Dépucelage

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dépucelage

Ce soir là, ma Maîtresse était rentrée tard. Comme toujours en rentrant de la fac, j’avais troqué mon jean, et mon tee-shirt contre une tenue de soubrette avant de m’attaquer aux divers travaux ménagers qui m’étaient impartis. Quand Madame rentra vers 21h, j’étais à mon bureau profitant que mon travail domestique était terminé et de l’absence de celle qui menait désormais mon emploi du temps pour réviser mes cours.

J’entendis la porte de la maison s’ouvrir. Immédiatement, je me rendis dans l’entrée pour accueillir ma Maîtresse et attendre ses instructions.

Les mains dans le dos la tête baissée un mètre devant elle j’attendis qu’elle m’adresse la parole. Elle prit son temps pour refermer la porte à clef, retirer son manteau et le pendre au crochet prévu à cet effet.

« Cela fait un mois que tu es à mon service aujourd’hui. J’ai préparé une surprise pour toi pour fêter cela. Va chercher une bouteille de champagne et un verre et apporte les sur un plateau dans la salle de bain. Apporte moi aussi mon fauteuil louis XV et mon livre qui est sur la table basse du salon.

-Bien Madame »

Je m’empressais de faire ce qu’elle m’avait demandé en ignorant en quoi consisterai cette surprise. Quand j’arrivais avec le champagne dans la salle de bain elle était déjà assise confortablement dans son fauteuil favori, un sac noir posé à ses pieds.

« Pose le plateau sur la tablette, retire ta culotte place toi à 4 pattes jupe et jupon relevés »

Je fis bien entendu ce qu’on me demandait adoptant une position que je connaissais bien. Elle prit le temps de boire quelques gorgées de champagne en caressant mes fesses nues et mes cuisses gainées de bas noirs avec la pointe de son escarpin. Puis, elle se leva, je l’entendis prendre des choses dans le sac noir. Elle était derrière moi j’entendais ce qu’elle faisait sans oser tourner la tête pour comprendre en quoi cela consistait. Elle fit couler de l’eau, j’entendis des claques des clics. je ressentis à ce moment (pourquoi à ce moment la ?) la froideur du carrelage sous mes mains et mes genoux.

Je sentis sa main caresser mes fesses, les écarter, son doigt caresser mon anus. Une claque sur la fesse droite rompit cette douceur.

«Ecarte les cuisses et cambre toi ! »

Je fis de mon mieux pour libérer l’accès à mon intimité.
Une chose dure appuya sur ma rosette et s’y introduisit comme un thermomètre.
Jusqu’à présent elle n’avait jamais pénétré mon cul. Elle avait caressé mon petit trou, avait souvent parlé de me sodomisé mais cela était resté une menace qui d’ailleurs m’effrayait.

« Cela fait un mois que tu es ma soubrette. Tu as appris à t’habiller à marcher avec les chaussures à talon, et à te maquiller. Aujourd’hui tu vas continuer dans cette voie en apprenant ce qu’être pénétrée veut dire. Bien sur, comme tu n’as pas de vagin tu seras prise par ton autre orifice. Mais avant je veux que ton fourreau soit bien propre. C’est pourquoi, je vais prendre le temps de le laver. Garde la pose et attends sagement d’être remplie. »

Je sentis le liquide glacé envahir mes intestins. La surprise passée la sensation n’était pas désagréable. Mais rapidement le poids du liquide se fit plus présent. Je sentais mon ventre gonfler, ma vessie était compressée et me donnait envie de d’uriner; ce que je me gardais bien de faire bien entendu. Juste au moment ou la pression devenait intolérable, l’écoulement s’arrêta. Ma Maîtresse qui surveillait le remplissage retira la canule fichée dans mon intimité.

« Bien nous allons attendre tranquillement un quart d’heure pour que tu sois bien propre »
Elle retira sa culotte qu’elle enfila sur mon visage l’entrejambe plaqué sur mon nez.
« ça t’aidera à patienter »

Elle s’assit, prit son livre et bouquina en sirotant son champagne. La chaleur de la journée avait favorisé exaltation de ses divins parfums dans le tissu qui maintenant ornait ma tête. J’étais partagé entre la torture infligée à mes intestins qui n’aspiraient qu’a expulsé le liquide et la douceur de la soie imprégnée des odeurs de celle que je servais avec un plaisir de plus en plus assumé ( très jeune déjà j’avais découvert lors de vacances chez une tante le plaisir de respirer une douce petite culotte trouvée dans le panier à linge de la salle de bain) Privé de tout repère temporel le temps me paru interminable. Rapidement les sensations de mon ventre l’emportèrent sur mon odorat et je sentis mes yeux se mouiller au fur et à mesure que je faisais des efforts pour garder en moi le lavement qui m’était imposé.

J’entendis avec soulagement Madame fermer son livre, boire une dernière gorgée de champagne et aller ouvrir le couvercle des toilettes derrière moi.

« Tu va pouvoir aller te vider mais fais bien attention attendre d’être assise sur le trône ! Aller va sans faire de saleté. »

Je me mis debout avec précaution et relevant jupe et jupons, me dirigeais à petits pas vers le siège qui me délivrerait. A peine fus-je assis que mes intestins se libérèrent bruyamment. L’infirmière improvisée fichée devant moi le sourire aux lèvres, un verre à la main commentait l’évacuation :

« C’est bon hein ? … Tu te sens libérée salope ? … Ça va te faire un beau petit cul bien propre que je vais défoncer avec plaisir… »

j’encaissais ses railleries tête baissée toujours ornée de sa culotte. Dés que je pensais avoir finit de me vider, je sentais de nouvelles vagues affluer et reporter d’autant le moment ou je pourrais enfin quitter ce siège humiliant…

Lassée Ma Maîtresse tourna les talons et sortit.

« Bon, retrouve moi dans ma chambre quand tu auras fini; inutile de remettre ta culotte. »

Je retrouvais Madame quelques minutes plus tard. Elle m’attendait assise sur son lit en train de fumer un petit cigare. Je frappais à la porte déjà ouverte, elle me dit d’entrer et de venir me mettre à genoux à ses pieds. Sans dire un mot, elle prit le temps de finir son cigare. J’attendais docilement la tête baissée qu’elle me donne de nouvelles directives. Elle se leva, passa derrière moi et me banda les yeux avec une écharpe de soie que je connaissais bien. Je la sentis fouiller dans le sac que j’avais vu posé sur le lit. Il me semblait qu’elle sortait plusieurs choses qu’elle semblait ranger sur le dessus de lit.

Me saisissant par les cheveux elle redressa doucement ma tête, me caressa les lèvres que j’entrouvrais immédiatement. Elle fit glisser son doigt dans ma bouche jouant avec mes dents et ma langue. J’adorais ses caresses intrusives et déjà je me laissais aller à gémir. Elle retira doucement son doigt. Quelques secondes après, je sentis s’introduire dans ma bouche encore ouverte un god de plastique dont la dimension correspondait à un sexe de petit diamètre.

« Suce! Je te veux encore plus docile et salope que d’habitude. Lèche cette bite qui va me servir à t’ouvrir le cul. Aime la et dorlote la, car c’est elle qui va te dépuceler. »

A ces mots, j’étais à la fois extrêmement excité, et je craignais déjà de sentir cette chose ouvrir une voie qui ne me paraissait nullement prête à cet usage.

Ma Maîtresse retira le god de ma bouche et me fit mettre à 4 pattes sur le lit. Elle prit tout son temps pour passer derrière moi et relever ma jupe et mes jupons. Elle préparait son terrain de jeu, replaçant une jarretelle, caressant mes fesses, les pinçant, écartant les deux lobes pour caresser ma rosette du bout du doigt. Je sentis un liquide froid couler abondamment sur ma raie pour se concentrer sur mon anus qu’elle massa avec application. Je me raidissais sentant que le moment où j’allais être ouvert approchait.

En effet je ne tardais pas à sentir se poser à l’endroit stratégique le bout arrondit du sexe factice que j’avais sucé quelques minutes avant.

« Cambre-toi. »

Une claque violente sur la fesse gauche me sorti de ma torpeur.

« J’ai dit cambre toi ! Je veux que tes fesses soient bien ouvertes pour assister au mieux à ton dépucelage ! »

Je m’ouvrais de mon mieux cherchant à la fois à m’offrir à ma Maîtresse et à trouver une position qui me permettrait d’accueillir l’objet sans être déchiré. Je sentis une poussée progressive mais ferme, rapidement mon sphincter céda et le godemiché s’engouffra inéluctablement au fond de moi.

« C’est bien petite chienne, laisse toi prendre gentiment, ouvre toi pour me laisser te sodomiser à mon aise. Voilà tu es bien prise, tu à l’air d’aimer ça… »

J’étais comme dans un rêve. Je n’avais pas mal. Ce dépucelage tant redouté se passait en douceur et, passé la première peur, la sensation était plutôt agréable.

Tout à coup, alors que le god était à moitié enfoncé en moi, elle le retira presque entièrement et l’enfonça jusqu’à la garde d’un coup violent. Je crus être transpercé, je ne pus retenir un « hein !!! » Je n’eus pas le temps de réaliser, que les allers et retours s’enchaînèrent ne me laissant aucun repris. Je ne pouvais qu’adapter au mieux ma position pour laisser passer la tige qui me ramonait le cul. Mon anus commençait à brûler, mes yeux étaient mouillés et ma bouche n’émettait que des râles à chaque intrusion. Les allées et venues en moi cessèrent tout d’un coup me laissant le cul entrouvert et le souffle court. Rapidement, je sentis à nouveau quelque chose s’introduire en moi. Contrairement au god qui, une fois entré, ne changeait pas de diamètre, ce qui me pénétrait grossissait de plus en plus je sentais mon trou s’élargir au fur et à mesure que j’étais enculé. Au moment où je crus que je ne pourrais plus supporter un millimètre de plus, le diamètre diminua brusquement entraînant la masse au fond de moi. J’étais pris, l’anus écarté, le rectum emplit sans pouvoir me débarrasser de la chose.

« C’est un plug ma douce. Tu le sens dilater ton cul ? Comme ça, tu seras bien ouverte pour m’accueillir. Tu en porteras régulièrement, celui-ci et d’autres plus gros pour être toujours prête à te faire prendre selon mes envies. »

Toujours dans le noir n’osant bouger d’un pouce, je l’entendis préparer quelque chose. Elle vint se place devant moi et me prenant la tête à deux mains elle força ma bouche avec un god bien plus gros que le premier. Celui-ci mimait un sexe d’homme avec le gland et les veines sculptés dans le latex rigide.

«Suces moi bien. J’ai choisi ce god ceinture pour te dépuceler car il possède un autre god plongé en moi qui me fera ressentir chaque pression dans ton cul au fond de mon sexe. Ainsi je prendrais vraiment mon plaisir en te sautant. »

Je suçais de mon mieux le membre qui distendait mes lèvres alors que ma Maîtresse s’excitait en le faisant aller et venir. Quand elle eut finit de s’amuser avec ma bouche elle passa rapidement derrière moi, retira le plug pressa un tube de lubrifiant sur et dans mon anus et s’engouffra en moi d’un coup sec en me maintenant par les hanches. Mon râle se confondit avec le sien. Appuyant fermement sur mes reins pour que je me cambre au maximum, elle me baisa à sa mesure. Alternant les séquences douces de poussées lentes et profondes ponctuées de gémissements de ma part et de la sienne, aux temps ou elle me défonçait rapidement en criant son plaisir pendant que je pleurais de douleur en haletant sous les coups de boutoir.

Au bout d’un moment les allers et retours furent de plus en plus pénibles, les effets du gel devaient diminuer et mes muqueuses s’irriter mais ma Maîtresse continua à me prendre de plus en plus violemment jusqu’à ce que, se laissant aller au plaisir, elle se fiche au fond de moi en tremblant sous l’orgasme qui la terrassait. Elle s’effondra sur moi le god toujours planté en moi. Elle me caressait la nuque en reprenant ses esprits, me dorlotant avec tendresse.

« Je t’adore petite chienne. J’avais rêvé de ce moment là et tu ne m’as pas déçue. Je te veux ouverte pour mon plaisir. Nous allons te dilater doucement pour que tu n’ais plus mal et que je puisse te prendre comme ma petite femelle adorée. . »

Nous restâmes ainsi soudés de longues minutes. Je n’avais plus mal, des larmes d’émotion coulaient de mes yeux sans que ce soit des pleurs. J’étais détendu, toujours engodé mais j’aurais voulu à présent garder ce membre en moi et ma Maîtresse attachée dans mon dos.

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