Perséverer pour faire plaisir à ma Maîtresse !

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ma MaîtresseLe gros gode noir !

-Je ne sais vraiment pas Madame, ma Maîtresse, si cela peut y entrer ! Je ne pense pas que la taille me convienne !

Il avait écarquillé les yeux lorsqu’elle l’avait extrait du sac en plastique opaque. Le fabricant était renommé pour la fiabilité, la durabilité et l’éthique de tous ses produits….et leur réalisme.

Ma Maîtresse avait acheté ce gros gode noir en tout impunité, et avait même longuement échangé avec le vendeur du sex shop sur les bienfaits du sexe anal. Découpant scrupuleusement la partie en pointillé du plastique transparent entourant l’objet de sa convoitise, avec une paire de ciseaux elle éprouvait quelques difficultés compte tenu de la dureté de l’emballage.

-Je me permet de vous conseiller le cutter Madame : fit-il timidement.

-Tais toi! : répliqua-t’elle sèchement.

Les bords du plastique semblaient céder sous la pression exercée avec les ciseaux et leur pointe libéra soudain l’extrémité du gland turgescent. En insistant encore, elle dégagea le reste du plastique. Ainsi, elle finit par libérer la tige épaisse et lourde de silicone, lequel une fois tombée sur la table sembla ployer sous son propre poids, comme agitée de soubresauts nerveux.

Il contempla l’objet – l’engin – exposé devant lui et avait toujours du mal à imaginer qu’il  puisse pénétrer en lui.

-Je ne pense pas que ce soit une très bonne idée Madame !

-c’était en solde ! : répliqua-t’elle ironiquement, en passant nerveusement, sa langue sur ses lèvres maquillées d’un rouge intense gourmand.

-et il était à combien Madame ?

-50 euros, 60 à l’origine..!

Ma Maîtresse paraissait satisfaite de sa trouvaille quoiqu’un peu sur la défensive.

-Je considère cela comme un objectif pour toi. Cela dit, il est à peine plus gros que la circonférence de mon poing !

Il haussa machinalement les épaules.

-c’est vous la boss !
-Ne l’oublie surtout jamais : renchérit-elle !

La double canne !

Et elle essaya vraiment l’engin sur lui ce week-end là. Elle dut, cependant se rendre à l’évidence. Il coinçait à l’endroit le plus large.
N’étant pas de nature à se laisser envahir par le doute, elle lui laissa un break durant lequel l’objet retourna dans un sac zippé en soie noire.

Ils jouèrent autrement. Elle le baisa, le fista et l’encula pendant les quelques semaines qui suivirent. Juste la routine d’un couple quoi ! Et puis un jour, elle décida qu’il était à nouveau temps.
Elle avait fait une autre acquisition dans le même sex shop,  une double canne, qu’il aimait craindre, tant elle faisait mal mais précédait parfois aussi un moment de plaisir intense, s’il se montrait à nouveau obéissant et serviable.

Engagé dans une séance de fourrage intensif, il s’exclama :

-Je n’en peux plus Madame, j’ai mal, si mal !

-veux-tu t’asseoir peut être ?

-oui : fit-il d’une voix éreintée.

-ok, mais tu devras patienter une minute entière avant !

Elle aimait soumettre sans condition.

-Je compte les coups pour toi si tu veux : reprit-elle en brandissant la canne en l’air.

Il suffoquait presque lorsqu’elle s’interrompit, canne à la main, encore levée et prête à retomber sur un endroit sensible. Elle connaissait parfaitement ses points faibles désormais.

-Maintenant viens par ici, petite chose !

Essai de nouveau avec le gode !

Elle lui désigna du doigt un tabouret revêtu d’une couverture de soie rouge, qui semblait masquer un objet, comme un petite statue.
Elle dévoila d’un geste ample l’objet masqué.
Il reconnut instantanément le gode, devenu plug ornant verticalement le dessus du siège, arrimé qu’il était sur le dessus du tabouret et qui paraissait pointer vers les étoiles de toute sa vigueur

-OOHH non Madame pas ça !

Elle avait déjà en main le gel lubrifiant.

La quantité à laquelle tu auras droit dépendra de la volonté que tu as de t’empaler sur lui ! : fit-elle avec un soupçon de vice dans l’énoncé de cette perspective qui la réjouissait à l’avance.

-oui oh oui Madame !

Il saisit le tube qu’elle lui tendait, s’assurant qu’il en mettait autant qu’il pouvait et enduisait savamment le plug, pensant apaiser sa souffrance et l’idée de s’empaler sur cet objet si disproportionné à ses yeux.

La première sensation était que l’objet entrant en lui, l’ouvrait littéralement..comme un pied qui vient s’insérer dans une porte entrebâillée, avec en même temps une sensation de plaisir qui naissait au fond de lui. La gravité alliée à ses propres efforts firent pénétrer l’engin plus profond en lui. Malgré la lubrification intensive, de petites larmes de douleurs perlaient au coin de ses paupières.

Souffrir pour ma Maîtresse !

C’était, il s’en rappelait encore, plus aisé que la première fois mais encore une fois, la partie la plus large, bloquait à l’entrée de son fondement. Il suffoquait même un peu déjà.

Elle ordonna sèchement:

-et maintenant, je veux ce cul assis sur le tabouret, maintenant !

Un regard sadique et pénétrant s’afficha sur son visage.

-Mais Madame ! : murmura-t’il.

-Je sais que tu peux y arriver petite chose. Je sais que tu peux prendre de bien plus grosses… petite trainée!

-Madameeeee !

Il hurlait presque à mesure que les centimètres étaient en voie d’être conquis au prix d’une souffrance intense. Ce point le plus large était en passe d’être franchi, le remplissant incroyablement dans tout sa largeur

-Madame ! : sanglotait il.

-ca fait un peu mal?” c’est bien alors….mon petit !

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