Jeune soumis à la recherche de sa future Maîtresse dominatrice

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Dédié à Chiot Léo pour son attention envers sa maîtresse V. son site: (https://vanessabjdu77.wordpress.com)

Ceci est tiré partiellement de notre relation D/s

future Maîtresse dominatriceChapitre 1 : La  recherche et la rencontre du soumis envers sa future Maîtresse dominatrice 

Léo est un jeune soumis ordinaire comme il y en a plein sur terre à la recherche de sa future Maîtresse dominatrice… Il est inscrit sur plusieurs sites de rencontres SM et gynarchiques et aux aguets dès lors qu’une annonce sur ce genre de site apparaît. Il créa un message type à envoyer aux dominatrices à la recherche de nouveaux soumis. Puis, à force d’être sans réponse à chaque fois, il décida d’écrire à la prochaine venue, tout ce qu’il ressentait lorsqu’il pensait à la domination Féminine et aux maîtresses expérimentées puis il se mit à décrire ses anciennes expériences et leurs limites qu’il était enfin prêt à dépasser. Le jour même de l’écriture de ce message, il reçut un mail de la dominatrice en question: « Maîtresse V ». Elle lui expliqua qu’elle avait besoin d’un larbin qui était prêt pour satisfaire sa reine. Il fallait que son future soumis soit apte aux travaux ménagers et débrouillard mais avec un tempérament de soumis peu importe les circonstances… Elle voulait aussi un soumis qui aurait besoin d’être pris en main, dressé et utilisé pour son plaisir sans retenue et surtout, sans réfléchir aux conséquences qu’il pourrait y avoir sur sa vie privée. En dessous de cela, il y avait écrit, « si tu te sens capable de réaliser tout ce que je souhaite, alors appelle moi et vite avant que je ne perde patience ». Ce message était suivi de son numéro de téléphone. Léo prit son téléphone et composa le numéro. Après une seule sonnerie, quelqu’un décrocha.

– Allô

Une voix féminine.

– Bonjour Madame, je me permets de vous appeler au sujet de la possibilité d’être votre future soumis.

-Ah oui. Comment t’appelles-tu?

Étrange, la dame, qui allait peut-être, devenir sa future Maîtresse Dominatrice, n’avait pas pris le temps de dire simplement  » bonjour « . Léo, d’entrée de jeu Troublé,  répondit.

– Léo, Madame… 

– Bien Léo, la place est libre si tu l’es. Es-tu libre aujourd’hui pour me prouver ta dévotion et ta motivation? 

– Oui Madame, Je le suis pour vous toute la journée ».

– Bien. Alors viens de suite! Mon donjon est situé au 3 rue de la Cour de la Reine. Je t’y attends donc ne prend pas tout ton temps! .

-C’est que… (d’un ton hésitant) Madame, je ne vous connais même pas encore… 

Déesse V eut un petit rire sadique avant de simplement dire :

-Ne t’inquiète pas, Léo. Tu vas rapidement faire la connaissance de la Reine à qui tu t’adresses. A tout de suite.

Sur cette phrase, Maîtresse V avait raccroché. Passé cet échange surréaliste, Léo ne savait pas s’il était plus troublé ou outré. La dame n’avait pas à proprement parlé ni été insultante, ni même malpolie, si l’on excepte l’absence de salutation au début de leur conversation. Mais elle avait d’entrée installé un code entre eux. Il la vouvoyait, elle le tutoyait. Elle l’appelait par son prénom, il l’appelait « Madame ». D’ailleurs, il ne connaissait rien sur elle or mis son nom. Enfin, cette femme l’avait convoqué et il n’avait pas intérêt a tarder d’aller à sa rencontre. Le lieu était à seulement 15 minutes en RER de l’endroit où Léo vivait actuellement. Il n’eut aucun mal à trouver.

L’interphone devant la porte voûtée en bois assez vieillie indiquait « Vanessa … ». Léo appuya en priant pour qu’il ne se soit pas trompé d’adresse.

– Oui 

– Re-bonjour, Madame, c’est Léo 

– Entre, pose ton sac, tes chaussures et ta veste puis viens me rejoindre!

La communication se coupa tandis que le bip typique de l’ouverture du verrou se fit entendre. Léo passa timidement la large porte qui débouchait sur une vaste cour intérieure laissant apparaître une magnifique maison d’époque totalement rénovée ainsi qu’une porte en acier couleur noire mate de l’autre côté de la cour laissant apparaître un collage avec une femme debout, un fouet à la main et un homme soumis, à ses pieds la vénérant. Ce n’était pas du tout l’idée que Léo se faisait du lieu. Au milieu de la cour, trônait donc cette maison bourgeoise, plutôt grande. Une dame se tenait sur le perron de la maison principale, un sourire éclatant fixé sur le visage et les mains sur les hanches. C’était un petit bout de femme qui ne devait pas faire plus d’un mètre 60. Les cheveux d’une couleur OR, elle semblait avoir une petite quarantaine très bien conservée. Ses cuisses et ses hanches relativement fines étaient mises en valeur par une jupe noire en latex très conservatrice quoiqu’assez serrée. Elle portait également un chemisier Rouge faisant ressortir son coté dominatrice. Une très belle femme sans rondeurs, dont les vêtements un peu austères semblaient ordonner la discipline pure. Ce tableau, qui paraissait sorti d’un autre âge, n’était partiellement contredit que par un détail, mais d’importance : de magnifiques cuissardes à talons aiguilles de cuir noir qui remontaient énormément. Elle s’avança d’un bon pas vers l’heureux élu, un peu intimidé, et lui tendit une main dynamique qu’il serra benoîtement. Sans se départir de son sourire impressionnant, qui tranchait avec son apparence stricte, elle entama :

– Bonjour Léo, je suis Vanessa BJ. Mais appelle-moi  Maîtresse ou Déesse… pour l’instant! 

Ne sachant interpréter ces derniers mots, Léo s’essaya à articuler :

– Bien… bon-bonjour Madame, enfin, re-bonjour, enfin, je veux dire… 

A l’écoute de ses bafouillages, Madame s’esclaffa rapidement.

– Ne sois pas intimidé, voyons. Bon, je suppose que tu veux voir en quoi consiste ton futur rôle ainsi que l’endroit où tu risques de vivre si tu signes le contrat que l’on va élaborer ensemble. Suis-moi!

Sans laisser à Léo le temps de se séparer de son trouble ou de reprendre simplement son souffle, Maîtresse Vanessa tourna ses talons aiguilles et reprit sa démarche dynamique vers la porte « de l’enfer », pour le soumis mais « du paradis » pour Maîtresse Vanessa. Léo avait vu juste, c’était bien là que tout allait se jouer.

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