Homme soumis fétichiste des blouses en nylon (1)

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A la recherche d’un emploi de femme de ménage

Je suis depuis toujours un homme soumis fétichiste des blouses et tabliers de femme en nylon. J’adore voir les femmes les porter, mais aussi les revêtir. Il y a quelque chose de très érotique et d’envoutant dans cette matière qui à mes yeux transforme une simple ménagère en déesse que l’on vénère. Aussi, c’est naturellement que j’éprouve un grand intérêt pour faire les tâches ménagères : ménage, cuisine, repassage… Porter une blouse de femme en nylon est une féminisation qui est l’expression d’une domination féminine à laquelle on se soumet.

Aussi, j’ai toujours été attiré par les femmes de ménage. Devoir porter une blouse, être au service d’autrui, devoir faire des taches ingrates… Mon rêve le plus fou ? Etre forcé à devenir femme de ménage au service d’une Femme.

Un jour il m’est venu une idée folle: passer une annonce en me faisant passer pour une femme de ménage. Il est temps pour moi de vivre ma première expérience de soumission en blouse de nylon. Pour gagner la confiance de mes futures patronnes et prouver ma volonté de soumis j’ai proposé un premier ménage gratuit. Et cerise sur la gateau, j’ai utilisé un prénom mixte pour me faire passer pour une femme.

Arrivée chez Mademoiselle Marina

Ainsi, je reçois rapidement une réponse d’une jeune femme, Mademoiselle Marina, qui va devenir, par la suite, ma premiere Maîtresse. Elle me donne RDV le lendemain chez elle pour un premier ménage. Je réalise alors qu’il ne s’agit pas d’un simple fantasme et que les choses sont sérieuses.

Le jour dit, je mets en route vers le domicile de ma future Maîtresse. Ma tenue ne laisse aucun doute sur mon gout pour le nylon et la féminisation. Dessous: petite culotte et soutien gorge en nylon noir,  collant opaque noirs. Dessus: legging noir et blouse typique de femme de ménage en nylon bleu ciel à manches longues et boutonnage latéral. J’emporte aussi dans un sac un petit tablier chasuble jaune en nylon, très pratique pour les tâches les plus salissantes.

J’arrive chez Mademoiselle Marina, et en parcourant les derniers mètres qui mènent au perron le doute s’installe en moi. Pourquoi est-ce que je prends du temps pour venir gratuitement faire le larbin dans une tenue ridicule chez une inconnue ? Il n’est encore pas trop tard pour rebrousser chemin. Mais rapidement je ressens cette force qui m’attire vers la porte. Je réalise alors que toute résistance est futile et que ma seule issue est de me soumettre à celle qui se trouve derrière cette porte. C’est là mon destin, d’homme soumis fétichiste, être une femme de ménage soumise.

Description des tâches à effectuer !

Une bouffée de plaisir me fait tourner la tête. Je sonne. Mon coeur bat très fort d’excitation. Une silhouette se dessine derrière la porte vitrée qui s’ouvre. Il m’apparait alors une superbe jeune femme d’une trentaine d’années, brune les cheveux tirés en arrière, vêtue d’une très jolie robe noire à la jupe légèrement évasée. Elle me dévisage et je lis dans son regard l’étonnement de trouver non pas une vraie femme mais un homme en tenue de femme. Je me présente respectueusement en expliquant que je suis bien la personne qui vient faire son ménage. Ce petit malentendu dissipé, elle m’invite à rentrer. Je m’exécute. Sans plus attendre Mademoiselle Marina souhaite faire le tour des tâches à effectuer.

Nous commençons le tour des pièces et des tâches à effectuer. “Bien Madame” lui dis-je à chacun de ses ordres en signe de respect, les mains croisées dans le dos et la tête baissée. Je ne manque pas d’exprimer explicitement ma soumission à cette jeune et jolie inconnue. Aspirateur, vaisselle, salle de bain… Ma jeune Maîtresse est une femme exigeante et a largement prévu de quoi occuper sa femme de ménage. Elle se montre intransigeante sur ce qu’elle attend de moi. Déjà je sens l’emprise de cette jeune femme sur ma personne, ce magnétisme qui fait que je ne peux qu’obéir devant sa beauté et son autorité.

Elle termine ce tour d’horizon en me montrant le local ménage où se trouvent aspirateur, plumeau, produits d’entretiens et chiffons… Voila mon univers chez Mademoiselle Marina.

Prêt à devenir la parfaite femme de ménage !

-J’espère que vous ne me décevrez pas : me lance t elle.  J’ai eu plusieurs femmes de ménage avant vous et cela n’a pas fonctionné.

Mademoiselle Marina est une jeune femme très exigeante, et j’ai intérêt d’être à la hauteur.

-Madame : lui dis-je respectueusement les mains croisées dans le dos, la tête basse et le regard juste relevé comme une domestique qui parle à sa Maîtresse, Je ferais tout ce que vous me demanderez  afin de vous donner entière satisfaction.

Peu à peu je sens ma volonté d’homme libre m’abandonner pour me soumettre à cette autorité féminine suprême. Cela génère en moi un plaisir enivrant. En signe de soumission et de féminisation, j’enfile mon tablier chasuble jaune par dessus ma blouse bleu ciel. Je le serre bien, car j’aime me sentir ligoté dans des vêtements de nylon. Cela a aussi pour effet de faire ressortir les bonnets de mon soutien gorge, en me dessinant une poitrine plus féminine. J’appuie mon action :

-Voila Madame, j’ai passé mon tablier, je suis prêt à vous servir.

Elle me répond :

-Très bien, vous savez quoi faire.

Heureux d’être une femme de ménage !

Je commence par passer l’aspirateur. Chaque mouvement provoque un crissement de mon tablier sur ma blouse, ce qui me conforte dans l’idée que je suis prisonnier de mon destin de femme de ménage. Naturellement, cela provoque un intense plaisir. Ma jeune et jolie patronne n’est pas bien loin et garde un oeil sur moi. Je ne peux la décevoir. Il faut ensuite faire les poussières. Plumeau, chiffons, dépoussiérant… Madame Marina m’a bien équipée et la poche de mon tablier est pratique pour y ranger mon matériel. Voila à peine quelques heures que j’ai commencé mon nouveau métier et j’ai déjà les reflexes d’une femme d’expérience. Il faut croire que cette profession m’était destiné !

Je passe ensuite à la salle de bain. Nettoyer la baignoire n’est pas une mince affaire, et je décide d’y rentrer. Pour éviter de trop me mouiller, j’enlève mon legging. Mes jambes révèlent mon collant nylon opaque. En nettoyant la baignoire je réalise que ce métier de femme de ménage m’ouvre les portes de l’intimité de cette belle Maitresse, me tenant là ou tous les jours elle se tient nue. Le rinçage projette beaucoup d’eau sur mon tablier et ma blouse qui finissent par être mouillés et me collent à la peau en dévoilant mes dessous féminins.

Volonté de féminisation

Soudainement, Mademoiselle Marina arrive et semble étonnée de me voir dans sa baignoire, mon legging accroché au porte manteau. Je m’empresse de me justifier.

-Excusez moi Madame, mais j’ai du rentrer dans la baignoire pour la nettoyer.

Elle acquiesce, n’étant peut être tout simplement pas habituée à autant de dévotion avec ses précédentes femmes de ménage.

En rangeant la salle de bains, je remarque une boite de tampons. La tentation est trop forte, et j’en prends un dans ma poche. J’ai toujours adoré avoir avec moi des produits d’hygiène féminine car cela me renforce dans ma féminisation. Mais ce tampon ne vas pas rester bien longtemps dans la poche de mon tablier en nylon. Je demande à Madame Marina si je peux me permettre d’aller aux toilettes, ce à quoi elle m’autorise. Je m’assois, relève ma blouse et baisse ma petite culotte, afin d’uriner comme une femme. Puis je me relève et me cambre pour m’introduire le tampon de Mademoiselle dans mon petit orifice. Hmmm, quel plaisir de se sentir femme. Je ressors des toilettes en femme de ménage « tamponisée ».

Fétichiste des dessous féminins

Madame m’a aussi ordonné de vider le panier de linge sale pour lancer une lessive. En m’exécutant, je trouve à mon grand plaisir sa lingerie souillée parmi les autres vêtements : strings, soutien gorges, bodys, collants… Je prends l’un de ses petits string en tulle transparente et je ne peux résister à la tentation de le porter sur mes lèvres. Quel délicieux parfum… J’ai envie de prolonger ce moment. Gardant son string dans ma main je reviens vers Mademoiselle Marina en lui demandant si elle ne préfère pas que je lave à la main ses délicats dessous.

Elle ne semble d’abord pas adhérer à l’idée en prétextant que je n’aurais pas le temps de tout faire. Je m’empresse de la rassurer car que je serai ravi d’y consacrer le temps nécessaire en restant plus longtemps, toujours gratuitement. Pour appuyer mon propos, je ramène son string devant mon visage en prétextant qu’un si joli dessous mérite un soin particulier pour rester toujours agréable à porter. « Et bien soit, si vous voulez y consacrer plus de temps ». Me voila ainsi officiellement laveuse des petites culottes de Madame, ce qui m’excite terriblement.

Je n’ai qu’une envie : qu’elle me voit prendre plaisir à lui laver ses dessous. Je remplis l’évier de la cuisine d’eau tiède et de lessive et je pose ses dessous sur le plan de travail. Lentement, j’en fais l’inspection, un à un.. String en tulle brodée transparent, petite culotte brésilienne en microfibre noire et dentelle blanche, body en polyamide blanc…

Ménage terminé

Mademoiselle Marina a du gout pour les dessous sexy. Il y a encore quelques heures, je ne connaissais pas cette belle et jeune inconnue, et me voila désormais à son service en train de lui laver à la main ses petites culottes souillées. J’ai réussi à rentrer dans son intimité. Cela m’excite terriblement. Peut-être trop.

Mademoiselle Marina me dévisage du regard, ayant remarqué qu’il se passait quelque chose. Je me décide à franchir encore un pas en lui demandant si certains dessous, comme ses strings, on été d’avantage souillés lors de ses règles. Le plus naturellement elle me répond que oui, il y a probablement un ou deux strings, et qu’il faut que je vérifie. Ce que je m’empresse de faire très consciencieusement. Je réalise un double contrôle : visuel et olfactif, en portant chaque petite culotte et string prêt de mon visage.

Quel plaisir de m’imprégner ainsi du doux parfum de Mademoiselle Marina. Je nettoie avec la plus grande attention, et la plus grosse érection, sa lingerie. Soudainement je sens le bout de mon sexe gonflé par le plaisir sortir du haut de ma petite culotte. Mon gland est en contact avec le nylon de ma blouse, ce qui ne manque pas de faire une bosse sous mon tablier. L’occasion est trop belle. A chaque mouvement de lavage je comprime mon sexe sur le bord de l’évier, ce qui provoque un frottement du gland sur ma blouse. Je suis terriblement excité, à tel point que je porte l’un des strings de Mademoiselle Marina sur mes lèvres, laissant ma langue se régaler d’un pre-lavage. Cela combiné à la caresse du nylon sur mon sexe, je me sens dans un état de plaisir rarement atteint.

Mon ménage terminé, il est temps de convier Mademoiselle Marina pour l’inspection.

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7 réflexions au sujet de “Homme soumis fétichiste des blouses en nylon (1)”

  1. Dans les anées 70 et 80 chaque fois que la soeur de ma mere m’invitait à venir passer des vaccances chez elle et avec ma cousine ,car nous étions du meme age!Dés mon arrivée je devais revetir une blouse en nylon, tout comme ma tante et ma cousine,car comme elles étaient en permanance en blouses en nylon pour moi ça devait etre la meme chose!Et en effet ma tante faisait aller checher dans sa chambre à ma cousine une de ses blouses en nylon ,soit de couleur rose ou mauve en plus boutonées au dos par de grands boutons en plastique ,Histoire de ne pas pouvoir l’enlever!,et en plus ma tante me passait la tondeuse dans mes cheveux ,au point que j’étair pratiquent chauve !,et pour cacher cela ma tante me faisait mettre un beret bien enfonçé jusqu’à mes oreilles ,quooique ma cousine également devait en mettre un aussi,Donc voila comment nous étions habillés ,Et malgré nos 15 ans notre tante n’hesitais pas à nous fesser avec son Martinet sur nos fesses et cela meme devant tout le monde ,bref ,c’était sa façon à elle de bien nous avoir sous la main et plusieurs fois par an je n’y échapais pas ,Mais à cette époque meme habillés ainsi et meme fessés ainsi aussi ,ça ne dérangeait personne ,au contraire car toutes les autres meres de famille fessaient leurs enfants grands ou petits avec nsans compter le port de la blouse en nylon également!as c’était l’époque qi voulait ça !

  2. Bonjour moi non seulement j’en ai l’habitude mais cela fait partie de ma profession comme je travaille chez une tante coiffeuse pour dames et qui porte toujours les longues blouses en nylon de coiffeuses ,par conséquent je porte les memes blouses que j’aime bien porter aussi meme je pars travailler deja de chez moi habillée comme ça et je fais meme mes courses comme ça aussi pas de problémé et en plus le salon de coiffure de ma tante a beaucoup de succés tellement les clientes nous trouvent bien avec nos blouses elles sont longues en nylon et de plusieures couleurs;rouges, roses ou mauves, bref j’aime les porter toutes!Justement en coiffant ces dames je parlais en meme temps avec ma tante comme quoi mon nouveau mari lorsqu’il était rentré à la maison ne faisait plus rien et j’avais beaucoup de mal pour qu’il participe aux travaux ménagers ,en plus nous avions une grande maison avec grand jardin etc.,mais par contre moi aprés une longue journée au salon de coiffure + faire les courses j’étais vanée,!A bon me réponds ma tante qu’est ce qu’il fait alors ,et bien soit il regarde la télévision ou va faire un tour chez ses ccopains de travail,et rentre pour juste mettre ses pieds sous la table,Ma tante me réponds avec moi ça ne marcherait certainement pas ,il faudrai qu’il participe ,Je lui réponds oui je le sais tu as raison mais sa mere comme il est fils unique elle l’a trop écouté ! Et bien écoute moi à partir de maintenant tu lui dis comme on travail tous les deux tu dois donner un coup de main à la maison tu n’a plus à sortir faire tes tours,et tu lui prends ses clefs de voiture!Enfin ce n’est pas raisonable de sa part!.Bon au soir aprés ma journée et toujours en blouse je lui explique qu’on est mariés et qu’il doit rester la pour medonner un coup de main ,et en plus j’avais prévue le coup car du salon j’avais en plus ramenée une 2émé blouse en nylon de coiffeuse exprés pour lui mettre ,comme ça il ne pourrait pas se sauver ,sinon en blouse boutonée dos ,Donc je commençe à lui expliquer que ce n’est pas bien ce qu’il fait et que nous sommes mariés et qu’il doit faire sa part,à ma grande surprise Il m’écoute et dit que c’est vrai ce que je lui dis!et qu’il faut lui apprendre ,( car ce n’est pas sa mere qui aurait apprise quoique ce soit)!et il me laisse lui boutonner la blouse de coiffeuse mauve dans le dos COMPLETEMENT,La je me dis deja tu es bloqué dans la blouse et tu as besoin de moi pour l’enlever,et le premier soir il mets la table essore la salade pour commençer ,en plus je le trouve mignon dans sa blouse de coiffeuse ,Par la suiet il a fait des progrés et maintenant avant de rentrer à la maison il passe au salon pour que je lui boutonne sa blouse et quand je suis trop occupée avec une cliente c’est ma tante qui le boutonne sa blouse ,puis il rentre et commençe à faire ce qu’il a afaire,des fois c’est aussi tondre la plouse et désherber les fleurs ,bref bref mes les voisines m’ont dites au fait on a vue ton mari et c’est toi qui l’a cadenassée comme ça ,qupique c’est vrai qu’il est beau comme ça,et depuis ça c’est nettement améliorée ,,grace à ses efforts et surtout graces aus blouses de coiffure de ma tante!

  3. Rebonjour comme j’avais encore beaucoup de choses à racnter conçernant toutes nos blouses en nylon que tout le monde devait porter en France pendant toutes ces décenies Il y avait donc encore beaucoup de choses à raconter!Comme la soeur de ma mere était pharmacienne et tenait la grande pharmacie centrale dans une grande ville dans le Nord de la France et avait pour servir en plus 4 employées elles aussi toujours habillées de façon impecable dans leurs longues blouses blanches en nylon boutonées dos ainsi que des charlottes aussi en nylon blanches sur leurs tetes,ce qui était courant également dans notre région à cette époque,et cela aussi ma mere en récupérait également !d’aillieurs ma soeur y avait le droit aussi et lorsqu’elle mettait sa blouse elle devait aussi mettre la charlotte en nylon blanc également d’enfonçée sur sa tete,et si elle ne le faisait pas elle était fessée par notre mere au Martinet à toute volée ,c’est comme ça que ça se passait! Et comme le Nord était la terre de prédilection des blouses en nylon avec berets ou charlottes nous étions bien servis !et gare la aussi si meme moi je la mettais pas ma charlotte de la meme couleur que mes blouses en tant que garçon !L’hiver ça allait encore mais en été sous nos blouses en nylon et nos tetes sous nos charlottes nous avions vraiment chauds et on suait !et en réalité on avait du mal à reconaitre les filles des garons meme adolescents avec cet attirail sur nous ,car il ne faut pas oublier non plus que sous nos blouses en nylons souvent il y avait aussi ces maudites larges bretelles et bien larges aussi on nos faisait mettre des culottes trés courtes et tenues toujours par ces larges bretelles en élastique qui nous les remontaient au point qu’un arrivait meme pas à s’abaisser ,mais ça faisait parti du strarageme que c’était bien plus façile que les lanieres de leurs martinets de meres atteignent nos fesses deja bien endoloris et aussi bien marquées !et nous avons du subir cela pour mon cas jusqu’à mes 17 ans et ma soeur jusqu’à ses 19 ans,mais à cette époque remplis de blouses et de bretelles sans oublier les martinets qui s’abataient pour un oui ou un non sur nos fesses,et pour les affaires plus graves selon les critéres de nos meres culs nus et qui la nous faisaient vraiment mal ,car en plus les lanieres en cuir du matinet données avec force laissaient pendant des jours des vilaines marques rouges sur nos fesses,donc les gens ne pouvaient ne pas voir qu’on avait été fouettés au martinet ,et que meme ,les autres femmes ainsi que les enseignantes au collége ne manquaient pas de nous dire  » et alors mon garçon ou ma fille tu n’as pas été sage avec maman et elle t’a fésée au Martinet !,et elle g’as raséeta tete ha ha ha tu es beau comme ça !il arrivait aussi que lorsque j’allais jouer avec ma cousine dans son appartement qui se situait audessu de la pharmaçie si l’n faisait trop de brui car soi disant cela raisonnait ,Alos la ma tante envoyait une des employées de la pharmaçie martinet en mais nous fesser histoire de nous calmer ,certes l’employée elle disait bien vous savez si madame qui m’envoie vous fesser au martinet donc comme je suis son employée je dois le faire et la on devait ma cousine et moi s’allonger sur la grande table de salon,puis l’employée nous remontait nos blouses par dessus nos tetes et sclack,schlack schlack on reçevait 10coups bien appuyés de sa part et en partnant l’employée nous prévenait que si on faisait de nouveau trop de bruit une autre emloyée qui savait couper les cheveux viendrait nous raser nos tetes a la tondeuse électrique ,et croyez moi j’en ai connu des filles comme les garçons avec la boule à zero aussi !ça aussi ça faisait parti des moeurs dans le Nord !et pour cacher ça on était obligés de mettre de grands berets bien enfonçés sur nos tetes pour pas que les gens se moquent de nous d’avantage !.c’est tout comme lorsqu’on sortait soit à pied ou en voiture on devait toujours laisser nos blouses en nylon sur nous ainsi que nos berets bref pour simplifier la chose à cette époque ( les anées 70 et 80) les mamans avaient bien leurs enfants bien sous la main ,ah ça il n’avait aucun problém !et Il y a seulement 40 ans de ça bref comme on dit c’était un autre monde!

  4. Pendant toute ma scolarité c’est à dire jusqu’à 16 ans ma mere était intrasigeante avec moi je devais toujours porter une blouse en nylon couleur blanche ou bordeaux boutonnée avec des grands boutons en plastique sur le coté ,c’est à dire jusqu’en haut de mon cou ,et attention meme en été lorsqu’il faisait chaud TOUS ME SBOUTONS DEVAIENT ETRE MIS!,sinon c’était le martinet sur mes fesses à coup sur!De plus jusqu’à mes 16 ans je devais non seulement porter mes blouses en nylon mais aussi en dessous ma blouse toujours des culottes courtes tenues par des larges bretelles à pinces ( bien tendues au point que j’avais du mal à m’abaisser ! et gare à moi si je les détendaient !) comme ça ça dégageait mes cuisses pour le martinet toujours bien appliqué aussi pour un oui ou pour un non,( c’était la mode en ce temps la !)toutes les mamans avaient un Martinet accroché dans la maison! et elles s’en servaient copieusement,et non plus pas en douceur les lanieres en cuir du Martinet nous arrivaient à toute volée,et souvent je suis parti à l’école et au collège avec mes fesses bien rouges,et données à répètition je n’arivais plus à m’assoir !je me suis plaint une fois à maman que mes fesses étaient souvent bien rouges ,et comme réponse ma mere m’a répondue  » MAIS TU N AS QU A ETRE PLUS OBEHISSANT ET MAINTENANT TU TE TAIS SINON JE LE DECROCHE DE SON CLOU DANS LA CUISINE !TU EN VEUX ENCORE TU SAIS MOI JE NE SENS RIEN !Et dès qu’il manquait quelques lanieres un nouveau Martinet était aussitot acheté! Quant aux anciens martinets qui leur manquaient quelques lanieres ils étaient mis de coté ,comme par exemple au dessus mon lit ,ou encore dans la boite à gants de la voiture etc..bref Il me suivait partout!memelorsque je n’avais pas école j’étais toujours en blouse,car une amie de ma mere qui avait une fille et qui était partie à la faculté et qui ne portait plus ses blouses ( sauf que lorsqu’elle revenait pendant les vacances ou la elle en mettaient) et bien c’est encore ma mere qui les a eu car un jour cette amie de ma mere et venue chez nous avec un gros paquet avec plein de blouses en nylon mais pour filles,et de couleur pour filles ,en rose,jaune,rouge etc …et a donnée le paquet à ma mere en lui disant « tenez voila cela va faire votre bonheur ,et certes ma mere en a pris pour elle et les autre trop petites c’est moi qui devait les porter les jours que je n’avais pas école ,au point que je n’osais plus sortir car un garçon affublé en blouses en nylon roses,bleue ciel etc deja quand la famille venait nous visiter et qui disait à ma mere  » OH QU IL EST MIGNON TON GARCON AVEC CES BELLES BLOUSES !N’empeche nous lorsqu’on partait visiter la famille la Il n’y avait pas de compromis,la je devais les porter ces blouses de filles et de ce fait je mettais un beret bien enfonçé sur ma tete pour qu’on ne me prenne pas pour un garçon ,donc oui en effet je peux en parler de mes blouses en nylon que j’ai du porter!et en plus vu que je ressemblaitplus à une fille plutot à un garçon affublé comme j’étais , automatiquement je ne pouvais participer qu’à des jeux pour filles du genre  » saut à la corde ou encore jouer à la dinette! et lorsqu’une de mes cousines s’énervait ou pleurait,,c’est encore moi qui prenait,car mes tantes avec ma mere sortaient bien entendu avec le Martinet en main et de nouveau c’était encore moi qui était fessé sur mes fesses avec le Martinet,puis je devais rentrer dans la maison et aprés avoir reçu une belle fessée avec la martinet ,me mettre à genoux avec les mais sur ma tete au coin et meme la !gare! si je tenais pas la position le Martinet entrait de nouveau en action sur mes fesses,et oui durant ces années 70 et 80 nous les garçons et les filles qu’est ce qu’on était souvent fessés au Martinet ,les meres ne pouvaient pas faire sans avoir leurs Martinets en main

  5. Magnifique.
    Qu’elle femme ne serait pas ravie de déléguer toutes ces tâches.
    Curieuse de lire la suite.
    Qui, je l’espère, arrivera rapidement.

    • Merci infiniment, Madame. Je précise qu’il s’agit d’une histoire vécue. La suite arrivera rapidement… Et au plaisir de vous servir cela vous tente !

      • Bonsoir,
        vous avez de la chance que repasse ici, sans quoi j’aurais pas eu votre réponse.

        Et j’ai bien tentée de trouver un soumis, mais c’est aussi dur à trouver qu’un billet de 500 dans la rue.

        De plus, mon apparence, ma vision des choses, ma vie… rebutent les mâles.

        Je repasserai pas sur cette page, passez sur mon blog si vous voulez être sur d’être lu.

        Et j’ai d’autant plus hâte de lire la suite, si c’est du vécut.

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