Aux ordres de Madame, Maîtresse Dominatrice Clémence!

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J’étais son chien depuis des semaines éduqué, dressé. Elle m’avait, même, envoyé en pension pour un dressage sévère. Ensuite, j’étais revenu, obéissant, ayant même reçu un prix d’obéissance de deuxième niveau. Je l’avais rencontré lors d’une séance chez une Maîtresse dominatrice. Elle était, elle même, élève domina auprès d’une autre Maîtresse sévère. Ce fut un coup de foudre BDSM.

De suite, j’étais devenu son jouet. Cela avait été une découverte et un échange intense entre nous deux. Elle m’avait donc imposé de n’être qu’à elle. J’étais émerveillé par sa beauté, sa spiritualité, son intelligence. Aussi, je m’étais incliné corps et âme. Mon apprentissage fut donc amour et passion pour elle. J’étais sa chose, son jouet. Cependant, parfois, nous vivions comme un couple normal et faisions l’amour intensément. Auprès de nos amis et collègues, nous vivions un parfait amour. Dans l’intimité, elle était ma dominatrice et moi sa chose. J’étais la bonne à tout faire. Elle m’imposait même de porter une tenue de soubrette. Toutefois, j’étais heureux de le faire. J’étais son chien, sa chienne, à quatre pattes, offerte à son bon vouloir pour léchage, massage des pieds et toute autre idée que ma Maîtresse m’imposait.

Maîtresse dominatrice

Rituel d’accueil pour ma Maîtresse dominatrice

Clémence était une petite brune avec des yeux noisettes et un regard espiègle. Elle avait un corps fin et nerveux, sublime, musclé. C’était une infirmière au bloc opératoire. Agée de 32 ans, elle adorait le sport, et pratiquait des arts martiaux et du fitness. J’étais devenu son animal de compagnie depuis des jours.

Je suis infirmier, en heures décalées. Aussi, lorsque j’étais de repos à la maison, je faisais le ménage, le lavage et le repassage.  Je devais, être habillé en soubrette et lui envoyer, aussi, des photographies tout au long de la journée. Le repas du soir devait être prêt pour son retour. Dès que la porte s’ouvrait, j’étais à quatre pattes, nu, le collier et la laisse en place. Bien entendu, j’étais encagé et j’accueillais ma douce déesse, un rosebud de 6 cm de large en acier avec une fausse queue animale en place dans mon anus. Je tournais autour de mon étoile comme se doit de faire le chien que j’étais, pour accueillir ma Maîtresse.

 

Un soir, erreur impardonnable!…

Un soir, après le rituel d’accueil, elle m’ordonna de me calmer, ce que je fis immédiatement. Ce soir là, elle était en jean et chemise avec son manteau de cuir et ses baskets blanches. Elle m’ordonna de préparer tout pour son bain de pieds pour la détendre. Je m’exécutai, immédiatement, toujours à quatre pattes, à travers l’appartement.  Ainsi, je préparai deux bassines d’eau chaude avec de quoi lui laver les pieds puis j’ajoutai des huiles de massage. Ensuite, je lui enlevai le manteau, les baskets et chaussettes pour embrasser le dessus de ses pieds nus. Enfin, je déboutonnai son jean afin de le faire glisser le long de ses belles cuisses musclées et ses mollets. Elle fit glisser sa culotte pour dévoiler son intimité et me pressa pour enlever sa chemise et son soutien-gorge car elle avait une envie pressante.

Je l’entendis uriner quand d’un coup elle cria:

  • Sale chienne et le papier wc? viens ici tout de suite!

Je courus et ne pipai mot du fait de mon oubli. J’étais impardonnable.

  • Crois-tu que je vais me lever sans être propre?

 

…Puni par ma Maîtresse dominatrice!

 

Elle me gifla et approcha ma tête de son sexe.

  • Cela t’apprendra, lèche et nettoie ton erreur.

Je fis donc ce que je n’aimais pas vraiment. Cependant, toute erreur réparée était vite oubliée et le compteur remis à zéro. Aussi, je mis ma langue sur son sexe offert. Il y avait cette odeur d’urine sur mon nez et quelques gouttes sur mon visage. Cependant,  je léchai son sexe tout entier, avec cette odeur un peu forte, après une journée de travail éreintante.

Elle se mit à gémir et colla plus fort ma tête contre elle. Ensuite, elle me repoussa violemment, satisfaite et m’ordonna de laver mon visage souillé. Elle s’installa nue dans le canapé et je lui lavai les pieds longuement comme cela lui plaisait tant. Je lui passai, ensuite, de l’huile d’amande douce après avoir embrasser de nouveau ses pieds. Enfin, je la massai longuement avant qu’elle ne décide d’aller manger. Je mangeai avec elle en face comme tout couple normal! Seulement, j’étais nu, godé et prêt à obéir à ses ordres. Mais ce ne fut plus le cas de la soirée. Elle me libéra et se coucha tôt pour dormir. Je fus, même, autorisé à me coucher à côté d’elle sans la toucher, en dehors d’un câlin et d’un baiser tendre.

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