Homme soumis : Mon initiation à la soumission bien malgré moi (2)

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homme soumis

 

Deuxième jour d’éducation

 

Le matin venu, ma Maîtresse rentra dans la pièce.

-As-tu bien dormi petit homme soumis ?

-Oui maîtresse Sandy !

-Es-tu prêt pour ta deuxième journée d’éducation.

Bien que mes fesses, et mes tétons me fessais encore souffrir, je répondis :

-oui Maîtresse Sandy !

Elle me fit sortir de la cage, et m’ordonna à nouveau de lui lécher les pieds.  J’obéis sans discuter.

-Es-tu fier d’être mon soumis ?

-Oui Maîtresse Sandy !

-Es-tu honoré de pouvoir me lécher les pieds ?

-Oui Maîtresse Sandy !

Rencontre inattendue pour l’homme soumis!

 

Ma Maîtresse dominatrice me fit aller dans une autre pièce, toujours à quatre pattes, et tenu en laisse.  Une fois dans cette nouvelle pièce, ma elle m’ordonna de rester à quatre pattes genoux bien écarté.

-Relève la tête et regarde !

Je découvris une autre personne qui n’était autre que ma patronne.  Je ne comprenais pas ce qui ce passait.  Que faisait-elle là ?  Ma patronne était habillée d’une robe en latex rouge.  Maîtresse Sandy me dit :

-je te présente Maîtresse Pamela.  Salue-la !

-Bonjour madame : répondis-je.

A ce moment là, Maîtresse Sandy me donna un terrible coup de cravache sur mes fesses toujours très douloureuse après la séance de la veille.  Je ne pus m’empêcher de crier.

-C’est bonjour Maîtresse Pamela !

Oui Maîtresse Sandy !  Je suis désolé Maîtresse Sandy !

Ainsi, je saluai à nouveau ma patronne d’un « bonjour Maîtresse Pamela ».

Je compris, à ce moment-là, que tout ceci était en réalité en coup monté et orchestre2 de main de maître par ma patronne.  Je me sentais terriblement humilié non seulement parce que j’étais à quatre pattes, le sexe enfermé dans une cage devant ma patronne, mais aussi parce que je m’étais fait avoir comme un bleu sans jamais me rendre compte de quelque chose.

 

Suite de l’humiliation pour l’homme soumis!

 

L’humiliation n’allait bien sûr pas s’arrêter là. Je reçus l’ordre de lécher les pieds de ma patronne.  Et ce qui devait arriver, arriva! Je léchai les chaussures de Maîtresse Pamela, et ensuite ce fut les pieds. Après, elle m’ordonna de lui sucer les orteils. Quelle humiliation!

Comment allais-je faire pour retourner travailler ?  Mon humiliation ne fit que grandir car j’avais une nouvelle érection.  Je n’arrivais pas à croire la situation dans laquelle je me trouvais. J’étais nu, le sexe enfermé dans une cage de chasteté, occupé à lécher les pieds de ma patronne.  De plus cette érection me faisait mal car j’étais vraiment à l’étroit dans cette cage, Maîtresse Sandy, ainsi que Maîtresse Pamela s’en rendirent compte. Elles se mirent à rire.

Après avoir longuement léché les pieds de Maîtresse Pamela et avoir reçu, régulièrement, des coups de cravache de la part de maîtresse Sandy, mes deux Maîtresses me ramenèrent dans la première pièce de la veille. Je ne pouvais m’empêcher de me dire que j’allais, encore, en prendre pour mon grade.  Et je ne m’étais pas trompé.

-Mets-toi debout !

J’obéis ! Cette position debout était très inconfortable car j’étais toujours en érection, et une très forte!  Avec le pénis enfermé dans cette cage, j’étais très à l’étroit, et ça me faisait mal.

 

Attaché par les mains à une poulie !

 

J’étais, maintenant, attaché par les mains à une poulie. Mes pieds ne touchaient plus sol. Ensuite, mes deux Maîtresses quittèrent la pièce et me laissèrent comme ça deux longues heures.  Mes bras me faisaient souffrir. Je n’avais qu’une envie : relâcher cette étirement que ressentaient mes bras.  Malheureusement pour moi, je n’étais pas encore prêt à être détaché.  En effet, Maîtresse Pamela me réservait un autre châtiment en étant toujours suspendu par les bras.  Elle allait, en effet, me fouetter. Pour cela, elle utilisa un fouet avec une seule mais longue lanière.  Je reçus un premier coup, puis un deuxième, puis un troisième, puis un dixième, un vingtième, et comme ça jusqu’au cinquantième coup.

A chaque coup, la lanière du fouet s’enroulait autour de moi. J’entendais cette lanière claquée sur ma peau ce qui me faisait très mal. Je me tortillai dans tous les sens pour essayer de m’extraire des coups, ce qui était totalement stupide car à part, à me faire encore plus mal aux bras, ça ne servit absolument à rien. Je reçus chaque coup sans exception. Maîtresse Pamela était une experte dans le maniement du fouet.

Pendant tout ce temps, Maîtresse Sandy resta assise et se délecta de me voir souffrir, et supplier Maîtresse Pamela d’arrêter.

 

Au tour de Maîtresse Sandy de me châtier!

 

Après cette douloureuse séance de fouet, je fus enfin détaché de cette poulie. Tout mon corps me faisait souffrir, mais mon éducation n’était pas terminée.  C’était maintenant au tour de Maîtresse Sandy de me châtier.  J’étais debout devant un appareil que je ne connaissais pas. Maîtresse Sandy coinça mes testicules dans une sorte d’étaux. C’était tellement douloureux que je n’osais plus bouger. Le moindre mouvement m’imposait une forte douleur aux testicules. Maîtresse Sandy recommença à jouer de la cravache sur mes fesses.

Cette fois-ci,  je reçus trente coups sur les fesses. Une douleur terrible envahit tout mon corps dès les premiers coups. La douleur était accentuée par la douleur de mes testicules.  Ce châtiment se termina enfin. Je n’en pouvais plus. Mes deux maîtresses décidèrent de me laisser souffler. Je dûs rester debout jambes écartées, les bras croisés dans le dos. J’étais sur une plaque de fer avec des bouts pointus. Cela me faisait horriblement mal à la plante des pieds.  J’avais interdiction de bouger, et de parler.

Après être resté un long moment dans cette position, Maîtresse Pamela vint me chercher.

-Tu es ici depuis hier soir, tu dois avoir faim ?

-Oui maîtresse Pamela !

Elle m’emmena dans la cuisine à quatre pattes. En effet, je n’avais plus le droit de me déplacer en position débout quand j’étais en leur présence.

 

Homme soumis sous la table pendant le dîner!

 

En arrivant dans la cuisine, je remarquai deux couverts sur la table, et une gamelle sous la table. Maîtresse Sandy me dit :

-je te laisse deviner pour qui est la gamelle !

Bien évidemment, j’avais compris que la gamelle était pour moi.

-Quand nous mangeons, ta place est à nos pieds homme soumis !

-Oui Maîtresse Pamela !

-Alors, qu’est-ce que tu attends pour aller t’installer à ta place de soumis.

-Je m’y rends tout de suite Maîtresse Pamela !

Je me retrouvai, ainsi, en dessous de la table aux pieds de mes deux Maîtresses, occupé à manger dans une gamelle avec l’interdiction d’utiliser mes mains.  J’avais vraiment l’impression d’être un chien.  Et bizarrement, cette situation m’excitait encore.

 

Nouvelle punition pour l’homme soumis!

 

Une fois le repas terminé, je reçus l’ordre de ranger la cuisine, et de faire la vaisselle.  Le tout en ayant les mains, et les pieds entravés par des chaines.  La longueur de la chaîne de mes pieds était très courte, de sorte à ce que chaque pas soit un calvaire.  Pour aller d’un bout à l’autre de la cuisine, cela me prenait une éternité.

Une fois la cuisine nettoyée, je devais retrouver Maîtresse Sandy dans la pièce d’à côté qui n’était autre que le salon.

-Maîtresse Sandy, la cuisine est terminée !

-Bien me dit-elle, Je vais aller vérifier, pendant ce temps Maîtresse Pamela t’attend dans les toilettes, va la retrouver !

-Oui maîtresse Sandy.

Machinalement, je me mis debout pour aller rejoindre Maîtresse Pamela, sauf que j’avais reçu l’interdiction de marcher en position debout en leurs présence. La punition ne se fit pas attendre.

-As-tu l’autorisation de marcher debout me cria-t-elle ?

-Non maîtresse Sandy ! Je suis désolé maîtresse Sandy, je vous présente mes plus plates excuses maîtresse Sandy !

-Je n’ai que faire de tes excuses, mets-toi immédiatement à quatre patte tes genoux bien écarté, et cambre bien ton cul !

Oui maîtresse Sandy !

Je m’exécutai immédiatement.

homme soumis

Dix sept coups de cravache!

 

Maîtresse Sandy attrapa de sa main gauche ma paire de testicules, et de sa main droite armée de cette satanée cravache, elle commença à m’asséner des coups très secs sur les testicules. Elle tenait mes testicules très fermement de sa main gauche ce qui était déjà très douloureux, mais avec les coups de cravache en plus c’était vraiment horrible. La douleur se répandait dans mon bas vendre.  J’avais ordre de compter chaque coups, et de dire « pardon maîtresse Sandy, je ne le ferais plus »   Un, pardon maîtresse Sandy, je ne le ferais plus, deux, pardon maîtresse Sandy, je ne le ferais plus… Six, pardon maîtresse Sandy, je ne le ferais plus, huit, pardon maîtresse Sandy, je ne le ferais plus.

Bizarrement le coup suivant n’arriva pas.

-Tu t’es trompé homme soumis !  Après six c’est ?

-Sept, maîtresse Sandy répondis-je !

-Tu sais ce que cela veut dire soumis, on recommence à zéro !

C’était donc reparti et cette fois-ci, je fis bien attention de ne plus me tromper.  Au dixième coup, qui en réalité était le dix-septième coups, ce fut terminé.

-Maîtresse Pamela t’attend dans les toilettes, dépêche-toi !

Je me rendis donc dans les toilettes, et cette fois-ci, je ne fis pas l’erreur de me lever, et je m’y rendis à quatre pattes.

Arrivé dans les toilettes, je trouvai, Maîtresse Pamela, assise sur les toilettes.

-Tu viens de te faire punir homme soumis ?

-Oui Maîtresse Pamela !

-C’est normal, quand on est désobéissant, on doit être puni !

Tout en me disant ça, j’entendis son urine couler dans la cuvette.  Une fois terminé, elle se mit debout avec son pied droit posé sur la baignoire pour bien exposer son sexe.

-Nettoie moi la chatte avec ta la langue soumis, et dépêche-toi !

 

Séance de nettoyage très spéciale pour l’homme soumis !

 

Rien que l’idée de devoir lécher toute l’urine sur son sexe me révulsait, mais je n’avais pas oublié ce que Maîtresse Sandy m’avait dit la veille, à savoir « désobéir à un ordre direct de ta Maîtresse est une offense suprême ».  Sans discuter, je commençai donc à lécher toute l’urine de son sexe. Je passai correctement ma langue entre ses lèvres pour nettoyer son sexe le mieux possible.  Son urine était chaude, et salée.  Contrairement à ce que je pensais, ça ne me dégoutta pas, pour tout dire je trouvai ça plutôt agréable.

Je m’étonnai même de ressentir de la fierté de pouvoir nettoyer le sexe de ma Maîtresse avec ma langue.  Evidemment, il ne fallut pas longtemps pour que je sois de nouveau en érection.

Une fois cette séance de nettoyage plus que spéciale, mais tout de même excitante fut terminée, me voilà dirigé vers le salon toujours à quatre pattes bien sûr. En arrivant dans le salon, Maîtresse Sandy était là. Elle avait enfilé un gode ceinture, et tenait dans sa main droite un tube de lubrifiant.  Je compris, immédiatement, ce qui allait m’arriver. Ainsi, j’allais me faire enculer pour la première fois.

-As-tu compris ce que je vais te faire ?

-Oui maîtresse Sandy, vous aller me sodomiser !

-Exactement me dit-elle, la cuisine est impeccable, je vais donc te donner une récompense !

Sur le moment, je n’étais pas convaincu qu’il s’agissait de la récompense que je souhaitais, mais n’ayant plus aucun pouvoir de décision, j’attendis sans broncher que cette énorme gode pénètre mon cul.

-Mets-toi à quatre pattes avec ton cul bien cambré !

 

Le gode-ceinture!

 

Je m’exécutai.  Soudainement,  je sentis un liquide couler entre mes fesses. C’était le lubrifiant.  Elle lubrifia abondamment mon anus en introduisant un doigt, puis deux dans mon cul.  Maîtresse Pamela, qui je vous le rappelle, était ma patronne, rigola aux éclata de me voir comme ça.  L’humiliation était extrême.

C’était, maintenant, au tour du gode de me pénétrer. Il était énorme. Je sentis mon sphincter s’élargir, non sans douleur. Après, je ressentis une vive douleur. Ma maîtresse continua à introduire progressivement le gode dans mon cul. J’avais l’impression qu’il allait me déchirer. Je plissai les yeux tellement ça me faisait mal.  Le gode était, finalement, totalement introduit dans mon anus. Ma Maîtresse commença les vas et vient, d’abord doucement, et ensuite de plus en plus vite.  Mon anus continua de se dilater, la douleur se transforma en une sensation de plus en plus agréable. A mon grand étonnement, je commençai à pousser des cris de jouissance. J’avais une érection comme je n’en avais jamais eu.

Maîtresse Sandy continua le va et vient. elle me donna par moment de grands coups de rein pour faire pénétrer le gode d’un coup sec.  Je n’avais jamais ressenti un telle plaisir. Le fait de savoir que ma patronne, Maîtresse Pamela me voyait comme ça, augmenta, aussi, mon humiliation.

Soudainement, sans que je puisse le contrôler, je me mis à uriner. Maîtresse Sandy continua de plus belle les vas et vient, ce qui m’amena à l’orgasme.  J’éjaculai violemment sur le carrelage du salon en poussant de grands soupirs.  J’étais couché sur le ventre dans mon urine et mon foutre, le cul totalement dilaté.

 

Dernière punition pour la deuxième journée d’éducation!

 

C’est là que Maîtresse Pamela dit :

-il a jouit sans demander l’autorisation, ça mérite une punition !

-Tu as tout à fait raison : répondit Maîtresse Sandy, mais avant ça, il va nettoyer avec sa langue.

Oui, vous avez bien compris, j’ai reçu l’ordre de nettoyer l’urine, ainsi que le sperme sur le carrelage avec ma langue.

Ensuite, ce fut le moment de la punition.  En effet, j’avais joui sans permission, cela méritait d’être puni.  Maîtresse Pamela accrocha une pince japonaise à chacun de mes tétons qui étaient encore très douloureux de la veille.  A chaque pince, elle y accrocha des poids, mes tétons étaient, ainsi, bien étirés.  Je reçus ensuite l’ordre de sautiller sur place. Chaque bon, étirait encore plus mes tétons, c’était super douloureux.  Je n’étais pas autorisé à faire de pause, les sauts devaient être continus. Chaque pause que je ferais, même ne fusse que d’une seconde serait sanctionné de dix coups de cravache dans le dos.  A la fin de la punition, je dus subir trente coups de cravache dans le dos car j’avais fait trois pauses pendant les petits sauts.  Autant vous dire que la punition pour avoir joui sans autorisation fut sévère.

-Ta deuxième journée d’éducation est terminée !

Je fus reconduit dans ma cage pour y passer la nuit.

-Tache de bien te reposer car demain commence ta troisième journée d’éducation d’homme soumis.

J’étais occupé à devenir un homme soumis.  Mon envie de me soumettre à ces deux Maîtresses devenait de plus en plus forte.  J’avais hâte de découvrir ce qui m’attendait demain.

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5 réflexions au sujet de “Homme soumis : Mon initiation à la soumission bien malgré moi (2)”

  1. En réponse à Jean Paul Maury.

    Merci pour ton commentaire, ça fait plaisir.
    Il y aura bien un troisième volet qui est en cour d’écriture. Il sera publié dès que possible.

Les commentaires sont fermés.