La fille de l’hiver, ma future dominatrice ?

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Bonjour à tous et merci de prendre votre temps pour me lire.

J’avais déjà écrit quelques histoires il y a longtemps. Ceci n’est pas la suite, mais une ou des petites histoires de mon imagination. Peut-être un fantasme ou juste quelques idées qui trottinent dans ma pauvre petite tête. Elles seront volontairement assez hard et crues, mais ne vous inquiétez pas. Asseyez-vous, détendez-vous et bonne lecture. Voici l’histoire de ma rencontre avec la fille de l’hiver et peut-être ma future dominatrice?

future dominatriceMa rencontre avec ma future dominatrice ?

Je me rappelle ce jour-là, mais en même temps il est difficile à oublier. il devait être approximativement 15 h, il faisait froid, si froid que toutes mes extrémités étaient gelées. Le petit manteau que je portais ne me protégeait guère des morsures de cet hiver infernal. Mes mains me brûlaient, tout comme mon visage. Mon seul réconfort était mon embonpoint, cela me protégeait au moins mon torse et m’évitait d’être à la limite de l’hypothermie.

Pourtant, cela ne faisait que quelques minutes que j’étais sorti des cours, mais ce maudit arrêt de bus me semblait être à l’autre bout de la Terre. Pas moyen d’y échapper, je devais marcher de longues minutes, mains dans les poches, la tête recroquevillée, tout ça pour garder un peu de chaleur. Ce trajet ne dura en réalité que quelques minutes, mais des minutes de souffrance que j’allais bientôt regretter. Ce satané bus était encore en retard.

L’abri était déjà occupé par une demoiselle. Je ne pouvais pas la voir. Sa tête était emmitouflée dans une capuche en fausse fourrure. Son manteau était entièrement rouge vif. Il me faisait penser au petit chaperon rouge. Cependant, cette fois c’était le sang du loup qui imbibait les fibres et non celle de l’innocence mais cela, je ne l’appris que plus tard. Pas moyen de la déranger, de toute façon, il n’y avait plus de place sous l’abri. Attendre, attendre encore plus longtemps. Le vent se leva et le froid se fit encore plus mordant. Il fallait attendre, encore et encore….

La fille de l’hiver

Le bus arriva, enfin! J’allais pouvoir me mettre au chaud. Je me précipitai dedans et je m’assis dans un des deux carrés. C’était presque vide, apparemment seul les fous ou les inconscients avaient osé mettre le nez dehors. La jeune demoiselle s’assit juste devant moi. Je pouvais enfin la voir. Elle avait le visage fin, de jolis yeux en amande, un écouteur dans chaque oreille. Elle regardait dehors, pensive, le froid lui manquait-elle? Je la dévisageais de longues minutes, essayant de deviner ses pensées, mais impossible. Sa peau avait l’air chaude et douce, mais son cœur semblait aussi froid que cet hiver.

Peut-être lui appartenait-il? La fille de l’hiver, c’était comme ça que je la voyais en ce moment. Mais mon regard fut trop insistant, elle ne fut pas gênée et elle entama la discussion. On parla pendant de longues minutes. Il n’y avait pas grand monde pour nous déranger. En fait, on était seul et le chauffeur de bus avait des écouteurs sur des oreilles. Ce n’était pas très réglementaires, mais cela m’arrangeait bien. J’appris qu’elle était dans la même faculté que moi et dans le même lotissement universitaire. Elle venait d’arriver pour un stage de six mois et elle connaissait peu la ville. Je décidai de la raccompagner jusqu’à son logement. Elle me proposa de boire un verre, ce que, par pure galanterie, j’acceptai volontiers.

Premiers reproches

Elle prit mon manteau et le déposa avec le sien. Son appartement ne faisait pas plus de 13m2 comme le mien. Il n’y avait qu’un petit lit, un petit bureau et une petite télévision. Mais au moins c’était propre et bien rangé, plus que chez moi. Après quelques verres de rhum coca l’alcool fit son effet et les inhibitions tombèrent. Le froid de l’extérieur avait totalement disparu, une chaleur m’envahit. Je bus un peu trop ce jour-là et l’alcool ne me réussit pas trop, en tout cas le rhum coca c’est sur!

Elle reparla de mon regard insistant dans le bus. Je n’étais pas très fier de moi et je m’en excusais. Mais elle me dit que je devais en assumer les conséquences. Je fus étonné par ce discours et j’ai eu du mal à comprendre. J’eus l’espoir un peu fou pendant un temps qu’elle me demanda de coucher avec elle, mais il en fut tout autrement…

 

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