Esclave de pieds d’une Reine.

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Présentation à la Reine

Moi esclave de pieds, je m’agenouillai devant la reine. J’avais honte de mon apparence mais j’avais fait un très long voyage reine gynarchiquepour arriver jusqu’en ce pays reculé et avoir l’honneur d’une audience. Allongée sur un sofa, uniquement vêtue d’une tunique en tissu blanc ne couvrant que la moitié basse de son corps et laissant sa poitrine totalement apparente, elle était entourée de deux gardes Amazones, stoïques.

Elle était jeune, peut-être pas plus d’une trentaine d’année. J’en avais vingt-deux, pour ma part.
En cette contrée, seules les femmes étaient autorisées à prendre le pouvoir. Les hommes n’avaient pas le statut de citoyen, ils avaient donc encore moins le droit d’avoir accès à la grande salle du palais et d’adresser la parole à la reine.

Mais la jeune femme m’avait fait cet honneur en ma qualité d’étranger venu de loin.
« Eh bien, je serais curieuse de savoir ce que tu désires, visiteur. Parle.
-Majesté, ma demande va vous surprendre mais… je souhaiterais entrer à votre service et devenir votre esclave. »

Ma proposition pour devenir son esclave de pieds

Elle eut l’air étonné. Il était vrai que, dans les appartements de la reine, de nombreux esclaves s’affairaient à nettoyer les sols et les murs, à faire son lit, à vider son pot de chambre et à lui faire couler des bains, mais c’était généralement un statut qu’on ne désirait pas prendre de soi-même. Les esclaves étaient plutôt des anciens criminels de basse envergure, vendus sur des marchés.

« Je ne comprends pas, dit la reine. Pourquoi un homme voudrait-il abandonner son statut d’humain pour devenir mon chien ? Car c’est bien ce que sont mes esclaves. Leur vie est des plus difficiles. Qu’est-ce qui te motive ?
-Etre un esclave est la seule chose que je sache faire. Mais pas un esclave comme les autres. Un esclave de pieds.
-Qu’est-ce donc ?

-L’esclave de pieds est un être servile dont la vie entière est dédiée aux soins des pieds d’une femme, de sa maîtresse. Les masser, les soutenir, les caresser, les lécher… Un objet de plaisir pour sa propriétaire.
-Cela me semble être une existence peu enviable. Rares sont les hommes qui seraient prêts à abandonner leur vie d’antan pour passer l’éternité à mes pieds, tels des bêtes.
-C’est pourtant ce que je vous demande, majesté. »

 

Mon histoire personnelle

Mon cœur battait à toute allure. J’ignorais si elle allait refuser mais j’espérais que non. La reine eut l’air intrigué. Elle congédia ses gardes d’un geste, considérant que je n’étais pas dangereux, et me fit signe d’approcher. Nous étions maintenant seuls dans la grande salle.
Je m’assis sur le sol, au bas du sofa sur laquelle se tenait la reine. Elle me surplombait et me regardait de haut, les yeux baissés.

« Explique-moi, m’ordonna-t-elle. Raconte-moi ce que tu as vécu jusqu’ici et ce qui t’a amené à vouloir entrer à mon service.
-Très bien, dis-je en commençant mon histoire. »

Je suis né très loin d’ici, dans une famille pauvre. Comme mes parents ne pouvaient pas s’occuper de moi, on m’a vendu pour que je devienne le serviteur d’un riche bourgeois, qu’il fasse mon éducation et que, plus tard, je devienne son assistant ou son écuyer, quelque chose comme ça. Mais il se trouve que c’est une duchesse très fortunée qui m’a acheté dans un but très précis : faire de moi son esclave de pieds.

 

Eduqué pour devenir esclave de pieds

En effet, alors qu’elle était encore jeune, son père l’avait emmené en voyage dans une nation orientale où les femmes sont vénérées comme des déesses et où des castes très particulières d’esclaves sont formées pour leur procurer du plaisir à travers les pieds.

Après avoir goûté à ces plaisirs et être rentré au pays, elle ne rêvait plus que d’une chose : Pouvoir retrouver ces sensations si particulières. Elle m’acheta donc alors que je savais à peine marcher et me confia aux soins d’un temple pour qu’on m’éduque comme elle le désirait. Ainsi, quand je serais plus âgé, elle pourrait user de moi comme bon lui semblerait, pour satisfaire ses désirs.

J’ai passé mon enfance dans ce temple, sous la coupe de sévères matrones qui m’inculquèrent la discipline et l’amour des pieds. Dans un premier temps, on m’apprit bien entendu la servitude. Marcher à quatre pattes, s’exprimer avec humilité, montrer un grand respect envers ma maîtresse. Puis, on me forma à soigner ses pieds.

Des techniques de massage très anciennes me furent enseignées, des secrets de préparation d’huiles parfumées pour les pieds, diverses utilisations de ma langue et de mes doigts pour détendre et relaxer cette partie du corps de ma maîtresse… Enfin, je n’avais encore jamais rencontré ma maîtresse mais c’étaient les matrones qui jouaient ce rôle.

Ma première Maîtresse

J’appris à supporter les pieds les plus odorants, à rester immobile et silencieux plusieurs heures de suite sous les pieds d’une femme, à lécher et avaler les saletés sous les pieds des matrones, sueur, poussière ou peaux mortes et, parfois, à m’en contenter comme seul repas.

Enfin, on décida

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un jour que j’étais prêt. J’avais alors seize ans. Ma maîtresse en avait cinquante-cinq.

Elle usa de moi de toutes les manières possibles. J’explorai ses pieds sous des angles multiples et goûtai à ses pieds un nombre incalculable de fois. Elle m’appelait son « Garçon-de-pied ».
Comme elle marchait beaucoup et aimait faire de longues promenades, elle rentrait souvent chez elle exténuée, le soir, et j’étais chargé de faire sa toilette de pied.

Elle aimait me promener en laisse et se pavaner dans les rues avec moi. J’étais intégralement nu, ayant interdiction de porter le moindre vêtement car cela aurait fait de moi un être humain, or j’étais un esclave. Et parmi les esclaves, l’esclave de pieds est le plus insignifiant, celui qui est le plus proche de l’état d’objet, encore inférieur à l’animal.

 

 

Esclave de pieds d’une chef amazone

Elle était cependant intransigeante et, parfois je l’admets, inutilement cruelle. Ainsi, elle adorait me fouetter. Elle répétait souvent qu’un bon esclave était battu une fois par jour. Durant ces moments là, elle m’enchaînait au sol, les fesses relevées, et pendant que je suçais ses orteils, une de ses servantes était chargée de m’asséner des coups de cravache sur les cuisses.

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Mais je ne restai à son service que trois ans car elle tomba malade et mourut. Cependant, elle eut le temps de me libérer de mon statut d’esclave dans ses derniers jours et de m’affranchir. Je me retrouvai alors dehors, désemparé. La seule chose que je savais faire était de m’occuper des pieds d’une femme mais ma maîtresse était la seule à posséder ce genre de désirs dans ce pays-là.

Âgé de dix-neuf ans, j’ai alors arpenté le continent en quête d’une femme à qui appartenir. J’en ai trouvé certaines que j’ai servi un temps : La chef d’une tribu d’amazones, le long de la côte Sud, dont je suis devenu le chien pendant quatre mois. Elle prétendait avoir constamment froid aux pieds dans son lit, alors pour les réchauffer, elle adorait m’enchaîner à son lit, la nuit, et enfourner ses pieds entre mes lèvres. Je passais la nuit entière avec ses pieds enfoncés dans la bouche pendant qu’elle dormait. Si j’avais le malheur de tousser ou de m’étrangler avec, et donc de la réveiller, elle me déshabillait et me punissait à coups de martinet.

 

Esclave de pieds d’une princesse

J’ai aussi servi une princesse pendant quelques semaines, dans son château, perché sur une colline, mais elle m’utilisait plus comme un esclave sexuel qu’un esclave de pieds. Le matin, je devais la réveiller en embrassant son entrejambe. Pendant qu’elle déjeunait, je devais ensuite lui lécher l’anus et le nettoyer de la transpiration accumulée pendant la nuit. La matinée était dédiée à ses études où elle apprenait les sciences et les lettres avec son précepteur, et l’après-midi, elle s’enfermait avec moi dans sa chambre et se servait de mon sexe comme d’un jouet pour la satisfaire.

homme soumis

Je me suis enfui et ait erré sur les routes avant d’arriver dans une ville où je devins un mendiant. Pour récolter des sous, j’eus l’idée de me faire « esclave de pieds public ». Assis dans la rue, à même le sol, je proposais aux passantes de leur décrasser les pieds pour quelques piécettes. La plupart étaient des paysannes aux pieds extrêmement sales et odorants. Je faisais de mon mieux pour les lécher et les rendre propres, mais je récoltais peu d’argent et le travail était difficile. Mon aventure durait alors depuis presque trois ans.

Il y a un mois, je suis monté sur un navire en partance pour ce royaume-ci et me suis offert à la capitaine, une pirate, pour payer mon voyage. Je lui ai servi de repose-pied, dans sa cabine, pendant toute la semaine qu’a duré le voyage.
Enfin, je suis arrivé, et j’ai encore marché sans but durant une courte période avant de trouver cet endroit et me présenter à vous, ma reine. Et me voilà.

La Reine accepte ma proposition !

Elle avait écouté mon histoire avec beaucoup d’intérêt. Un sourire était né sur ses lèvres.
« Tu me plais, dit-elle. Je vais faire de toi mon esclave de pieds. Mais sache que tu n’auras aucun moyen de t’enfuir et de m’échapper. Tu seras ma chose jusqu’à la fin de tes jours, et ta vie ne sera consacrée qu’à servir mes pieds. Tu ne penseras plus qu’à eux. Cependant, tu risques de le regretter amèrement car avec moi, ta vie sera un enfer. Je te ferais lever à des heures impossibles pour me lécher les pieds, il m’arrivera très souvent de te fouetter pour mon plaisir personnel comme le faisait ta première maîtresse, et surtout, j’aime marcher pieds nus dans mon palais, alors ils seront toujours très sales. Tu es conscient de ça ?
-Oui, Majesté. »

Je m’inclinai face à elle, touchant presque le sol avec mon front.
Elle me tendit son pied gauche.
« Eh bien, commence maintenant, dit la reine. Montre-moi ce que tu sais faire et à quoi on t’a formé, chien. »

un rêve éveillé

Je saisis son pied avec délicatesse et l’admirai un instant. Puis, n’y tenant plus, je plongeai mon nez entre ses orteils. Elle avait transpiré et l’odeur était forte, mais j’étais au paradis. Enfin, je retrouvais ces sensations exquises pour lesquelles on m’avait entraîné à servir.

J’humai la senteur de ses pieds, chauds et moites. Leur odeur était lourde et âcre, et tout autre qu’un esclave de pieds aurait considéré le fait d’être écrasé par eux, le nez empli de leurs effluves, comme une torture. La reine sembla s’en amuser. Elle fit passer son pied sur mon visage, de haut en bas, puis plaqua son pied droit sur mon nez et le gauche sur ma bouche, m’empêchant de respirer.

Esclave de pieds d’une Reine

« Tu ne regrettes toujours pas, esclave ? Et oui, mes pieds sentent très forts au naturel. Toi qui a un nez très développé et entraîné, tu dois suffoquer. Mais c’est trop tard pour faire demi-tour, tu es à moi maintenant.
-Je ne regrette rien Majesté, parvins-je à dire malgré le pied qui bloquait ma bouche.
-Tant mieux, car ce n’est que le début. Allonge-toi. »

J’obéis et la reine posa ses deux pieds serrés sur ma figure, la recouvrant complètement. J’étais dans le noir. Elle m’empêchait de parler et d’ouvrir les yeux. La seule chose que je pouvais faire était de respirer avec le nez, d’emplir mes poumons de cette odeur de sueur de pied qui émanait de ceux de ma maîtresse.
Elle consentit à lever l’un de ces pieds et à me laisser respirer par la bouche.

« Lèche-les. »

Ma langue parcourut sa voûte plantaire, mes lèvres embrassèrent le dessous de ses pieds avec adoration. La reine gémit de plaisir et commença à se frotter l’entrejambe.
« Oh… Ce que tu es doué… Tu ne plaisantais pas en disant qu’on t’avait formé à ça… De plus, la forme de ton visage s’adapte parfaitement à mes pieds. J’ai fait le bon choix en te gardant. Non, ne t’arrête pas de lécher tant que je ne te l’aurai pas ordonné. Voilà… »

Et ainsi, je repris ma place d’esclave auprès d’une femme.

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