Soumission et amour, les liens qui libèrent!

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Je peux vous dévoiler aujourd’hui des confessions intimes, restées enfouies de nombreuses années par retenue, ou timidité. Il m’a fallu plusieurs années avant de reconnaitre mon amour du pied féminin, mon masochisme prononcé, mon désir passionné pour les femmes cruelles, exclusivement cruelles, pouvoir le clamer haut et fort et le soumettre aux désirs des femmes. Je souhaite dans ce témoignage qui me libère, leur dévoiler tous mes points faibles, mon attirance pour les pieds nus et sales, pour les cordes, pour le fouet, pour la soumission… Je leur confierai tous les détails qui leur permettront de dominer un homme. Il leur suffit d’appuyer sur les points faibles, ceux qui font craquer. Pas besoin de force physique, il suffit d’ôter un escarpin. Mon désir pour ce pied est si fort qu’elles pourront tout faire de moi en me suggérant la simple possibilité d’embrasser les deux, de les laver, de faire le pédicure….

J’ai pour ma part tout à apprendre de leurs désirs sadiques souvent enfouis et non exprimés, par pudeur ou timidité, et leur propose de les libérer. Le lien entre ces deux désirs, celui de la Maîtresse et celui de l’esclave, peut se matérialiser par des cordes, et des nœuds. Ces liens libèrent l’un et l’autre : l’esclave de ces désirs de soumission, et la Maîtresse de ces désirs sadiques, sans retenue, sans limite de temps….Que pensez-vous d’un homme qui souffre longtemps, pour vous faire plaisir, et qui ne peut que vous remercier, tant il est fasciné par vous, par votre pouvoir, et qu’il a besoin de vous ? Le plus dur pour lui ne serait pas la torture, mais votre absence, car il vous aime, son cœur est gonflé de sensations contradictoires, de douleur et d’émotion fortes….

Soumission totale à une dominatrice fétichiste des pieds!

 

soumission

 

Cupidon visait le cœur pour décocher une flèche, et celle-ci provoquait l’amour du cœur blessé. C’est ce que ressent un soumis attaché à un poteau. Son cœur gonflé de sang ressent comme des aiguilles qui se plantent petit à petit, et son désir explose. Que penseriez-vous alors de l’attacher à un poteau, seul dans une chambre noire, les yeux bandés et bâillonné, sans aucun repère temporel. Si les liens sont biens faits, il deviendra fou en désirant plus que tout votre retour, même si celui-ci doit s’accompagner d’une punition au fouet. Il préférera çà à rester seul. Et vous le dominez complètement : il est votre esclave.

L’expérience s’accompagne bien entendu de détails techniques de bondage qui permettent une immobilisation totale sans aucune possibilité de se détacher. De sa qualité dépend la qualité de la relation maîtresse / esclave, et je vais vous décrire une expérience qui détaille cette pratique amoureuse. Voici un souvenir qui restera à jamais inscrit dans ma mémoire : Je suis tombé fou amoureux d’une femme qui exigeait de moi, comme préliminaire amoureux, de la déchausser, et de lui masser longuement les pieds. Elle me brandissait un livre qu’elle aimait et qui traitait de la réflexologie plantaire, dans le but de m’enseigner les terminaisons nerveuses et ses points sensibles que dévoilent les sciences de l’acunpunture.

Son fantasme était donc le même que le mien, la passion, et la vénération du pied, le sien, potelé à souhait, taille 36…un véritable délice.

 

De plus en plus loin dans l’expérience de soumission!…

 

Autant vous dire que nous nous sommes adonnés à ce jeu tous les jours, tous les soirs et toutes les nuits, à tel point qu’il devenait plus important que l’acte final de pénétration qui du coup devenait une simple option dans nos jeux amoureux. Je me suis donc efforcé d’apprendre les techniques contenues dans ce livre afin de la servir comme elle le désirait, passant ma langue entre chaque orteil, dans toutes les courbes de sa voûte plantaire.

Nous explorions toutes les variantes, sales, propres, agenouillé au pied du lit en les léchant langoureusement jusqu’à ce qu’elle trouve le sommeil, la tête sous ses escarpins lorsqu’elle travaillait à son ordinateur, enfin je passais ma langue dans ses parties intimes lorsqu’elle me le demandait pour jouir…Elle me disait alors gentiment après avoir joui. «C’était génial, mais je ne peux pas faire ce que tu me fais, je ne peux rien donner, seulement recevoir… »

 

A ces mots, mon cœur explosa et mon désir de donner s’amplifiait. Je ressentais du plaisir dans ma frustration, un état d’extase amoureuse, je devenais son objet. Il fallait que çà dure longtemps, que je sois toujours en état de manque pour la vénérer, la satisfaire…Je lui répondis que c’était en effet beaucoup mieux ainsi, et que nous ne changerions jamais les rôles.

Le sentiment amoureux commençait à naître, ainsi que la dépendance à l’autre, et nous décidâmes d’aller plus loin dans l’expérience de soumission. Jeu entre deux adultes consentants. Un week-end dans une cabane de plage allait devenir pour moi une révélation.

 

…Attaché à un poteau et que le jeu de soumission commence!

 

Nous avions amené des bons cordages de bateau, des cordes, à la fois résistantes et douces au toucher, capables de maintenir un corps immobile sans bloquer le sang. Elle m’amena près du poteau en bois situé au centre de la cabane, et me demanda gentiment de passer mes mains derrière le poteau, en appliquant fortement mes épaules sur le poteau. Tout d’abord, elle prit  une petite corde de 2 mètres et enserra un poignet en faisant plusieurs tours, puis l’autre, en faisant à nouveau trois tours, puis enserra les deux poignets joints, et fit à nouveau trois tours reliant les poignets au poteau.

Elle répéta cette opération avec les coudes. Mes deux coudes étaient joints à l’arrière du poteau. Elle prit alors une longue corde afin de faire plusieurs fois le tour de la poitrine derrière le poteau, puis resserra les deux bords de cette corde avec une corde plus petite qui passait entre mon dos et le poteau et resserrait ainsi la corde principale. Elle se munit alors de plusieurs cordes afin d’immobiliser mes jambes suivant la même technique. La première enserrait mes chevilles, la deuxième reliait mes mollets sous le genou, la troisième était située au-dessus du genou, bien sûr reliée
comme toutes les autres derrière le poteau, la quatrième emprisonnait mes cuisses.

Enfin une longue corde faisait le tour de ma taille plusieurs fois, et était reliée à l’arrière du poteau, puis à mes poignets. Je pouvais encore la remercier d’un ligotage aussi bien fait. Alors elle applique des pinces sur mes tétons, et m’infligea un bâillon. Seuls mes yeux pouvaient encore la voir, alors elle m’imposa une cagoule. Je ne voyais plus rien, j’entendais à peine, et je ne pouvais plus parler…..Elle était satisfaite, le jeu était à elle et elle allait pouvoir commencer à s’amuser.

 

Bâilloné, attaché avec une cagoule pour attendre le retour de ma Maîtresse!

 

Elle ne me dit rien, et j’entendis la porte s’ouvrir, puis se refermer. Elle m’avait laissé seul dans la cabane, et heureuse de son pouvoir et de sa liberté, elle alla se détendre dans un café. Je ne savais pas ce qui se passait. J’étais seul, dans le noir, attaché à un poteau, sans pouvoir bouger. Je cherchais à imaginer ce qu’elle faisait, et je me languissais de son retour.

Je ne sais pas combien de temps ceci a pu durer, des heures sans doute, puisqu’elle revient au soir. J’étais heureux, j’entendis la porte s’ouvrir, j’haletais de bonheur. J’entendis enfin sa voix douce et si sensuelle, qui me susurrait à l’oreille qu’elle était toute excitée de la situation et qu’elle avait ramené un homme pour la nuit, et qu’elle coucherait avec lui en me regardant attaché afin de prendre un maximum de plaisir. Je commençais à fondre, à transpirer, a
souffrir de la situation, mais elle m’expliqua que c’est ceci qu’elle voulait. Dans ce jeu de soumission. je n’avais pas d’autre choix que d’obéir.

Attaché de la sorte, ma révolte était impossible. Je ne pouvais rien dire car j’étais bâillonné. Elle se dévêtit et s’installa sur le lit avec son amant. Ensuite, elle revint vers moi en m’enlevant la cagoule. Elle me dit toujours avec la même voix douce ;

  • Je veux que tu regardes, que tu me voies faire l’amour avec lui. Pour te tenir compagnie, et que tu ne sois
    pas trop seul, voici mon escarpin, tu le garderas toute la nuit attaché sur le nez.

 

Spectateur des ébats amoureux de la femme aimée avec un autre!

 

La nuit que j’ai passé fut à la fois la plus belle et la pire de mon existence. Parfois la souffrance de voir la femme aimée entre les mains d’un autre était trop forte, et je me mettais à pleurer. Ceci l’excitait au plus haut point et c’est ainsi, qu’elle aussi, passa une des nuits les plus folles de sa vie amoureuse……

Le lendemain matin, elle fit sortir son amant et me détacha enfin. J’explosais de bonheur et de reconnaissance. Je ne pouvais rien dire. J’étais sans voix, alors je suis tombé à genou devant elle et j’ai entrepris un massage de pieds dont je me souviens encore…..

C’est la plus belle histoire amoureuse de mon existence. J’ai aimé cette relation de soumission.

Puis elle me dit, qu’elle ne pouvait plus vivre çà, et elle m’abandonna, exigeant la séparation. J’en souffre encore dix ans après…persuadé qui si jamais je la revoyais, je n’aurais qu’un désir, celui de vénérer ses pieds.

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