LE FANTASME DU DRESSAGE PAR UNE CAVALIÈRE DOMINATRICE (7)

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cavalière dominatrice

La suite de l’apprentissage du trot

Cette cavalière dominatrice fit de nouveau claquer le fouet juste derrière mes fesses. J’avais l’impression d’être réellement un cheval qu’on dresse et à qui on apprend les allures. J’avais déjà vu au cours de séances d’équitation avec de vraies montures que les écuyères se contentaient généralement de faire claquer le fouet mais ne cinglaient par réellement leur monture, le bruit et la peur suffisant à se faire obéir. Le secret espoir qu’elle fasse de même fut de courte durée.
-Tu ne sais vraiment pas trotter cria-t-elle! Je vais t’aider. Regarde, à chaque coup que tu reçois sur les fesses, il faut que tu prennes appui sur ta jambe droite et que tu t’élances…
Joignant le geste à la parole, elle donna un grand coup sur mes fesses. De surprise, je criai de douleur.
-Elance toi, plus vite ! : s’écria-t-elle
Je m’élançai et tentai d’accélérer l’allure. Je reçus un second coup de fouet.
-Voilà, c’est comme cela. Tu me remercieras de ton dressage !
A chaque foulée, elle me donnait un coup de fouet sur les fesses et elle visait particulièrement bien. J’avais l’impression de courir pour échapper au fouet mais que j’étais sans cesse rattrapé. Ce jeu dura une dizaine de minutes mais il était vraiment exténuant. Elle faisait varier l’intensité des coups, alternant des caresses avec des coups relativement voire très violents.

L’apprentissage du galop

« Tu as progressé : dit-elle. Maintenant que tu commences à maîtriser le trot, je vais maintenant t’apprendre le galop. C’est une allure à trois temps. Tu prends appui sur ta jambe droite, puis tu fais deux pas, puis tu prends appui sur ta jambe gauche, puis tu fais deux pas. Jusqu’à présent, j’ai été très soft mais pour le galop, il faut que tu sois capable de te dépasser, de te donner entièrement. Ce sera beaucoup plus rapide. Je vais toujours te donner un coup de fouet lorsque tu dois prendre appui sur ta jambe, pour te guider.
Elle donna alors un coup très violent. De surprise, je m’élançai mais, encore avec l’habitude de l’allure précédente, je ne marquai qu’un seul temps au lieu des deux temps du galop. Elle brandit alors le fouet devant moi et donna un violent coup sur mon sexe. Je hurlai de douleur.
-A chaque fois que tu te trompes, ce sera le prix à payer. Les coups de fouet sur tes fesses pour marquer le rythme et sur ta verge pour te corriger. Il faut absolument que tu saches galoper correctement. C’est comme cela que je veux te monter lorsque tu seras assez endurant pour des ballades. Pour l’instant, il faut que tu te muscles. J’ai l’impression qu’il y a trop de nonchalance quand tu n’es pas assez fouetté.
Je m’efforçais de prendre appui à chaque fois qu’elle me fouettait. C’était beaucoup plus hard que pour le trot. Là, j’avais vraiment l’impression qu’elle fouettait de toute ses forces et la distance rendait les coups encore plus douloureux. Je n’osais m’imaginer l’état de mes fesses. Elle fouettait les blessures. Les stries devaient rendre mes fesses toutes violacées…

L’esclave remercie la cavalière pour son dressage

Au bout d’un moment, elle s’arrêta.
-C’est mieux : dit-elle, approche-toi et remercie-moi pour ma patience et le soin que j’apporte à ton éducation !
Je m’approchai au centre de l’enclos, toujours tenu par la longe. Avec le mors entre les lèvres, je ne pouvais rien dire. Je me mis à plat ventre devant elle en signe de respect. Elle mit sa botte droite sur ma tête et appuya pour me faire rentrer le visage dans le sable.
-Eh bien, tu aimes ce sable que je viens de fouler. Renifle l’odeur de mes bottes, emplis ta bouche de ce que ma semelle vient de toucher !
J’avais la bouche acre et le sable de l’enclos était peu appétissant. Pourtant, le désir de lui plaire me fit baiser et lécher ce sable plusieurs fois, à la pensée qu’elle venait de le fouler.
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