Fantasmes de soumission à une dominatrice en terre inconnue

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fantasmes de soumission

D’aussi loin que je me souvienne, mes fantasmes de soumission ont toujours tourné autour de la soumission à la gente féminine, soumission sexuelle, soumission à une dominatrice.

Jeune, déjà, mes séances nocturnes de masturbation m’emmenaient sur des îles lointaines, peuplées de sublimes créatures chassant l’homme pour l’asservir. Je me retrouvais prisonnier, apprêté, dressé par différentes guerrières ayant chacune sa spécialité, pour finalement être présenté à la Déesse, Maîtresse des lieux, pour lui servir d’esclave sexuel. Ce fantasme me conduisant assurément au plaisir alors que la Déesse m’utilisait à sa guise, et que je n’étais plus qu’une langue à son service, une queue pour la satisfaire. Au fil des années, ce fantasme s’est mué peu à peu en un asservissement plus physique. Une servitude sexuelle plus totale. Le dressage qui précède ma présentation à la Reine est bien plus complet, l’entrainement plus rigoureux, plus douloureux aussi. Mon esprit est éduqué, l’on m’enseigne les préférences de la Reine, la façon dont elle aime que l’on se présente devant elle, la façon dont l’esclave doit vénérer ses divins pieds, dont il doit bander pour elle, la façon dont elle aime être longuement honorée par une langue insatiable ou la façon dont l’esclave doit lui offrir ses orifices pour qu’elle en abuse à souhaits. L’enseignement que je préfère, celui qui me rend fou de désir, c’est celui du cunnilingus. De longues séances où l’une après l’autre, les guerrières m’utilisent pour leur plaisir, à quatre pattes entre leur cuisses divines, ou assises sur mon visage. Je lèche, je déguste religieusement leur nectar divin, et je m’applique de mon mieux. Loin de les satisfaire, je suis régulièrement puni lors de ces séances. Je reçois le martinet, mes tétons sont travaillés, ainsi que ma queue et mes couilles. Les Maîtresses aiment à étouffer mes gémissements de douleurs lorsqu’elles me torturent pour me forcer à m’appliquer et me rendre meilleur lécheur. Dans la vraie vie, j’aime cette caresse, la plus divine qui soit. Le nectar le plus sublime, subtil, divin ne peut être que celui qui accompagne la jouissance d’une Maîtresse.

Outre ces longues séances de lèche, mon endurance est également travaillée. Queue et couilles liées, je suis longuement masturbé avec interdiction de jouir. Je subis la cire chaude sur mon gland et le long de ma hampe, la morsure des pinces. Mes couilles sont étirées, ma résistance éprouvée. Et lorsque je jouis malgré l’interdiction, je suis puni par la flagellation, queue et couilles rougies par les lanières de cuir. Ces séances de test de mon endurance de soumis alternent avec le travail de mes reins. Plugs et godes se succèdent pour me préparer à être couvert par la Reine.

Au fil de jours je m’améliore, et les Maîtresses me jugent enfin prêt à être présenté. On me prépare, corps glabre, lavement, tenue de latex noir, cagoule, serre-taille, bas, longs gants. Je suis conduis, escorté par les guerrières, jusqu’au lit de la Reine. Un vaste lit, aux montants de bois lourd, encadré par les Maîtresses de sa garde, 4 de chaque côté du lit, tenant chacune une torche. Et je la vois enfin, sublimement belle. La Reine des Reines, le corps ceint de cuir, puissante et divine. La plus inatteignable des créatures. Elle incarne mon rêve absolu, celle à qui je veux donner ma vie d’esclave. Servir et n’être plus qu’un objet de plaisir, son plaisir.

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