulièrement sexy avec un pantalon en cuir noir moulant, des escarpins à haut talons noirs et un chemisier blanc. Je me sentais un peu bête, sans savoir que dire, tétanisé devant elle, avec mes pages de définitions copiées. Tout en gardant son sourire, elle me prit les pages des mains et me flanqua une gifle magistrale. Ma joue était en feu et mon oreille bourdonnait.

  • A genoux esclave ! mains à plat par terre !

Aussitôt, j’entendis le bruit du papier qu’on déchire. Les morceaux de feuilles tombèrent sur moi pour atterrir sur le sol. Deux heures de travail répandu autour de moi. Je me sentais ridicule.

Je restais un moment les yeux fixés sur ses chaussures magnifiques qui sublimaient la féminité provocante de ma dompteuse. Son pied droit est venu se plaquer au dessus de ma tête pour l’écraser sur sa chaussure gauche.

  • Baise mes chaussures maintenant!

 

  • A chaque fois, que tu te présenteras devant moi pour dire bonjour, tu te prosterneras. A chaque fois, que tu t’adresses à moi, je veux entendre « Maîtresse ». Je te punirai à chaque faute. Des fois, je te punirai juste parce que j’en ai envie, pour me divertir un peu. Maintenant, relève toi et déshabille toi entièrement, dépêche toi, je te veux nu !

Pendant que je me déshabillais, elle saisit sur le guéridon un objet que je n’avais pas remarqué à mon arrivée mais qui m’effraya dès que je l’aperçus, une cravache.

 

Premier coup de cravache pour le jeune esclave!

jeune esclave

 

Une fois que je fus entièrement nu, elle me dévisagea de la tête aux pieds tout en parcourant mon corps du bout de sa cravache. J’étais rouge de honte. Sa cravache cingla un coup sur mes fesses. je n’ai pus m’empêcher de pousser un petit cri de douleur. Elle éclata de rire et n’avait pas l’air fâchée.

  • Tu cries juste pour ça ? Il va falloir t’habituer… ce n’est que le début mon jeune esclave. Bon allez, tu as beaucoup de boulot qui t’attend… Je veux un ménage impeccable, de fond en comble. Prends tes affaires, je vais te montrer tes outils et ton beau costume de parfaite « boniche ».

Elle me montra un placard à balais où il y avait des produits d’entretien, des balais, des brosses, de vieilles brosses à dents, des chiffons, des sceaux, un aspirateur, etc. Elle tira d’une étagère un tablier blanc en coton, à dentelles.

  • Tiens, mets ça!

Une nouvelle fois, je reçus un coup sec de cravache sur les fesses.

  • Alors qu’est-ce qu’on dit ?

 

  • Merci Maîtresse

 

  • C’est bien, baise ma main.

Dit-elle en me présentant sa main droite, tenant toujours la cravache.

 

Transformé en parfaite « boniche » pour nettoyer la salle de bain

 

Je devais commencer par la salle de bain, j’avais 40 minutes. Elle me retira, de suite, le balai que j’avais prévu pour passer la serpillière.

  • Tu n’as pas besoin de ça fainéant, la serpillière c’est à quatre pattes !

D’abord ranger chaque produit, nettoyer les flacons, les essuyer. Replier chaque serviette au carré. Astiquer la baignoire avec une petite brosse, nettoyer les vitres. Elle avait quitté la pièce, ça ne faisait que 20 minutes que j’avais commencé et j’en avais déjà marre. J’étais beaucoup plus concentré sur ce que j’avais à faire et le temps qu’il me restait plutôt qu’excité. J’étais à quatre pattes en train de passer la serpillière près du lavabo qu’en elle entra dans la salle de bain pour voir mon avancement.

  • Oh les belles petites fesses, c’est bien jeune esclave continue !

Elle s’assit à califourchon sur mon dos pendant que je frottais le sol.

  • Je suis venu te soutenir un peu, t’encourager.

J’étais à la fois excité par le contact de ses fesses et cuisses sur mon dos et épuisé par la contrainte de devoir la porter. Le fait de me rendre la tache plus difficile semblait l’amuser beaucoup. D’abord, elle mettait ses pieds là où je devais nettoyer me rendant l’accès à certaines zones impossibles. Finalement, elle souleva ses pieds, me laissant plus de place mais je devais supporter son poids entièrement. Je devais me déplacer avec elle sur mon dos. J’avais mal et ne pensais plus qu’à ma douleur, espérant qu’elle me laisse un peu tranquille le plus vite possible.

C’est à ce moment qu’elle commença à faire des mouvements de bassins en avant et en arrière, puis à faire des petits bons sur mon dos. Je n’en pouvais plus, je ne pouvais plus faire mon travail, j’essayais simplement de ne pas m’écrouler en attendant ma libération le plus vite possible. Elle se leva enfin.

 

Inspection en règle de mon travail!

 

  • Inspection dans 3 minutes, jeune esclave! Tu ferais bien de te dépêcher si tu ne veux pas être corrigé sévèrement ! Dit-elle en quittant la pièce.

Malgré mon travail intense, il était impossible de finir à temps.

Quand elle réapparut, j’étais en nage et finissais d’astiquer le robinet. Le sceau et la serpillère étaient au milieu de la pièce.

  • Tu te fiches de moi? ce n’es pas fini ! Je vais te corriger, tu vas comprendre ce que ça veux dire travailler, minable paresseux, sale esclave…

Elle me donna 2 violents coups de cravache sur les reins. Je m’écroulai à genoux devant ses pieds. Elle me donna à nouveau un coup de cravache sur le dos.

  • Pitié Maîtresse…

Elle me donna un coup de cravache sur les fesses.

  • Si tu sais m’implorer, je te donnerai une chance.

Je me prosternai devant elle et proférai des excuses. De plus, je  lui expliquai combien j’étais désolé et j’implorai sa pitié. Cela dura environ cinq minutes mais cela me sembla interminable. Je ne savais plus quoi dire pour gagner un peu de compassion.

 

Après les coups de cravache un peu de compassion…

Elle accepta, finalement, de m’accorder 10 minutes de plus pour finir la salle de bain. Je lui en étais, infiniment, reconnaissant. Je ne réfléchissais même plus. En fait, je n’avais plus aucun amour propre, plus aucune dignité. Je me retrouvais à implorer une femme que je connaissais à peine pour qu’elle me laisse finir de nettoyer sa salle de bain. Elle était vraiment très forte.

D’un geste élégant, elle retira son escarpin droit et me tendit son pied.

  • Baise mon pied pour me remercier de ma clémence.

Je m’emparai de son magnifique pied triomphal et chaud, couvert de nylon noir et apposai mes lèvres pour l’embrasser.

  • Merci Maîtresse.

 

  • Je suis trop gentille, la prochaine fois il n’y aura pas de deuxième chance…

Elle remit sa chaussure et donne un coup pied dans le sceau qui se renversa. L’eau sale se répandit sur le carrelage que je venais de laver.

  • Lave toi le visage avec cette serpillère, tu es plein se sueur, c’est dégoutant.

Je m’exécutai. Elle rit.

  • Essuie toi avec ce chiffon maintenant!

J’avais honte, je ne me sentais pas très bien.

  • Quoi c’est quoi cette tête, tu penses que tu es là pourquoi? Si tu veux être mon esclave et tu dois apprendre à me servir correctement. Minable petite merde !

 

Elle prit le flacon d’huile d’amande douce et en renversa un peu dans la baignoire, avant de tourner les talons.

 

  • Allez au boulot!

Deuxième inspection

La deuxième inspection se déroula sans souci. Ensuite, je devais nettoyer les toilettes. Elles n’étaient pas sales mais encore une fois, j’étais à quatre pattes pour frotter le sol. Elle me demanda de frotter l’intérieur de la cuvette avec une vieille brosse à dents. Elle exigea que je plonge bien ma main pour frotter sur l’ensemble de la cuvette.

Comme pour chaque inspection, il fallait que j’attende à genoux le verdict. J’étais à la porte des toilettes, fébrile.

Elle regarda partout.

  • Tu es content de toi?

La panique me rendit muet.

  • Je rigole… ne fais pas cette tête là… Voilà ce que j’appelle du beau travail, mon jeune esclave. C’est bien, il y a encore du chemin, mais tu commences à apprendre.

Elle s’assit sur le couvercle des toilettes en souriant et me demanda d’approcher. Elle prit la brosse des toilettes et me caressa la joue avec. Non seulement,  je me sentis humilié et dégradé mais le contact des poils dures était fort désagréable.

  • Je t’ai fait peur mon jeune esclave? Oh je suis désolée… Ne t’inquiète pas je suis certaine que je vais réussir à te façonner, te dresser comme il faut. Je vais faire de toi un bon esclave, tu vas voir. Tu es sur cette Terre pour une chose, être mon jeune esclave dévoué. Il y a des gens qui sont destinés à avoir une vie difficile et misérable, d’autres une vie facile et merveilleuse, il faut l’accepter. Si tu assumes ton destin, ton rôle, tu vas alléger un peu ton fardeau… et rendre ma vie encore plus douce par la même occasion… Je pense que tu peux y arriver, si non tant pis je prendrai un autre esclave…

Elle s’amusa à me recoiffer avec la brosse.

 

Première requête acceptée!

 

J’avais une énorme envie d’aller aux toilettes pour faire pipi mais je ne savais absolument pas comment lui demander.

Tête baissée vers ses pieds, j’osai enfin faire ma requête.

J’avais eu un peu peur mais, non sans me laisser « mariner » 2′, elle finit par accepter. En revanche je devais utiliser les toilettes qui se trouvaient au fond du jardin, dans la remise.

Je commençai à m’incliner un peu plus pour la remercier. Elle écarta très vite ses chaussures.

  • Attention à mes chaussures, tu te rinceras bien le visage avec le tuyau d’arrosage avant de rentrer dans la maison. Bon je commence à avoir faim, je vais préparer le déjeuner, dépêche toi et rejoins moi dans la cuisine.

Le froid d’hiver quand on est presque nu, c’est dure. L’eau glacé encore plus… Mais ça se passa relativement bien.

Quand je rentrai dans la cuisine, elle cuisinait tranquillement et gaiement. J’étais impressionné par sa dextérité dans le maniement du couteau sur la planche à légumes. Elle semblait professionnelle.

  • Non, habille toi avant de rentrer dans la cuisine, esclave. Je préfère.

Une fois rhabillé, elle me donna de petites tâches à faire comme l’épluchage des carottes. On voyait que la cuisine était son domaine. Elle faisait sauter des légumes dans différentes poêles, coupait de la viande en dés réguliers. j’étais impressionné. Le parfum des épices me mettait l’eau à la bouche.

Quand tout fut fini, elle me donna une nappe à poser sur la table. Elle dressa elle même la table. Malheureusement, il n’y avait qu’une seule assiette.

 

Debout à côté d’elle, pendant tout le diner

Je devais rester debout à côté d’elle prêt intervenir dès que je recevais un ordre qui était à chaque fois un seul mot.

  • Eau, vin, pain, vinaigre, etc.

A bout d’un moment, elle me dit.

  • Ecoute esclave, regarde moi dans les yeux… Tu dois me faciliter la vie. Crois-tu que je n’ai que ça à faire de réclamer les choses? Un bon serveur doit anticiper les demandes. Tu dois tout faire pour je puisse avoir un repas agréable, sans avoir à me fatiguer sans cesse. Mon verre d’eau doit être toujours plein, il doit toujours y avoir du pain coupé à côté de moi… Tu dois rester discret et délicat, compris?

 

  • Oui Maîtresse

Il était vraiment pas facile de rester debout, sur le qui vive avec la peur de commettre la moindre faute. En plus j’avais très faim… C’était difficile de la regarder en permanence manger son plat qui semblait vraiment délicieux.

Elle mangeait lentement, avec beaucoup de raffinement. Elle se mit à me poser des questions sur mes études, ce que faisaient mes parents, la chambre d’étudiant que j’habitais, mon petit frère, tout en savourant son plat. Je lui expliquai que mes parents n’étaient pas très riches mais qu’ils tenaient à ce que je n’ai pas à travailler pour mes études. Toute la famille faisait des sacrifices, c’est pour ça que j’essayais d’étudier sérieusement pour ne pas les décevoir. J’étudiais tous les soirs jusqu’à tard.

 

Fin du diner!

Elle m’écoutait et m’interrogeait avec un sourire indéfinissable, un peu hautain. Ma vie était très éloignée de son univers, ses fréquentations. Ça l’amusait beaucoup, elle n’avait rien besoin de dire pour me faire ressentir sa supériorité.

  • Tu vois que j’ai fini mon assiette esclave et que je n’ai plus de vin? Tu dois me demander si je ne veux pas autre chose, me proposer du vin…

 

  • Avez-vous terminé Maîtresse? Souhaitez-vous autre chose?

 

  • Oui esclave, sers moi le reste de légumes et de viande. Et sers moi un demi verre de vin.

Je m’appliquai pour faire une belle assiette et ne pas renverser la moindre goutte de vin.

Elle commença à manger un peu puis reposa sa fourchette et enfin, elle repoussa son assiette. Elle but le vin et dit:

  • J’ai déjà beaucoup mangé, je n’ai plus faim. Il faut que j’essaie de faire un peu attention. Tu peux tout jeter à la poubelle et débarrasser.

Elle se leva, me demanda de m’approcher d’elle, à genoux. Elle plaqua ma tête contre son bas ventre et me caressa les cheveux tendrement, sans rien dire.

  • Tu peux embrasser mes chaussures.

Elle se tourna ensuite, je levai les yeux.

  • Embrasse mon cul maintenant. Dit-elle en riant.

J’étais très surpris et hyper heureux. Ses fesses généreuses, galbées de cuir, étaient magnifiques. J’eus juste le temps de faire un baisé et elle s’éloigna très vite.

– Tu vas me faire un café avec les capsules qui sont là. Je vais me reposer un peu sur le canapé du salon. Tu me l’apporteras là bas.

A suivre…

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