La princesse dominatrice

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princesse dominatrice

Un cadeau spécial pour la princesse dominatrice !

Le Roi des fées, Obéron, était un roi apprécié de ses sujets. Ses lois étaient empreintes de justice. Le peuple appréciait d’avoir un monarque si populaire, compréhensif et juste. De pouvoir vivre dans un royaume si féerique. Malheureusement, sa fille était une princesse dominatrice. Elle ne possédait aucun des traits de caractères positifs et de son père. Cette superbe jeune fée aux cheveux roses, au visage angélique et aux courbes divines, était méchante et capricieuse. Elle adorait terroriser ses serviteurs et ne manquait aucune occasion de tourmenter les domestiques.
Le jour de ses 119 ans, le Roi lui fit cadeau de son souhait le plus fort : un esclave personnel rien que pour elle. Le Roi était bien conscient des traits de caractère particuliers de sa fille et avait longtemps hésité avant d’exaucer son désir. Il était convaincu que cet esclave passerait de durs moments sous les services de sa fille. La Reine Titania, une superbe fée au visage magnifique mais dur, une longue chevelure d’un violé foncé et profond,et des fesses gigantesque bien rondes à faire pâlir les déesses grecques, le fit changer d’avis. Cette Reine était très autoritaire et donnait aux désirs de sa fille une grande importance. De plus, le Roi aimait beaucoup sa fille et il n’aurait pus résister longtemps aux désirs de cette princesse dominatrice.

Un nouvel esclave pour la princesse dominatrice !

Arriva le moment où la jeune fille fut autorisée à choisir son esclave personnel parmi un groupe de servants masculins de la Cour. Après de longues hésitations, la princesse dominatrice choisit Súlimo (celui qui respire), un jeune elfe qui était responsable des jardins du château.
La veille de son anniversaire, la princesse Enetari eut la garde de son nouvel esclave. L’elfe fut emmené dans sa chambre, où il attendit sa nouvelle maîtresse, la princesse dominatrice, le cœur battant. Après une demi-heure d’attente anxieuse, Enetari entra dans la pièce. L’esclave attendit respectueusement les ordres de sa princesse dominatrice. Elle le regarda et dit brusquement :
-Que fais-tu à attendre ? Allez, mets toi à genoux, je suis ta nouvelle Maîtresse, ton destin est à moi.
Surpris de ce ton peu amical sur lequel elle s’adressa à lui, il s’agenouilla et tarda à poser son regard sur sa maîtresse. Cela fut sa première erreur. La Princesse s’approcha de lui et lui remonta la tête en le prenant par les cheveux.
-Regardes moi quand je te parle. Comment peux tu ignorer ma beauté à ce point !

Une princesse dominatrice très vaniteuse !

Elle était non seulement pleine de méchanceté mais elle était aussi très vaniteuse. Sa chambre était remplie de miroirs dans lesquels elle pouvait s’admirer. Il faut admettre qu’elle était une divine jeune fée .
Elle tira sa tête en arrière par les cheveux pour qu’il la regarde.
Tu n’es qu’un bon à rien, une pauvre larve !
Elle le releva et lui cracha sur le visage.
-tu vas être un objet pour moi ! je t’utiliserais comme bon me semble. Cela fait des années que j’attends ce plaisir, et maintenant le temps est venu.
Elle relâcha les cheveux de son esclave et le repoussa.
-Je ne veux pas te revoir ici avant une heure. Pendant ce temps, prends un bain et va te chercher des vêtements neufs. Je veux un esclave propre qui ne m’insulte pas de par son apparence !
L’esclave se hâta de sortir pour exécuter les ordres de sa maîtresse.

Le Roi regrette son cadeau !

-Je ne sais pas si c’était une bonne idée de donner ce jeune elfe à notre fille : dit le Roi, un peu troublé.
Il regarda au dehors les jeunes fées du château qui jouaient ensemble. Elles étaient les filles des personnes de la Cour et prenaient du plaisir à jouer ensemble. La Princesse avait toujours refusé de participer aux jeux avec elles. C’était s’abaisser pour elle que de se mélanger à d’autres filles.
-Pourquoi pas ? Ne t’inquiète pas, elle connaît ses limites : le rassura la Reine.
-Le crois-tu vraiment ?
Le Roi restait sceptique.
-Absolument! : lui rétorqua sa femme.
-Eh bien, nous verrons…mais nous devrions garder un œil sur elle. C’est un petit démon tu sais… !
La Reine lui promit qu’elle s’occuperait de surveiller sa fille.

L’esclave, siège humain !

Un soir, quelques mois après l’anniversaire de la Princesse, la Reine entra dans la chambre de sa fille. Elle venait lui annoncer une bonne nouvelle : une de ses licornes venait de mettre bas. Mais elle chercha sa fille en vain, ni Enetari ni son esclave n’était là. La Reine marcha un peu dans les appartements sans bruit lorsqu’elle passa devant une petite salle en renfoncement. Elle put voir sa fille, assise sur quelque chose. Cela n’aurait rien eut de surprenant si ce n’était pas le visage de son esclave qui formait le siège sous le magnifique derrière de la jeune fée. Elle était en train de coiffer ses longs cheveux roses, assise sur son siège humain.
Il ne semblait pas la concerner du tout que l’elfe sous ses fesses essayait désesperement de continuer à respirer. Sa tête était bloquée entre ses fesses, il n’y avait que la petite culotte de la Princesse qui empêchait sa tête de s’enfoncer plus profondément dans son derrière. Pendant un moment, la Reine ne savait comment réagir. La Princesse n’avait pas entendu la Reine, elle décida de partir sans rien dire.

La Reine, femme dominatrice ?

D’un côté elle était abasourdie de la façon dont sa fille utilisait son esclave, mais d’un autre côté, elle était fascinée par la scène à laquelle elle venait d’assister. Ce n’était pas une coïncidence si sa fille était si cruelle. Sa mère aussi aimait dominer les hommes. Souvent, des domestiques venaient le soir dans sa chambre pour la servir. Ils devaient garder le silence sous peine de punitions sévères. L’apparent plaisir que prenait la Princesse à s’asseoir sur le visage d’esclave était aussi un des plaisir de sa mère. Bien sur, son derrière était bien plus gros que celui de sa fille, et quelques servants avaient déjà perdu conscience sous ses fesses pendant que la Reine, assise sur leur visage, ne pensait plus à eux !
Comme sa curiosité était éveillée, elle décida de retourner voir le spectacle. Elle ouvrit légèrement la porte sans bruit et arriva à temps pour voir la Princesse relâcher son esclave.

La princesse dominatrice, très contente avec son esclave !

Elle leva son derrière et regarda en bas le visage tout rouge se son esclave.
-Tu ressembles à une tomate ! Et maintenant renifle bien entre mes fesses et remercie moi pour ce privilège ! Je n’ai jamais accordé cette faveur à quelqu’un d’autre avant !
Il respira très fort humant l’odeur de sa Princesse.
-merci, Maîtresse, de m’avoir permis de sentir votre derrière !
Le manque d’air lui avait presque éteint la voix.
-Je pense que tu seras bientôt à nouveau honoré de cette faveur, mais je penserais à quelques améliorations pour me servir encore mieux !
En quittant la pièce, l’esclave rencontra la Reine à la porte.
-Stop !  dit la Reine à l’esclave en le forçant à s’arrêter.
Elle prit le visage violet entre ses mains et le regarda droit dans les yeux.
-Je vois que ma fille sait comment diriger des hommes comme toi !
Elle lui tordit le nez et l’esclave ne bronchât pas. Elle laissa l’homme repartir et lui ordonna de passer à la salle de bain.
Pendant ce temps, la Princesse regardait et lui sourit.
-Je me suis assise sur son visage Maman ! C’est merveilleux de posséder un esclave à soi !
-Oui, je sais ! : lui répondit sa mère.
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3 réflexions au sujet de “La princesse dominatrice”

  1. Hâte de lire la suite.
    Moi aussi j’envie cet elfe.
    L’idéal serait qu’elle retire sa culotte avant de s’asseoir sur mon visage, je lui laverais l’anus en le léchant puis j’enfoncerais ma langue dans son trou du cul pour le nettoyer en profondeur.

  2. Sous forme de contes et légendes, c’est original.
    J’aime beaucoup.
    Et quelle chance elle a !

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