Maîtresses dominatrices, nuit des démons (1)

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Maîtresses dominatricesLa chasse

 

Minuit, nuit des démons, clair de lune voilé par des bancs de nuages menaçants, éclairs et orage au loin. Me voilà donc dans cette forêt, une cible parmi d’autres attachée à un arbre, poignets liés et suspendu à ce chêne centenaire. J’étais nu, et j’entendais des chevaux au loin, course d’orientation particulière, où les balises étaient des soumis ou soumises et les cavalières, des Amazones farouches et guerrières.

Toute tentative d’évasion était inutile. De plus, l’esclave, voulant fuir, risquait immédiatement la peine de mort dans d’atroces souffrances. La douleur était déjà omniprésente, et infligée en fonction des envies et désirs, de nos Maîtresses dominatrices. Alors pourquoi rajouter le risque de mort ? N’était ce point notre choix, le fait d’être soumis aux femmes ? Était ce le dernier soubresauts de survie existentiel ? Suivant les envies des belles, les soumis-balises pouvaient être emmenés, à la grande chefferie pour tout jeu pervers, soit sur place, soit vers un lieu de jeux autre que la zone d’attente de l’esclave. Il pouvait s’agir de chasses à court, de jeux BDSM, tout était possible avec les Maîtresses dominatrices.
Halloween fêté avec violence et réussite…

 

Victoire pour les cavalières dominatrices

 

J’étais donc nu, yeux bandés, attaché par les poignets à de solides bracelets de cuir et suspendu avec une corde et mousqueton. J’entendis se rapprocher un homme au pas de course qui passa devant moi puis un rapide sifflement et un poids mort tomber sans un cri.

Ensuite, des chevaux arrivèrent, haletants puis des cavalières poussèrent un cri de victoire:

-Séverine, emmène ce corps à la clairière et rejoins-nous au donjon séculaire ! Une sous merde de perdu et voilà que nous tombons sur cette recrue toute fraîche.

-Bien, princesse Marianne, j’y vais de ce pas, laissez-m’en un peu de cette chose.

J’entendis les éclats de rire de la troupe. Ensuite, je fus détaché et mes yeux libérés. Ainsi, je pus voir avec horreur un corps au sol, transpercé de deux flèches, une dans la nuque et l’autre dans le dos. Maîtresse Séverine, une jeune dominatrice de niveau 2 était en apprentissage mais ce coup de flèche à ses couleurs dans la nuque lui permettrait de monter rapidement en grade. Princesse Marianne avait touché l’esclave dans le dos et était enchantée de trouver une partenaire de chasse digne de ce nom.

 

Récompenses pour les cavalières dominatrices !

 

La princesse partit avec moi accroché à l’arrière du cheval courant pour tenir le rythme imposé et Séverine emmena le corps aux catacombes. Nous arrivâmes au donjon. Je fus nettoyé avant de me présenter devant la cour pour servir ces dames dans leurs plus beaux apparats après moult bains et parfums. Elles mangèrent avec appétit, puis encadrées de leurs soumis, elles commencèrent à jouer. Princesse Marianne vit arriver Séverine et la rejoignit, m’ordonnant de les suivre à quatre pattes à distance.

Séverine se déshabilla devant la princesse, dévoilant un corps féminin, cuisses musclées, abdomen bien formé, des muscles des bras saillants et une poitrine volumineuse. Ses longs cheveux noirs tombaient sur ses épaules. Ses fesses bien marquées bougeaient délicieusement lorsqu’elle marchait. La princesse toucha ce corps et se laissa aller à rêver. Elle m’ordonna de laver, Maîtresse Séverine devant elle. Je la lavai donc longuement en baissant bien les yeux, en la mouillant et en la savonnant. Cependant, le fait de toucher ce corps brûlant m’excita terriblement. Maîtresse Séverine me gifla en m’ordonna de calmer mes ardeurs puis elle me fit mettre à genoux devant elle.

-Occupe toi donc de mes pieds ! Puis tu les masseras longuement dans le petit salon.

-Venez ma Princesse ! dit-elle à Marianne.

Elles se caressèrent entre elles. Marianne était aux anges avec sa nouvelle amie, Diane chasseresse.

 

Massage et soin des pieds pour les cavalières dominatrices

 

La douche terminée, je les attendis devant le canapé à genoux et elles s’asseyèrent. Séverine me tendit son pied droit que je me mis à masser puis son gauche vint à ma bouche.

-suce mes orteils mon petit chien, hum oui c’est bien. Continue ton travail, et fait de même à notre princesse Marianne.

Je m’appliquais et je sentais le pied de princesse Marianne me caresser mon sexe qui se dressait. Elle rit de la situation puis elle me donna un coup de pied dans mes couilles. Je m’effondrai de douleur.

-Continue ma salope, ma chienne !

Je me relevai vite, je léchai et suçai chaque orteil avant de lécher leurs chevilles et de revenir sur leurs jolis pieds.
Je les voyais se caresser, s’embrasser, leurs tétons dressés, leurs seins tendus de plaisir et leurs deux sexes humides de désir.
Puis, Marianne et Séverine me voyant, le sexe de nouveau dressé, rigolèrent :

-Intenable, notre petite chienne, allez tu vas prendre une bonne leçon et tu vas t’en souvenir.

 

Punition pour la petite chienne !

 

Séverine tira sur la laisse et me mit à califourchon sur le banc avec la selle spéciale présentant ainsi mes fesses offertes, relevées et écartées. Mes chevilles étaient prestement attachées aux pieds, ma tête accrochée avec mon collier à un anneau et mes poignets menottés. Mon sexe, quant à lui pendait dans le vide, l’excitation retombant. Je vis Maîtresse Séverine équiper la Princesse d’un gode ceinture et inversement pareil pour Séverine. Princesse Marianne se mit derrière moi et Séverine devant.

-Suce le gode, esclave, vas y ! Je veux te voir très chienne. Allez ma salope !

Ainsi, princesse Marianne me lubrifia l’anus avec un liquide froid et m’enfila un doigt, puis deux et trois en effectuant des va et vient puis des cercles. Je prenais plaisir à la situation et suçais le gode de Séverine. Marianne m’enfila cm par cm et Séverine prit possession de ma bouche. Princesse Marianne se mit à défoncer mon anus comme une folle à grand coup de hanche et Séverine m’étouffa presque avec le gode. Je pleurai et j’eus des hauts le cœur mais j’étais possédé par deux Maîtresses dominatrices en furie et mon sexe tendu répondait à leurs attentes.

Je les entendais gémir de plaisir et de perversité et puis elles se mirent à jouir en criant longuement, feulement, alors que mon sexe déchargeait sa semence non par plaisir mais du fait des coups de gode dans mon cul. Princesse Marianne le récupéra dans sa main et en badigeonna les godemichés de mes Maîtresses dominatrices avant de me sodomiser de nouveau et de m’obliger à une fellation du gode de Séverine avec mon propre sperme. Je détestais ça, elles le savaient mais j’y étais obligé. Elles me laissèrent ainsi, pantelant, les jambes tremblantes, l’anus ouvert et coulant de traces de sperme, ma bouche souillée.

 

Tentations pour la petite chienne !

 

Elles appelèrent une jeune femme dévouée à leur cause mais soumise, non dominatrice, enfin pas encore.
De jeunes femmes étaient piégées et enlevées pour le service de ses Maîtresses dominatrices car toutes ne l’étaient pas.
Une jeune  femme vint me détacher et m’accompagna dans les chambres sous les toits pour la fin de nuit afin que je puisse dormir un peu. Elle était habillée d’un peignoir blanc nacré laissant dévoiler son corps nubile. Elle m’installa sous la douche, me frottant et rinçant avant de me sécher. J’entraperçus Séverine derrière puis plus rien.

Était ce un piège pour voir comment je réagirais face à ce joli et jeune corps appartenant à Princesse Marianne ? Une récompense ? Je n’osais la toucher alors qu’elle me séchait mais mon sexe était dressé de désir. Elle avait les yeux baissés, ce joli regard noisette, un joli petit nez, une bouche pulpeuse et quand elle me sécha le sexe, elle me fixa et vit mon regard trouble et dans le doute.

Ensuite, elle accentua sa pression sur ma queue et commença à la caresser, à la branler avant de m’obliger à m’asseoir sur la chaise en bois massif. Elle me laissa ainsi et m’attachant les poignets en arrière et les chevilles aux pieds de chaise revint devant moi, faisant glisser son peignoir et dévoilant ses courbes adolescentes avant de venir à califourchon sur mes cuisses. Elle leva son sexe près de ma bouche avant de se coller contre mon visage.

 

Examen de passage réussi pour la jeune dominatrice !

 

Je sentais cette douce vague de plaisir m’envahir, ce parfum enivrant, mes yeux mi-clos embrumés par le désir mais la réalité fut toute autre… Son sexe se frottant au mien sans pénétration me rendait fou d’envie bestiale et frustré par la situation, ses petits seins proches de ma bouche et sa moiteur envahissante jamais au plaisir atteignable.

Je devenais fou et quand j’ouvris les yeux, la demoiselle était possédée par Maîtresse Séverine collée contre elle, son regard plongé vers moi et son gode ceinture plantée en cette adolescente nubile possédée par le plaisir dominateur Amazone. Je ressentais les coups de hanche de Séverine en elle et elles jouirent dans un feulement délicieux ensemble.

Mon sexe déchargeait sa semence sur le ventre et les cuisses de cette jeune et belle future déesse qui réussit son examen de passage de dominatrice avant de se lever et de m’obliger à lécher mes propres salissures sur ce corps de Vénus anadyomène. Si elle avait cédé à ses propres tentations, cette jeune nouvelle dominatrice ne le serai jamais devenu. Elle aurait été au mieux un jouet pour les autres amazones, voir une soumise porteuse avant une mort probable suivant le bon vouloir de Maîtresse Diamant, la reine suprême.
Le lendemain, j’étais promené en laisse de sexe, poignets menottés dans le dos avec Maîtresse Séverine et cette jeune dominatrice surnommée Felina.

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3 réflexions au sujet de “Maîtresses dominatrices, nuit des démons (1)”

  1. J’attends la suite, j’espère que tu raconteras notre histoire Sebastien, j’atends avec impatience et que tu reviennes à mes pieds, mon chien.

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