L’amie du lycée devenue une femme dominatrice (3)

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Suite de la soirée avec Maîtresse Melanie !

Après avoir retrouvé par hasard une amie de lycée dans une soirée, nous nous retrouvons dans mon appartement. Et là, les choses ne se passent pas comme prévu. Mélanie prend le contrôle des choses et se révèle être une femme dominatrice. Je me retrouve nu devant elle et attaché. Ensuite, elle me gifle et m’inflige des coups de cravache. Après, elle commence doucement à me masturber, diluant la douleur du feu qui embrase ma peau dans le plaisir de ses caresses. Puis, elle resserre la prise, étranglant mon membre, et le masturbe violemment, jusqu’à me faire mal. C’est extrêmement désagréable !  Je me mets à crier et je la supplie d’arrêter.  Soudain, la sonnette de mon appartement retentit. Elle m’ordonne d’aller ouvrir.

Je la regarde, lentement, paralysé. Comment ça, aller ouvrir ? Comme ça, à poil, les mains attachées dans le dos ? Mes yeux rencontrent les siens, et son rictus cruel s’est mué en un regard implacable, qui semble dire « Ose refuser, juste pour voir ». Pas besoin d’une quelconque menace avec des yeux pareils ; ils sont l’autorité même.

Nez à nez avec la voisine !

Une autre sonnerie me tire de leur contemplation. J’abdique, et me relève difficilement, attrapant du coin de l’œil le sourire satisfait de ma Maîtresse. J’avance jusque dans l’entrée. Je tords mes poignets pour attraper la poignée et j’ouvre la porte avec difficulté pour ne laisser passer que ma tête.

Je tombe, alors, nez à nez avec la voisine du dessous. Cette dernière n’a rien à voir physiquement avec la femme actuellement dans ma chambre, avec ses cheveux blonds un peu longs et ses quelques rondeurs. Cependant, elle reste plutôt belle et elle avait déjà attiré mon regard plusieurs fois. Sauf que là, je suis à poil et j’ai une ceinture autour du cou. De plus, chaque mouvement de mes poignets révèle le bruit des menottes qui me tiennent soumis. Heureusement, elle ne peut pas me voir totalement. Pourtant, à peine ma tête sortie, je la sens rougir affreusement et balbutier un peu avant de se reprendre :

-Heu… Excusez-moi, c’est juste qu’il est tard, et que…

Maîtresse Mélanie propose à la voisine de se joindre à nous !

Elle ne finit pas sa phrase. Je me prépare à répondre quand une voix venue de la chambre le fait à ma place :

-Ne vous inquiétez pas, il ne vous importunera plus, je vous promets !

On sent le ton railleur dans chacune des syllabes de ma Maîtresse.

Elle continue :

-D’ailleurs, voulez-vous vous joindre à nous ? Ce serait la moindre des choses pour vous avoir réveillé !

Écarlate ne serait pas suffisant pour décrire la coloration du visage de ma voisine à la suite de cette proposition. Elle bégaie, maladroitement, quelques mots avant de sortir un « non merci », à peine audible pour moi, avant de fermer la porte. Je retourne alors près du lit, au bord duquel Maîtresse Mélanie s’est assise. Elle me fait signe de la main d’approcher.

-Tu as des voisins bien conciliant, dis-moi ! On va donc être gentil et arrêter de les embêter, ta torture est finie pour aujourd’hui ! Maintenant, ce n’est que plaisir !

Elle saisit la ceinture qui me sert de collier improvisé et me tire vers elle, me collant la tête à sa poitrine. Elle enlève son haut, puis extrait de son soutien-gorge un de ses seins, dont j’avais tant rêvé, me collant la tête contre. L’ordre est clair, et je sors ma langue pour venir caresser l’objet de mes fantasmes, avec toute la ferveur et l’ardeur de mes désirs.

-C’est bien, mon chien !

Je l’entends gémir doucement, elle ne tente pas de s’en cacher.

-Lèche, et ferme ta gueule !

Et je le lèche de plus belle, prenant son sein en bouche pour l’honorer un peu plus. Je ne peux voir l’entièreté de son visage, ne voyant que ses lèvres enivrantes, qui laissent échapper des soupirs tandis que ses mains m’agrippent les cheveux avec une sauvagerie non dissimulé.

Prêt pour le meilleur orgasme de ma vie !

Elle dénude son autre sein et m’y ramène également, et c’est avec encore plus d’envie que je m’en occupe. Son bras droit se tend pour venir chercher mon sexe, qu’elle prend en main et commence à me masturber avec une lenteur appuyée, me gardant tendu à l’extrême. Et ce ballet s’éternise : elle finit par retirer totalement son soutien-gorge, me laissant masser de la langue, tandis qu’elle me rend un peu plus fou à chaque mouvement, brûlant d’envie d’elle et de jouir. Mes gémissements, au début réprimés, se font maintenant entendre, je suis en feu, je n’en peux plus, mais elle ne change rien. Je finis par craquer.

-Pitié, Maîtresse, je vous en supplie, je ferais tout ce que vous voulez, mais occupez-vous de moi !

Elle rouvre ses yeux, qu’elle avait fermé pour se concentrer sur son plaisir, et me regarde, comme un prédateur devant sa proie.

-Tu es bien exigeant, soumis… Heureusement qu’il ne s’agit que de ta première séance et que je vais donc être magnanime, sinon…

Elle ne finit pas, elle me regarde, à moitié dans ses pensées, comme si elle s’imaginait prenant son pied à m’infliger une punition magistrale.

-Désolé, Maîtresse !

Je baisse les yeux par réflexe.

-Ce n’est rien, pour cette fois du moins. Et puis, je t’avais dit qu’en m’obéissant, je récompenserai ta petite queue, et à ce que je vois, elle ne demande que ça.

Tirant mes cheveux, elle m’oblige à la regarder, ses lèvres hypnotiques prononçant des mots dont je me souviendrais à jamais :

-J’espère que tu es prêt pour le meilleur orgasme de ta vie !

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