Le jeu d’école avec cette jeune dominatrice (3)

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jeune dominatrice

Prosterné devant cette jeune dominatrice

 

Je suis vraiment un animal. J’ai plié le genou droit, puis le gauche, et en posant mes mains au sol dans sa direction, le visage contre terre, je me suis prosterné devant la gagnante. Cette jeune dominatrice qui ne m’avait jamais inspiré que de l’amitié venait de réveiller chez moi un désir fou, associé désormais à un certain sentiment de soumission.

Triomphante, elle posa son pied sur ma tête et avoua :

– J’adore te voir comme cela. Tu me fais un peu d’effet, tu sais ? Mais surtout quand tu rampes. J’ai remarqué ce petit quelque chose en moi quand tu t’es une fois agenouillé en classe pour ramasser un crayon tombé de notre table. Pour tout te dire, j’en suis terriblement excitée et je n’ai pas peur de le dire à une carpette.

Je n’avais déjà plus de fierté, je me prosternai devant mon bourreau, cette jeune dominatrice. Je ne réagis pas à ses propos, une partie de moi acquiesçait même et voulait se trouver dans cette position. Mon état émotionnel était tellement chamboulé que je pouvais qu’obéir à Jana.

– Allez, la minute est finie, on reprend le jeu ! Question suivante : Comment s’appelait la sélection américaine de basket de l’époque de Michael Jordan ? Toi qui est bien sportif, tu dois savoir. Trop facile.

– La Dream Team, répondis-je avec un sourire.

 

Reprise du jeu

 

Elle avait repris le jeu très vite, de manière à ce qu’inconsciemment je reste à genoux devant elle, assise sur sa belle chaise de bureau en cuir.

– Quel est le nom du plus vieux crâne hominidé trouvé par des paléontologues ?

– Lucy ?

– Nope ! Perdu ! Dit-elle avec un grand sourire. Il s’agit de Toumaï, plus vieux de plus de 3 millions d’années. Inculte va. Une question partout.

Zut, je pensais vraiment l’avoir celle-là.

– Pourquoi Les Fleurs Du Mal ont-elles été censurées à la sortie du recueil ?

– Pour outrage à la pudeur.

– Correct. 2 à 1.

 

Cette jeune dominatrice est une excellente joueuse !

 

Aucune joie ne venait de mes réussites systématiquement. Il semblait que les cartes vertes ne lui convenaient pas autant que les autres. Je sentais toute son excitation de là où je me trouvais.

– La nationalité de Salvador Dali ?

– Espagnole. Tu me dois un vêtement ! Dis-je tout satisfait.

– Je suis bonne joueuse, me répondit-elle en tirant l’une de ses chaussettes de soie. Satisfait ?

– Pas vraiment…

– Il faudra pourtant, parce qu’on reprend ! Où a été enterré Victor Hugo ?

– Au Panthéon.

– Correct. De traduction latine, quelle est la signification exacte des trois lettres « ETC » ?

– Et tout ce qui s’en suit ?

– Non, « et tous les autres ». Perdu ! Un partout. Le principal producteur de châtaignes dans le monde ?

– La Chine !

 

A vos ordres Maîtresse !

 

Ne me demandez pas où j’ai appris cela, je ne saurai pas vous répondre. Le tout est que la réponse était juste et fit maugréer ma camarade, cette jeune dominatrice.

– Combien de Pays compte l’Europe selon les géographes ?

– 28 ?

– 49 ! Une carte verte !

Je pestai intérieurement. A une carte près, je lui ôtais la seconde chaussette. Cela ne paraissait pas un grand exploit, mais c’était une porte pour la suite.

– Carte verte : Tu dois m’appeler « maîtresse » pour les dix prochains tours ! En fait, je l’aime bien celle-là, me dit-elle toute joyeuse.

Pris par le jeu, je répondis d’un ton faussement ironique :

– A vos ordres, maîtresse.

Elle s’en réjouit et poursuivit le jeu. J’eus encore de la chance les deux tours suivants où je ne tirai que des cartes vertes. Je dus successivement lui baiser les pieds pendant trente secondes, puis enlever mon tee-shirt pour le reste de la partie.

Je parvins ensuite à aligner trois bonnes réponses et obtins la perte de sa deuxième chaussette. Pour l’avoir bien observée, l’étape suivante serait sûrement le tee-shirt, vu qu’elle ne portait aucun autre vêtement superflu. Toutefois, je manquai de chance, ou de culture pour le tour suivant. Alors que le score était d’un point pour chaque côté, elle me posa la question suivante :

– Qui a inventé le « zéro » ?

 

Premier gage !

 

Sûr de moi, je répondis « les égyptiens », en lien avec toute la numérotation arabe qui fonctionnait de pair.

– Perdu, les Babyloniens ! Chouette, une carte bleue ! On monte le niveau !

Aïe. Je commençai à paniquer. Les défis jusqu’à présents n’avaient rien d’un simple jeu d’école, et son plaisir de jeune dominatrice commençait à prendre le pas.

– Ouh ! Une de mes préférées ! Lève-toi, m’ordonna-t-elle.

Je jouais son jeu, un peu excité malgré tout par ce qu’elle avait prévu. Elle m’expliqua alors :

– Tu vas écarter les jambes et fermer les yeux. Quand je serai sûr que tu ne t’y attends pas, je vais te mettre un bon coup de pied dans les couilles. Tu vas ensuite me baiser le pied assassin en remerciant la déesse que je suis de t’avoir mis à genou de cette manière.

 

Apeuré mais très servile !

 

En entendant le gage, je n’étais plus du tout excité. Pour tout dire, j’avais même bien peur. D’un instinct devenu servile cependant, je m’exécutai sans rien dire, aussi brave que possible devant la sentence. Elle me dit alors que je fermais les yeux :

– Pour être sûr que tu ne te concentres pas sur le mouvement de mes pieds, on va continuer les questions pour le tour d’après : En quelle année a été signé l’Edit de Nantes ?

– euh… 1603 ?

Une très vive douleur m’assaillit alors le bas ventre et me fit tomber à genoux devant mon agresseur.

– Perdu ! Lança-t-elle triomphante ! 1598 ! Allez, rampe mon toutou. Viens baiser le pied qui t’a massacré.

Très difficilement, je rampais effectivement jusque son pied qu’elle avait tendu en avant, telle une reine méprisante pour que j’y pose mes lèvres en lâchant un « merci maîtresse » étouffé par la douleur.

Aujourd’hui encore, je n’éprouve absolument aucun plaisir pour le ballbusting, mais la plupart des dominatrices que j’ai rencontrées apprécient particulièrement cette pratique, sans doute en réprobation de la dominance trop masculine de la société encore aujourd’hui. Une manière de se venger peut-être, enfin je n’en sais rien, moi je suis juste celui qui rampe.

– Deuxième question ! En quelle année le Titanic a-t-il sombré ?

 

Poursuite du jeu malgré la douleur !

 

J’étais encore prosterné et je peinai à reprendre mon souffle. Jana ne perdait pas de temps et j’en payais la facture. A croire que cette jeune dominatrice souhaitait une question rouge au plus vite.

– 1912, dis-je plus savant que je ne me l’étais jamais deviné.

Elle enchaîna immédiatement, profitant de mon mal-être :

– Dans quelle ville le général De Gaulle a dit au cours d’un discours « Je vous ai compris » ?

– Alger.

– Bonne réponse. Ne fanfaronne pas (comme si je le pouvais), voilà la question fatidique : Cite au moins quatre des sept merveilles de Rome.

– Le Colisée, Le Cirque Maxime, la Colonne Trajane, l’Obélisque.

Sans être grand historien, l’histoire de Rome m’a toujours intéressé. Je remportai donc la manche, au prix d’un terrible mal au bas-ventre. Ronchonne, elle choisit d’enlever le jean plutôt que le tee-shirt, croyant me frustrer.

Les questions se poursuivirent ensuite. Je tirai à nouveau une verte le tour suivant, où je dus lui écrire un poème en moins de deux minutes pour vanter son indescriptible supériorité. Si j’échouais à la satisfaire, elle remettait son jean. C’était heureusement un de mes atouts, et je pus lui décocher, par soumission, un sourire. J’eus moins de chance toutefois avec la carte suivante qui fut bleue à nouveau.

– Allonge-toi par terre sur le dos, ordonna-t-elle.

 

Nouvelles règles imposées par cette jeune dominatrice

 

Je m’exécutai rapidement, à nouveau excité par la tournure des événements et ses magnifiques jambes dévoilées. Celles-ci m’entourèrent, puis les genoux se plièrent et cette jeune dominatrice s’assit littéralement sur mon visage, me coupant la respiration.

– Si tu savais comme j’ai espéré ce moment en créant ces cartes. Je suis bien contente d’avoir enlevée mon jean du coup. Tu sens sur ta bouche à quelle point ma culotte est mouillée ? J’espère bien, c’est terriblement érotique pour moi. Laisse-moi profiter un instant.

Elle se tut alors pendant plusieurs secondes, pendant que je commençais à me démener pour respirer. Rien à faire cependant, ses genoux avaient immobilisé mes bras, à l’époque trop faibles, et sa position maintenait parfaitement mon nez entre ses deux fesses et ma bouche sous son vagin. La culotte, d’un tissu fin, ne protégeait pas grand-chose de toute l’humidité de son plaisir qui empêchait l’air de circuler jusqu’à mes voies respiratoires. Elle se releva alors soudainement, écrasant mes bras sous ses genoux.

– Cela te dérange si on continue comme cela pour la suite ? Moi je suis très bien, c’est ce qui compte non ? Tu respireras à chaque fois que tu devras répondre à une question.

 

Enfin une carte rouge !

 

Je n’eus pas le loisir de répondre. A peine eut-elle achevé sa phrase, que ses fesses me coupèrent à nouveau les sens.

– Je vois d’ailleurs à ton érection là-bas que cela ne te déplait pas tant que cela d’être mon jouet.

En effet, j’étais plus excité que jamais je ne l’avais été dans mes jeunes années encore. Je profitai énormément de ce moment, même si je pouvais en mourir d’asphyxie. Malgré ma position je répondis juste à trois questions d’un coup et obtins la perte de son tee-shirt. Effort vain, elle ne se releva pas et je ne pus rien voir.

Ma chance tourna à la suite de cette déconvenue et je perdis deux fois de suite.

– Enfin ! Enfin une carte rouge, cria-t-elle au comble de l’excitation. Cette fois, Valentin, tu vas devoir dépasser tes limites !

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11 réflexions au sujet de “Le jeu d’école avec cette jeune dominatrice (3)”

    • « Je dus lui écrire un poème vantant son indéniable supériorité » aucun doute que cet exercice devait te sembler facile vue ta plume.
      J’ai également explosé à la parenthèse sur le ballbusting. « J’en sais rien moi je veux juste ramper laissez moi tranquille »
      J’attends toujours la suite de l’histoire avec Marie mais celle-ci est intéressante et me rappelle mes années lycées (qui pourtant ne sont pas si loins que ça).

    • Waw si le Ballbusting n’etait qu’une bleue je me demande ce que réserve les cartes rouges.En tout cas bravo j’adore cette histoire et j’ai hâte de decouvrir la suite 🙂

  1. J’ai adoré ta phrase: « … Je n’en sais rien, moi je suis juste celui qui rampe »

    Vite la suite !

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