Le fantasme du dressage par une cavalière dominatrice (5)

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Une nuit agitée

Resté seul, je me sentais vraiment dominé, totalement anéanti par cette cavalière dominatrice. En effet, elle m’avait fait passer en quelques heures de l’état d’être humain à celui d’un animal en cours de dressage. J’étais devenu un animal à qui on ne passe aucune faute pour s’assurer de son obéissance complète et à qui on apprend à aimer tout ce qui vient de sa propriétaire, peu importe la douleur et l’humiliation. Mon corps tout entier me faisait mal. J’avais des courbatures partout depuis la chevauchée de la journée. De plus, lors du dîner du soir, ma cavalière m’avait humilié en me faisant boire et manger ses déjections et en me fessant violemment.
Cependant, en même temps, je lui étais reconnaissant de m’avoir traité de la sorte. J’avais l’impression que chaque partie endolorie de mon corps me faisait penser à elle. Les pinces qu’elle m’avait fixées me pénétraient durement, mon anus qui s’élargissait au contact du strapon. Enfin, sa merde éparpillée sur mon corps maintenait une odeur nauséabonde dans l’écurie et j’avais envie de vomir.
Contre toute attente pourtant, je ne tardais pas à m’endormir. Je crois que, brisé comme je l’étais, mon corps voulait lâcher prise dans le sommeil. La nuit fut pourtant agitée. Je me réveillai fréquemment et je tentai de trouver une position plus confortable, pour alléger mes souffrances.

Nettoyage de la monture

Au petit matin, je fus réveillé par un poulailler voisin. Je me remémorai tous les événements et l’excitation de la veille. L’odeur était devenu insupportable et je ne sentais plus ma poitrine. Quant à mes fesses, elles étaient courbaturées et endolories. Commença, alors, une attente qui me parut interminable. Ma maîtresse se faisait attendre. Je l’imaginais en train de prendre son petit-déjeuner ou dans sa salle de bain à se maquiller.
Un bruit de pas se fit entendre, la porte s’ouvrit. Un rayon de soleil éclaira l’écurie et la cavalière parut radieuse sur le pas de la porte.
-Ouah, quelle odeur ! : s’écria-t-elle, tu sens vraiment mauvais.
Elle détacha les chaînes qui me retenaient au sol puis me guida vers une mare, dans sa propriété, en se tenant à distance. Je comprenais qu’elle appréciait mon dévouement mais qu’elle était estomaquée par l’odeur de sa propre merde qui avait imprégné mon corps pendant toute la nuit.
Je plongeai, dans cette mare, sur son ordre. Elle me dit de me frictionner vigoureusement. L’eau était boueuse mais plus propre que moi. J’entrepris donc de me décrasser comme je pus. Au bout d’une dizaine de minutes, j’étais couvert de boue. Elle alla chercher le tuyau d’arrosage et dirigea le jet puissant sur moi en me jetant un savon de marseille pour enlever l’odeur. Je me frictionnai tout le corps, y compris l’intérieur de la bouche, ce qui me laissa une odeur acre. Je ne sentais même plus la douleur et l’humiliation de la veille . Au contraire, cet arrosage était comme un bienfait après une longue torture.
En tout, le nettoyage avait dû durer près de trois quarts d’heure.

Préparation de la monture

Pour le petit-déjeuner, elle avait préparé un grand bol de céréales au lait. Je lui étais reconnaissant au fond de moi de maintenir ce lien avec l’animalité qui nous excitait tous les deux, en réduisant la rudesse du traitement du bol d’avoine arrosé d’urine de la veille.
J’étais vraiment exténué mais j’étais heureux. De plus, je m’attendais à une nouvelle journée de dressage, sans doute moins éprouvante que la veille, maintenant que la cavalière n’avait plus besoin de me briser, mais tout aussi excitante.
Une fois les céréales avalées, je remarquai une lueur d’excitation dans le regard de ma cavalière. Elle portait une culotte d’équitation grise, des bottes qui lui montaient au-dessus des genoux, avec des éperons et avait mis une bombe.
J’étais toujours tout nu de la tête aux pieds. Cette fois-ci, je n’avais pas de selle. Elle prit simplement une longe et une fouet de dressage. Ensuite, elle me mit un mors dans la bouche et y fixa la longe. Elle me dit d’aller vers un enclos ensablé où elle voulait, dit-elle, m’apprendre les allures.
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