Révélation de mon âme d’homme soumis (3)

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– Il est tout mignon, ce petit homme soumis! : dit Madame Isabelle.

Je levai les yeux et effectivement c’était la femme que j’avais croisée en sortant de chez Madame Catherine la première fois, en pensant que c’était une voisine.

– oui et on va pouvoir le dresser à notre convenance, comme on le souhaite, car il débute dans la soumission. Il n’a donc pas de mauvaises habitudes de ce côté là. Mais on a du travail par contre pour refaire son éducation.

-Aller la petite larve embrasse les pieds de Madame Isabelle comme si c’était les miens. Madame Isabelle est pour toi, tout ce que  je suis, ta dominatrice. On vit ensemble depuis 5 ans et nous avons la même philosophie de vie. Tu devras donc te plier à nos envies à toutes les deux et ne t’inquiète pas, petit homme soumis, tu es entre de bonnes mains.

– Bien reviens à 4 pattes t’agenouiller devant moi! Maintenant que les présentations ont été faites, dit Madame Catherine, tu vas m’expliquer pourquoi tu as lâché mes pieds brutalement tout à l’heure sale petit chien ?

Un « heuuuu », sortit tout doucement de ma bouche!

 

Magistrale paire de claques pour l’homme soumis!

 

homme soumis

 

Je reçus, immédiatement, une magistrale paire de claques en pleine figure.

Surpris, je faillis me coucher sur le côté. Je sentis une chaleur monter sur mon visage, et plus précisément sur mes joues. J’étais tout honteux d’avoir pris ces claques devant Madame Isabelle. Et d’ailleurs, elle dût s’en rendre compte car elle partit dans un grand éclat de rire.

– Regarde Catherine, ça le fait bander encore plus fort, dit Madame Isabelle en s’esclaffant de rire de plus belle.

– cela doit être la seule chose que cet homme soumis sait faire, car pour le reste, on va vraiment avoir du boulot Isabelle. Mais heureusement que l’on est deux, il va pouvoir souffrir doublement cette sale chienne. On va lui faire voir de quel bois on se chauffe, et tout de suite. En effet, après ces 4 ou 5 erreurs dans une seule et même journée, il va nous falloir pour lui apprendre les bonnes manières. Allez à 4 pattes au milieu du salon salle petite chienne et écarte bien les jambes! Je vais chercher le matériel.

Madame Catherine s’en alla puis elle revint quelques minutes après, les bras chargés. Elle commença par déposer un martinet sur le canapé, puis voyant que je l’observai :

– baisse la tête et mets la entre tes deux bras, sale chienne!

 

…Puis le martinet !

 

Puis Madame Isabelle eut le temps de me mettre une de ses claques dont elle a le secret avant que j’obéisse. Je la sentis passer.

– Aide moi Isabelle, on va lui mettre cela. Au moins, il bougera moins, et comme il semble curieux on va lui mettre la cagoule.

Madame Isabelle s’occupa donc de me mettre des sangles aux chevilles. J’appris par la suite que c’était une barre d’écartement qu’elle m’avait installée. Je ne pouvais effectivement plus resserrer mes jambes. Puis Madame Catherine me gifla à plusieurs reprises. Cela me faisait mal, et je tentai tant bien que mal de résister à crier. Puis d’un seul coup, je sentis s’abattre sur mes fesses comme un coup de martinet. Un coup, deux, trois j’essayais de les compter, mais cela devenait très difficile, car les coups devenaient de plus en plus forts. Puis Madame Catherine dit à Isabelle :

– Attends j’arrive. Ce sera plus agréable pour notre petite chienne, si on alterne les coups toutes les deux.

Et elles partirent dans un fou rire toutes les deux. Et à partir de ce moment là, elles alternèrent coups de fouet et coups de paddle. Chacune à des endroits différents, mais elles revenaient , régulièrement, sur mes fesses. Leurs coups étaient de plus en plus forts, mais avec une certaine agilité de leur poignet. Les coups pleuvaient avec une force de plus en plus vive.

Je commençais à gémir, et cela énerva Madame Catherine. Elle m’enfonça donc ce que je supposais être un gode dans la bouche.

– Arrête de te plaindre et pleure en silence, quand tu as fais tes erreurs, je ne me suis pas plainte il me semble.

 

Malgré la douleur, quel bonheur d’être un homme soumis!

 

Les larmes coulaient le long de mes joues, tellement la douleur était de plus en plus intense. Mes fesses et mes cuisses devaient être à feu et à sang.

Madame Catherine me dit que je devrais bientôt supporter bien plus sinon elle me laisserait au bord de la route de ma soumission. Et ces mots me glacèrent le sang et le corps. Je n’avais aucune envie d’être abandonné, alors que je trouvais du bonheur à être l’homme soumis de Madame Catherine et Madame Isabelle.

– bien maintenant, on passe à la punition pour avoir laissé mes pieds cogner le sol, dit Madame Catherine

Et là ce fût sur mes bijoux de famille et mon sexe que s’abattirent les coups. C’était donc pour cela, qu’elles m’avaient mis cette barre. J’ai donc enduré leurs coups au moins pendant dix minutes voir quinze. J’avais de grosses douleurs au point d’avoir des hauts le cœur. Cependant, je bandais toujours de plus en plus dur. Mes larmes coulaient pratiquement à flot continu. J’avais l’impression que mes boules étaient prises dans un étau, mais ma verge bandait de plus belle. Mon bas ventre me tiraillait entre la douleur et le plaisir. Je n’en pouvais plus. Puis elles s’arrêtèrent, fières d’elles.

 

La punition !

 

Ensuite, Madame Catherine me dit de m’ allonger sur le dos. Avec ma barre d’écartement et ma cagoule, ce ne fut pas simple. Mais j’y parvins avec un peu d’insistance.

– Tu vois pour te récompenser d’avoir résisté tant bien que mal, Isabelle et moi allons te faire un très beau cadeau. Je vais aller le chercher dans ma table de nuit. Vu à quel point elle bande cette petite, tu peux t’amuser à le masturber Isabelle si tu le veux. Elle est à disposition, ne te prive surtout pas. Et toi surtout la sale petite chienne si tu jouis ne serait-ce qu’une goutte, ton cadeau se transformera en un cauchemar pour toi.

Puis Madame Catherine s’en alla. Madame Isabelle s’agenouilla entre mes jambes et commença à me caresser la verge, puis les testicules. La douleur de la punition était toujours bien présente. Mais la douceur de la main de Madame Isabelle, fit monter le plaisir en moi et la douleur s’apaisa. Elle entreprit à présent de me masturber et en se penchant à mon oreille, et elle m’excita avec ces mots :

– Tu aimes que je te masturbe comme une sale petite chienne que tu es. Moi je suis trempée, tu sais. Dommage que tu ne puisses pas voir hahaaa.

L’envie de jouir n’était pas très loin. En plus, elle accéléra la vitesse de ses va et vient sur ma verge.

– Tu as envie de jouir on dirait.

 

Entre les mains de Madame Isabelle, la perverse!

 

Je fis oui de la tête, ne pouvant pas parler pour garder un soupçon de lucidité et éviter de me laisser aller.

– Alors viens dans ma main petite chienne. Si tu le fais, je te mets la tête entre mes seins et tu auras le droit de le lécher et de les téter. Je te permettrai même de mettre ta nouille au chaud entre mes 2 seins !!!!

Quelle perverse pensais-je en moi-même. J’avais tellement envie de jouir dans sa douce main. Et elle faisait tout pour attiser mon envie, et transgresser l’ordre de Madame Catherine. Elle voulait sans aucun doute me tester.

– Ça sent le plaisir à plein nez ici.

Madame Catherine venait de revenir.

– Tu arrives tout juste pour lui empêcher la correction. Tu es la sauveuse de notre petite chienne ma belle Catherine.

Et s’adressant à moi:

-tu n’auras plus qu’à la remercier, car je t’aurai lâché la nouille qu’après que tu aies joui, sale chienne. Car si toi le fait d’être fouetté te fait bander, moi ça me fait mouiller. Et j’aurai pu remouiller encore plus.

– ne t’inquiète pas ma douce Isabelle, la journée n’est pas terminée. Notre petite chienne nous donnera bien l’occasion de prendre beaucoup de plaisir à le corriger. Et il se peut même qu’il nous supplie de le fouetter pour qu’il bande.

Après ses mots, elles éclatèrent de rire.

– Tiens prend le petit sac Isabelle, tu as l’honneur de lui présenter son cadeau promis. Je vais lui enlever la barre des pieds et sa cagoule. Mais je pense qu’il faut lui attacher les mains, ça lui évitera d’avoir des gestes déplacés.

 

Nouvelle paire de claques !

 

Madame Catherine m’enleva la barre d’écartement, puis me fit redresser le buste. Et elle mit mes mains dans le dos pour me passer des menottes. Elle m’ôta la cagoule, et je retrouvai la vue. Elle m’aida à me rallonger. Et resta agenouillée près de mon visage.

– A toi Isabelle! on a hâte de découvrir son cadeau.

Isabelle plongea sa main dans le sac et en ressortit une boite de préservatifs qu’elle jeta sur mon ventre.

– Tu en aurais, presque, eu besoin tout à l’heure non? : dit Madame Isabelle en riant.

– Tu peux lui en faire mettre une, et je me retire de la pièce pour que tu finisses ton travail ma chère Isabelle  et avec la capote, tu ne te saliras pas les mains.

– Nooon ne faite pas cela Madame Catherine! Je ne veux pas jouir car vous me l’avez interdit. Pitié Madame Catherine ne faite rien, je vous en supplie!

Madame Catherine et Isabelle partirent dans un grand éclat de rire. Madame Catherine me mit une paire de claques.

– Qui t’a permis de parler sale petite chienne, tu cherches à nous mettre en colère ?

Puis elle prit mon sexe tout dur dans ses mains et commença à le caresser. Mon envie de jouir était toujours très forte et  proche.

– S’il vous plaît Madame Catherine, doucement sinon je vais jouir. Je suis au bord de l’explosion. Et je ne voudrais pas vous décevoir. Je vous en supplie Madame Catherine, je ne veux pas jouir.

– Mais tu voudrais donc devenir obéissant et chaste ? Tu aurais à présent de bonnes résolutions ? Mais c’est une excellente nouvelle. Aller Isabelle il ne reste plus rien dans le sac ?

 

Cage de chasteté pour l’homme soumis

 

Alors Madame Isabelle replongea sa main dans le sac et en ressortit une cage de chasteté. La j’ai du me défiguré, je n’en avais jamais vu en réel avant celle là. Mais j’ai compris de suite son utilisation. Puis Madame Isabelle m’expliqua que pour moi vu que je bandais pratiquement en continu, il valait mieux en avoir une.

Puis elle empoigna mon sexe. Elle posa la cage à côté de la boîte de préservatifs sur mon ventre. Ensuite, elle commença lentement des va et vient en me branlant et me dit en même temps qu’il ne fallait pas que je jouisse avant qu’elle ne me l’ordonne. Puis la voix de Madame Catherine se fit entendre.

– Aller assez discuté, de toute façon je vais lui mettre sa cage qu’il le veuille ou non.

Et elle partit en direction de la cuisine et revint aussitôt avec un bac à glaçons en main. Elle le déposa sur mon bas ventre. Puis elle démoula les glaçons pour me les passer sur ma verge et mes testicules. Ni une ni deux avec le froid, l’escargot se recroquevilla dans sa coquille.

– Aller Isabelle passe lui la cage, regarde il en a envie! il débande.

Madame Isabelle me passa donc la cage. Et Madame Isabelle à mon grand désarroi mit mon sexe en cage. Puis Madame Catherine prit la boite de préservatifs et me le jeta à la figure en me disant :

– Mets toi 5 ou 6 capote dessus je ne voudrai pas que tu es une fuite et que tu salisses mon parquet sale chien. L’heure de ta punition a sonné, petit homme soumis. Et je m’exécutai et enfilai les capotes sur ma cage. Au bout de cinq, Madame Catherine m’en fit remettre deux de plus. Puis Madame Catherine me demanda de lui donner mon code d’accès de mon téléphone.

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1 réflexion au sujet de « Révélation de mon âme d’homme soumis (3) »

  1. etonnant ces capottes sur la cage de chasteté je suis curieux de voir a quoi elles vont servir…par contre le code du tel ça … on prend le repertoire et hop chantage…. mais il aime etre soumis y’en a pas vraiment besoin…enfin on vera bien

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