La fête de la musique et la femme dominatrice

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femme dominatrice

 La chef d’orchestre, femme dominatrice

La chaleur moite s’installe et s’impose. La soirée s’anime aux sons des blanches, silence, soupir, croche et double croches. Il y a la lumière tamisée dans un parc aux sons endiablés, qui s’animent aux gré des vents et des cierges. La foule prend vie, les émotions s’enflamment. L’ombre des cierges s’emporte, les mains claquent et applaudissent. Je suis au premier rang d’un concert d’instruments à vent et à cordes. Devant moi, il y a l’orchestre et plus en avant, se trouve la chef d’orchestre, femme dominatrice, grande et filiforme, chignon très serré, regard marqué et rouge à lèvres dessiné. Nous nous sommes contactés il y a peu sur un forum. Le courant est passé entre nous. La stimulation s’est électrisée et l’idée de se rencontrer s’est imposé.

Lors d’une discussion sur le forum, c’est elle qui a lancé l’idée d’une rencontre.

-Rendez vous à la fête de la musique ! J’y fais une représentation avec mon orchestre. Viens y assister et viens te présenter à la fin ! C’est à prendre ou à laisser !

-Très bien Madame !

Je me risquais à demander :

-Puis-je enfin avoir une photographie de vous madame?

Sa réponse fut instantanée :

-Pas la peine, tu en sais assez sur moi, sur mon age, ma voix et tu as une vague description qui te suffit largement !

Puis elle ajouta sèchement :

-Si une femme naturellement Dominante, la soixantaine, t’effraie au point de ne pas assumer, passe à autre chose !

-Bien madame ! Je comprends et j assume totalement ! Comment dois-je me présenter à vous?Y a t il des directives particulières à suivre?

-Tu viens ! C’est tout ! Une dernière chose, tu devras porter une chemise blanche et un jean sans rien dessous.

Puis cette femme dominatrice avait raccroché.

La rencontre

Le concert touche à sa fin. Je sens que ma gorge se noue et que mes cordes vocales se glacent. Le vent cingle de plus en plus et les flammes des bougies prennent vie. La foule se disperse. Les musiciens rangent leurs instruments. Les sourires pleuvent et les voix résonnent. Puis une queue se forme, les spectatrices et spectateurs vont féliciter l’orchestre.

Aussi, je décide de prendre ma place. Enfin, je me retrouve nez à nez devant elle.

D’une toute petite voix, j’arrive à peine à articuler :

-bonsoir et bravo !

-de rien et bravo à toi ! jolie chemise! Attends moi près du bar ! j’arrive.

Je reste surpris par sa réponse directe et ironique. Aussi, je suis étonné et chamboulé car elle n’a eu qu’une photographie de moi et cependant, elle m’a reconnu de suite. Je me glisse près du bar, et me met un peu à l’écart. Je manque de confiance en moi et je n’aime pas l’idée que toutes et tous savent pourquoi j’attends ! De longues minutes passent, des images se bousculent dans ma tête, des interrogations aussi. Cependant, je ressens une excitation non dissimulée prendre forme en moi.

Cette attente me semble durer une éternité. J’évite de regarder vers elle. Puis la voilà, enfin, devant moi souriante, menue, posée, mais très athlétique en fait. Cette femme dominatrice a un côté vestale et une prestance évidente. Les minutes passent. Nous parlons de tout et de rien. Je n’ose la fixer, elle le sent et s’en amuse.

-Allons marcher !

Elle me prend par le bras, saisit son sac et y glisse un cierge posé sur le bar.

-J’ai 62 ans !

Sur le moment, je sourie sans vraiment comprendre le pourquoi de cette précision.

Frappé par cette femme dominatrice

Nous marchons et nous isolons. Au loin, j’entends le bruit des vagues et l’odeur des embruns. Puis, elle s’arrête brusquement.

-Quel âge j’ai ?

-62 !

-62 qui??

-62 Madame !

Sans un mot, elle pose son sac, me cambre près d’un arbre puis sors sa baguette de chef d’orchestre.

-Tu sais compter??

-oui Madame !

-Je m’en veux de ne pas t’avoir accueilli dignement !

-Maintenant, comptes !

Je m’exécute pendant que cette femme dominatrice me frappe, vivement d’ailleurs et sans retenue aucune ! Elle me demande de compter fort et lentement.

-Bien maintenant, ouvres ta chemise !

-bien Madame !

J’ai la gorge nouée et la croupe un peu chaude !

Elle me prend par la chemise et m’emmène dans un endroit discret sur le sable, isolé derrière une dune. Elle me fait mettre à 4 pattes devant elle et dénoue son chignon. Ensuite, elle sort le cierge qu’elle a récupéré et l’allume, puis dépose sa baguette entre mes dents.

-Plus un mot maintenant!

Elle se place derrière moi me saisit la queue déjà dure je l’avoue puis malaxe mes testicules, et les tirent, Enfin, elle saisit l’élastique de son chignon et les lient bien serrés. Elle va vers son sac pour prendre son vernis à ongle et me l’enfoncer d un coup sec dans moi, profondément.

-Quel age j’ai??

-62 madame !

-Bien ! comptes!

Soumis bâillonné et à genoux

Tout en serrant mon gland entre deux doigts  et tirant ma queue en arrière, elle flagelle mes bourses liées. Ma queue devient encore plus dure. Mes bourses chauffent et je commence à couler.

-A genoux maintenant et dégage bien ta chemise!

-Bien Maîtresse ! Et oui, je l’ai appelé Maîtresse. Elle me caresse le gland rouge et noyé.

Elle sort deux cordes de guitare et me lie pieds et mains à genoux. Ensuite, elle me ferme les yeux et sort un foulard.

-Quel age j’ai??

-62 Maîtresse !

Elle me bâillonne, me flagelle de nouveau les bourses. Mon corps me tire. Les testicules deviennent douloureuses. Les larmes me montent aux yeux. Mon gland cherche à reprendre son souffle. Je ne sais plus qui je suis. Je me sens perdu, abandonné mais heureux. Ensuite, elle saisit la bougie et en joue sur mon torse. Mes cuisses sont offertes et douloureuses. Mes larmes ruissellent. Elle me prend la tete et me fourre son pied dans la bouche. Puis elle m’enlève le foulard et sort le vernis pour me le fourrer dans la bouche. Elle me saisit le visage entre ses mains et dépose un baiser sur ma joue et enfin elle saisit le cierge.

-Respires !

Elle pince mon gland déjà rouge et joue du cierge sur ma virilité. Je supplie, gémis puis vaincu je m’abandonne. Enfin, j’explose et elle continue. Je ne peux lutter. Je ne sens plus les cordes et je pars loin très loin.

Ensuite, cette femme dominatrice sort un kleenex, me nettoie et me le met entre les lèvres.

-bien…maintenant réfléchis ! Je vais te détacher et te demander de ne pas bouger.Tu prends ton temps ! Je suis là. Ne t’inquiètes pas, redescends !

Je ne sais combien de temps cela a duré, mais je pense que nous n’étions pas loin de 62..minutes..

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2 réflexions au sujet de “La fête de la musique et la femme dominatrice”

  1. Joli scénario … j’aime ces histoires articulées autour de femmes fortes dans la vie quotidienne qui mènent leur monde à la baguette !

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