Homme soumis à sa voisine de palier : suite du dressage (11)

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homme soumis

Méthode de dressage infaillible

 

Ma fonction première en tant qu’homme soumis : sucer des bites… être la pute de ces messieurs…

Je ne sais pas vraiment si c’est ce qui m’attendait réellement, ou si simplement c’était une forme de conditionnement voulue par Maîtresse Charlotte. On a beau être un homme soumis obéissant, en demande de dressage pour mieux la servir, mieux ramper à ses pieds, on en reste pas moins un être humain avec une éducation antérieure, une intelligence et un pouvoir d’analyse.

J’avais bien compris que Madame Charlotte me dressait en fonction de mes fantasmes, puissant moteur d’excitation chez l’homme. Elle m’amenait à la servir comme elle voulait en jouant avec mes désirs, sans doute les plus secrets, les plus enfouis, mais qu’elle avait réussi à détecter et analyser. Ce n’était pas très difficile en fait, il suffisait d’observer la queue d’un mâle se comporter pour comprendre. Alors, elle s’en servait comme une source inépuisable de motivation pour me faire avancer dans la servitude. La méthode était infaillible.

 

Rappel à l’ordre pour l’homme soumis !

 

Pourtant, je n’avais jamais eu auparavant d’attirance pour le même sexe que moi, plutôt du rejet. Alors, qu’est-ce qui a bien pu se passer pour qu’aujourd’hui, le mot pute me fascine au plus haut point, et que je désire si fort me faire prendre et sucer comme une professionnelle ? Je ne saurais vraiment le dire, et je n’avais aucun embryon d’explication. En tout cas, Madame Charlotte avait bien raison sur une chose, j’avais envie de tailler des pipes ! Et elle le savait !

Alors, jouait-elle avec cette pulsion soudaine qui faisait de moi un gentil mouton volontaire pour aller à l’abattoir ? Qu’y avait-il derrière tout ce décor ?  Des hommes en file indienne, la queue à la main attendant qu’on me livre à leurs bons plaisirs ? Des clients potentiels ? Un réel bout de trottoir ? Ou simplement quelques amis à Maîtresse Charlotte en quête de bon temps avec un bon suceur ? Et peut être personne en particulier…  L’imagination, quand elle nous tient… elle nous fait sans doute franchir des montagnes…

J’arrêtais là mes interrogations et ma plongée dans la luxure et le fantasme. Enfin, c’est plutôt Madame Charlotte qui me tira de mes rêveries, alors que je pompais cette imitation de sexe mâle depuis une petite demi heure.

–  Suffit Olga… Tu as bien travaillé, mais il y a un temps pour tout, et il n’y a pas que le plaisir… Ta fonction d’homme soumis est aussi de me servir. Et sucer des queues, c’est bien gentil, mais moi, ça ne me sert pas à grand chose ! A part le plaisir intellectuel de faire de toi une bonne petite lopette, ça n’arrange pas l’état de cet appartement…

 

L’homme soumis redevient une boniche !

 

Je sortis ce bel engin de ma bouche, et pour la première fois, je ressentis le froid et le vide. Je n’avais qu’une envie, recommencer !  A quatre patte, j’ai rejoint la chambre des esclaves, mis ma nuisette mes bas et mon porte jarretelle. Madame Charlotte m’avait offert une paire d’escarpins roses et une coiffe pour les cheveux. Je me présentais quelques minutes plus tard. La boniche reste debout m’avait-elle dit, alors j’attendais à l’entrée du salon, la tête parfaitement baissée, les mains dans le dos…

–  Bien Olga… fait-elle après quelques longues minutes. Viens aux pieds… à genoux…

– Bien Madame Charlotte.

Je m’empressai de prendre la position demandée.

–  Regarde-moi Olga..  Bien, je voudrais maintenant que tu montres autant d’enthousiasme à faire briller cet appartement que tu ne mets à reluire cette réplique en latex… Compris Olga ?

–  Oui, Madame Charlotte.

–  Bien. Tu sais donc ce que j’attends de toi. Si ce n’est pas le cas, ou si je constate une perte de motivation à me servir, parce que le ménage c’est moins rigolo que de tailler des pipes à un bout de plastique, je te renvoie chez toi, et tu pourras aller tapiner où tu veux…

–  Oui, je comprends Madame Charlotte, mais vous servir est ma priorité. Je veux être parfait dans tout ce que vous m’apprenez.

–  Je vois en tout cas que je n’aurais pas de mal à faire de toi une bonne lopette, quoique, on en reparlera quand il s’agira de satisfaire un homme,  mais je veux aussi une boniche parfaite, et à terme, une servante irréprochable en tout circonstance. Tu dois pouvoir aussi bien sucer l’invité que lui servir une coupe de champagne. Et n’oublie pas aussi, que je compte bien t’animaliser ! Je veux aussi un chien !

–  Oui, Madame Charlotte

–  Ne te méprends surtout pas sur mes intentions, Olga. Je peux être douce et gentille, mais cela ne m’empêche pas d’être exigeante et ambitieuse pour toi. Je veux te déshumaniser, pour que tu prennes la place du chien. On ne peut pas rêver meilleure place pour l’homme auprès de la femme, que d’être à quatre patte et tenu en laisse par elle !

– Oui Madame Charlotte.

– On en reparlera quand je t’apprendrais à aboyer, manger dans ta gamelle et dormir dans ta niche…

– Oui Maîtresse Charlotte.

–  Maintenant, tu as l’avantage de pouvoir être un animal de compagnie qui peut se transformer en boniche pour me servir complément. C’est donc ce que j’attends de toi. Pour le coté pute, je dois t’avouer que je suis un peu perplexe, disons surprise que tu sembles autant être attiré par le coté femelle de ta personnalité. Mais en réalité, c’est une bonne chose, cela fait une difficulté en moins. Pour être honnête, si l’homme a besoin d’être corrigé pour avancer, il est également nécessaire de l’accoupler avec l’un de ses congénères, et ce le plus rapidement possible. Crois-moi Olga, quand un mâle à quatre pattes se fait besogner par un autre homme, il affiche déjà de belles perspectives de soumission. Et dans ton cas, ça va nous servir de moteur. Maintenant, au travail boniche !

–  Bien Madame Charlotte, je ferais comme il vous plaira. Vous êtes seule juge pour dresser de la meilleure façon qu’il soit votre chien, et votre boniche. Je ne vais pas vous décevoir.

 

L’homme soumis face à un choix difficile !

 

En réalité, je ne trouvais rien d’autre à répondre, et en l’écoutant, je mesurais également l’ampleur de la tâche. Je me demandais en même temps, si cela était possible, si je pourrais être et faire tout cela, et si cela était même raisonnable ? Je me sentais arriver à une étape importante, une sorte de moment clé où il faut se décider, comme le saut à l’élastique. Y aller, ou pas. Il était évident que je ne pourrais pas faire les choses à moitié. Difficile d’être au bureau la journée, de parler contrat et finance, et d’être à quatre patte le soir, dans la peau d’un homme soumis, enfin d’un animal qui se doit de ne plus être humain pour être le bon chien à sa Maîtresse.

Comment être déshumaniser d’un coté, et garder une vie d’homme de l’autre. Je savais que l’étau se resserrait, et qu’il faudrait bientôt parler de mes difficultés à Ma Maîtresse. Sinon, comment ne pas se perdre au milieu de ces comportements sans points communs. Presque aux antipodes !

Il fallait que je choisisse d’un coté, la servitude, un belle vie de chien aux pieds de sa Maîtresse qui vous aime, qui vous dresse, qui vous puni et vous récompense, apprendre à vivre dans la douceur de la lingerie féminine, et tailler des pipes… et d’un autre coté, une vie sans saveur, dans la solitude et la froideur d’un appartement trop petit, et sans véritable avenir professionnel dans un secteur sinistré. La choix du coeur était vite fait, c’était celui de l’amour, même si pour certains cela semble l’enfer. Mais quid du choix de la raison ?

 

Retour de Bertha !

 

Bertha me réveilla. Et comme à son habitude, ce n’était pas par la douceur. Une série de sifflements se fit entendre, juste avant les brûlures et les cris.

–  Olga, tu rêvasses… Une boniche fait le ménage, elle ne sort pas de sa prison qu’elle a choisi… Tu te concentres sur les poussières. Compris ? Tu rêves encore à une queue à sucer ? Si tu continues, je ne t’en donnerais jamais…

–  Non Maîtresse Charlotte. Pardon Maîtresse Charlotte. Mais je voudrais être déshumaniser rapidement, pour me concentrer uniquement sur mes tâches, pour ne plus être que ce que vous voulez que je sois… pour ne plus que rien d’autres vienne me perturber…

– Je comprends. Ta double vie commence à te poser des problèmes ?

– Oui Maîtresse Charlotte. Mais je préférerais être votre chien, réellement à vos pieds… maintenant j’en suis convaincu…

–  Bien, je note. Pour le moment, concentre-toi sur le ménage. Tu dois encore me prouver que tu peux faire une excellente boniche. La pute je n’ai aucun doute, et le chien, je sais que ça te plaira…  Maintenant au boulot Olga… si tu ne veux pas perdre tout ça, travaille dur ! Ne te ménage pas et ne te laisse pas distraire…

–  Oui Madame Charlotte.

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