Les jeunes dominatrices et leur soubrette mâle (23)

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Je n’en pouvais plus de cette attente. Il s’agissait d’une forme de torture, comme le supplice de la goutte d’eau, lancinante! En fait, je voulais une bonne fois pour toute savoir de quelle façon j’allais être livré en pâture au grand public. Cependant, nul doute que cette lenteur savamment entretenue par ces jeunes dominatrices, faisait partie du jeu.

Maîtresse Camille, au lieu d’exaucer mon voeu, fit un signe à Maîtresse Nadia. Elle lui chuchota à l’oreille quelques mots.  Ensuite, Maîtresse Nadia quitta les lieux promptement.

Je n’étais donc toujours pas plus avancé sur mon sort. Maîtresse Camille ne semblait pas décidée à m’éclairer. Tout était suspendu dans l’attente du retour de Maîtresse Nadia, qui je l’espérais, ne se ferait pas trop attendre.

D’ailleurs les deux autres Maîtresses avaient l’air d’être toutes aussi impatientes, mais pour des raisons opposées aux miennes. L’excitation perceptible de ces jeunes dominatrices ne préfigurait rien de bon pour moi.

Nouvelle sanction pour la soubrette

jeunes dominatrices

 

 

Maîtresse Camille se rendit compte de mon inquiétude et l’interpréta comme un manque d’enthousiasme coupable, ce qui me valut une nouvelle sanction :

  • ça ne te plaît pas d’avoir cette chance qu’on te donne d’être admirée par le grand public dans ta superbe tenue?
    Très bien, pour te rendre service, je vais te demander, dès que tu auras mis le nez hors de chez toi, de bien vouloir formuler respectueusement à la première demoiselle circulant sur le trottoir, ton désir d’être prise en photo. Ainsi tu seras rassurée sur tes succès futurs.

Maîtresse Jessica, approuva, et enchérit:

  • excellent, mais il faut les clichés des deux côtés, qu’on voit bien qu’elle est punie.

 

  • Bien sûr, précisa Maîtresse Camille, et je vais t’observer de la fenêtre, pas question que tu te dérobes à ton devoir.
    N’est ce pas une bonne entrée en matière ? Les jeunes filles se battront presque pour capter sur leur écran, un spectacle inoubliable. Tu n’auras aucune difficulté à obtenir leur consentement spontané et immédiat, leur smartphone à la main, prompt à se déclencher à la première occasion. Mais ne faillis pas dans ta mission, il faudra, en guise de remerciement, effectuer la révérence de rigueur devant la demoiselle qui t’aura fait honneur.

Maîtresse Anaïs salua à son tour cette idée. Pour marquer sa satisfaction, elle me mit sa cravache dans la bouche, après m’avoir ordonné de l’embrasser. Ensuite, elle me fit faire le tour de la pièce en position accroupie, position très inconfortable, tout en imposant une posture correcte.

Le plan machiavélique enfin dévoilé!

Maîtresse Camille, pendant ce temps rassemblait tout le nécessaire pour la tenue que j’allais porter pour mon épreuve.
Je n’arrivais pas, malgré l’imminence de l’évènement, à m’imaginer, devoir déambuler, ainsi, dans les rues autour de mon immeuble. J’en avais des palpitations incontrôlables.

Enfin, j’entendis des bruits de pas dans l’escalier, ce qui signifiait que Maîtresse Nadia était de retour. Elle se contenta d’un petit signe de connivence en direction de Maîtresse Camille. Maîtresse Anaïs m’obligea à me relever et à me positionner devant la Maîtresse, exécutrice des hautes oeuvres, désormais prête, à dévoiler, les règles de son jeu.

J’eus quand même droit à une paire de gifles de sa part, bien senties, avec un rappel à l’ordre:

  • baisse les yeux devant ta Maîtresse!

Puis:

  • écoute moi bien, delphine! Tu dois scrupuleusement suivre toutes mes instructions. Il y a à proximité de chez toi une laverie automatique publique, que tu connais, bien sûr. Nadia est allée vérifier qu’elle était ouverte, et surtout qu’elle était occupée par plusieurs femmes à qui donc tu tiendras compagnie, pendant que tu attendras que le linge soit lavé. Tu pourras occuper agréablement ton temps, en écrivant en punition : » je dois apprendre à obéir à mes Maîtresses, je mérite d’être punie « . Comme j’ai un goût prononcé pour les oeuvres d’art colorées, ainsi que le travail méticuleux, tu enjoliveras ton texte en utilisant le rouge pour les voyelles et le noir pour les consonnes. Sois soigneuse, la moindre erreur coûte cher! Il faudra l’écrire en lettres suffisamment grosses pour que tes compagnes de salle puissent apprécier la situation dans toute sa splendeur.

Les jeunes dominatrices en admiration devant Maîtresse Camille!

Maîtresse Camille donnait là toute sa mesure dans le sadisme prononcé.

Elle ajouta:

  • Tu devras répondre à toutes les questions que ces dames pourraient te poser, pour satisfaire leur curiosité, je dis bien toutes, et gare à toi, si tu désobéis, comme je t’ai dit, toute désobéissance débouche sur une humiliation toujours plus poussée. J’ai des tonnes de scenari cocasses.
    Nadia a déjà choisi ce qu’il faut pour remplir ton panier de linge, que des vêtements de fille, évidemment, qu’il faudra bien exhiber à la vue des spectatrices.
    Tu n’es pas autorisé à quitter la salle, avant qu’on te le permette. De toute façon, il y a assez de linge pour justifier une présence durable .
    Tu en sais assez pour le moment. Tu as ton portable pour que tu répondes à un appel de notre part. En effet, nous pouvons te donner des ordres à tout moment, et tu devras nous répondre à voix haute bien intelligible, comme il se doit pour une soubrette au service de ses Maîtresses.
    On doit t’entendre dire, chaque fois qu’il conviendra  » oui Maîtresse, bien Maîtresse, à vos ordres Maîtresse  » et il serait de bon ton de le faire avec la voix la plus féminine possible.
    Bien entendu, tu dois faire la révérence en entrant dans la salle. De plus à chaque fois qu’on te posera une question, tu devras agir de même. Il faut que tu montres que tu es une soubrette bien éduquée, obéissant aux ordres de ses Maîtresses.

Les autres jeunes dominatrices buvaient ses paroles sans dissimuler leur jouissance, admirative devant le savoir faire d’humiliatrice de leur amie. Elle avait une imagination féconde et raffinée pour inventer en permanence de nouvelles sources de délicieuses humiliations.

 

Piège savamment orchestré par ces jeunes dominatrices!

Ayant terminé, Maîtresse Camille, congédia sa servante soubrette après avoir donné ses ordres, et dit sèchement :

  • allez delphine, file te préparer! Tu dois mettre les tenues que Maîtresse Nadia a préparées pour toi! Dépêche-toi, il ne faut pas faire attendre ces dames à la laverie !

J’ étais déjà bien mal en point, mais ces dernières paroles furent le coup de massue. En effet, je réalisais à quel point le piège avait été savamment orchestré, ainsi  » ces dames m’attendaient? »

Cela suggérait que le passage de Maîtresse Nadia n’était pas qu’une simple mission de reconnaissance sur l’ouverture de la salle. En effet, elle avait dû en profiter pour mettre dans la confidence ses occupantes et les informer assez pour que mon humiliation soit portée à son paroxysme. Ainsi, je pense que je vais avoir le droit, dès mon arrivée, à un comité d’accueil assez peu discret.
Je comprenais alors tout le sens de l’expression « humiliation publique » que Maîtresse Camille voulait me faire vivre avec un esprit machiavélique qui me submergeait et me laissait aucune porte de sortie.

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