Révélation de mon âme d’homme soumis (5)

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Madame Isabelle resta empalée sur mon sexe encagé d’homme soumis, et Madame Catherine laissa son minois sur ma bouche. Elle s’enlacèrent toutes les deux, s’embrassèrent fortement sur la bouche. Leurs langues s’emmêlèrent. Un grand plaisir de les voir ainsi satisfaites et heureuses m’envahit. J’avais une érection mais cela était peine perdue avec cette satanée cage de chasteté.

Elles se caressaient le corps mutuellement. Je ne devais pas bouger, et pourtant ce n’était pas l’envie qui me manquait. Je pouvais voir leurs seins différents, mais gonflés, avec leurs tétons dressés huuumm ! Pourquoi n’avais-je pas le droit de les téter, de les sucer, de les mordiller ? Avec ces deux magnifiques Maîtresses dominatrices au dessus de moi, mon envie d’érection se faisait très forte, mais cela me faisait aussi très mal avec cette foutue cage.

– baise moi encore sale petite pute, me dit Madame Isabelle. Fais jouir ma belle Catherine, et ne nous fait pas attendre, sauf pour attendre le pire de nous.

Je me remis donc au plaisir de devoir faire jouir mes 2 merveilleuses Maitresses, mes sublimes 2 Maitresses que je vénérais déjà. Leur succulent nectar coulait sur mon corps, sur mon visage et sur mon sexe encagé. Elles étaient dans une extase totale, se lâchant entièrement comme 2 gourmandes de sexe, mais en fait comme 2 merveilleuses femmes perverses humiliant leur homme soumis.

 

Douche obligatoire pour l’homme soumis

 

Elles se relevèrent après avoir fini de jouir, et Madame Catherine dit :

– Allez la petite cochonne! lève toi pour aller te laver tu sens mauvais! Tu en as bien profité, et j’espère que tu as pris du plaisir aussi. Tu voulais nous baiser et on a tenu parole, alors je compte sur toi pour être docile et obéissant.

Je me relevai avec difficulté, les mains attachées dans le dos. Madame Catherine m’enleva les menottes, et me dit dit de filer à la salle de bain et de me dépêcher. J’osai alors un timide :

-Vous ne m’enlevez pas la cage ? Cela va l’abîmer ?

Et je pris une grosse paire de claques par Madame Catherine, puis Madame Isabelle m’asséna une bonne dizaine de coup de paddle sur mes testicules. Je compris donc que je devais filer vite fait. Je pris donc ma douche. J’urinai donc dans la douche et m’aspergeai mon sexe avec l’eau chaude pour le laver quelque peu. Cela me donnai envie de bander. Mais maudite cage…

Puis Madame Isabelle arriva et me dit :

– Tu n’as donc pas fini sale petite chienne ? La prochaine fois pour que cela aille plus vite ce sera à l’eau froide. Quand on veut être gentille avec des, sous-merde ils en profitent.

Puis elle me dit qu’elles allaient me garder jusqu’à demain samedi ou dimanche. Mesdames Catherine et Isabelle voulaient, en fait, exigeaient que je fasse le service ce soir.

– Et tu as de la chance, le traiteur nous livre donc tu n’auras pas a préparer le repas.

 

homme soumis

Arrivée des invités pour le dîner

 

Puis elle s’en alla de la salle de bain. La sonnette retentit et Madame Isabelle de sa chambre m’ordonna d’aller ouvrir. J’attrapai donc une serviette de bain que je nouai autour de ma taille, et j’allai ouvrir. C’était le traiteur avec la commande. Madame Isabelle arriva derrière moi et me dit ou m’ordonna de prendre les colis. Une fois ceux-ci dans mes mains, elle fit tomber la serviette à mes pieds. Je me retrouvai nu comme un ver devant le livreur et avec une cage de chasteté sur ma nouille. Je vis un sourire se dessiner sur le  visage du livreur.

Il y avait beaucoup de colis pour une soirée à 3. Il repartit, et j’emmenai les colis dans la cuisine. Madame Isabelle me dit de revenir à 4 pattes au milieu du salon et de me mettre à genou.

Une fois dans la position exigée au milieu du salon, je pris 2 paires de claques.

– Alors comme cela tu as honte d’être notre homme soumis ? Tu n’as pas la fierté d’avoir 2 magnifiques et sublimes Maîtresses ?

Je repris 2 claques.

– Si Madame Isabelle, je suis fier d’être votre homme soumis à vous Madame et aussi à Madame Catherine.

– Alors quand on est fier, on ne se cache pas, c’est la dernière fois que je te le dis. Surtout qu’il en a vu d’autres des soumis. Tu n’es pas le premier. Aller à 4 pattes, écarte les jambes que mon fouet atteigne tes petites billes.

 

Coups de fouet pour l’homme soumis

 

Puis je pris des coups de fouet sur mon dos, mes fesses, mes testicules. La chaleur du fouet se ressentit en moi. Je commençai a1 transpirer. Les larmes coulaient de mes yeux, la douleur était forte, après ceux du début d’après-midi. Ça me brûlait de partout, je n’osais pas crier et je me mordais les lèvres pour résister à la douleur.

Puis Madame Catherine arriva et m’ordonna d’aller à la cuisine pour préparer  le dîner. Ainsi, je remis tous les plats préparés dans de vraies assiettes. Je devais préparer pour 4 personnes. Puis j’entendis la sonnette retentir. Ça papotait mais je n’arrivais pas à comprendre ce qui se disait et qui était arrivé.

Puis Madame Isabelle arriva pour me mettre un collier qu’elle serra très fort, puis elle y mit une chaine.

– Mets toi a 4 pattes et suis moi, garde ta tête baissée!

– Avec Catherine on vous présente notre nouveau jouet, notre petite chienne, notre petite lopette en devenir, Sylvie et Bernard. Cet homme soumis est débutant, mais on a beaucoup d’espoir avec Catherine, pour qu’il devienne une bonne petite salope. N’est-ce pas la petite chienne, tu ne souhaites pas nous décevoir ?

– Non Madame Isabelle.

– Alors va embrasser les pieds de Sylvie, pour lui souhaiter la bienvenue. C’est ainsi que tu feras chaque fois qu’une dame entrera ici.

 

Au pied de l’invitée pour lui souhaiter la bienvenue puis…

 

J’avançai donc aux pieds de Madame Sylvie.

-bienvenue Madame Sylvie! Enchanté de faire votre connaissance.

Puis je me mis à lui embrasser ses pieds, qui étaient dans de belles chaussures noires à haut talons.

– Aller passons aux honneurs de Bernard maintenant! : dit Madame Isabelle. Mais pour les Messieurs, cela se passe différemment. Tu dois redresser ton buste en gardant la tête vers le bas, et tu dois lui embrasser le sexe, et ses testicules.

A ces mots, je fus effrayé, je ne pouvais pas faire cela. Je ne l’avais d’ailleurs jamais fait, et cela ne me manquait aucunement. Madame Catherine s’aperçut de mon désarroi et dit :

– Allez la sale petite chienne, ne fait pas ta mijorée, tu ne viens donc pas de dire que tu ne voulais pas nous décevoir ?

– Oui Madame Catherine, mais je n’ai jamais fait cela, et je n’en…

– C’est un ordre, et, tu obéis point barre. On se fout que tu veuilles le faire ou pas. Aller dépêche toi! Et il faut bien une première fois, et ce ne sera pas la dernière, je te le promets.

Son ton s’était durci, et était monté d’un cran. Et je reçu une paire de claques. Je me relevai donc.

– Bienvenue Monsieur Bernard, et enchanté de faire votre connaissance.

 

…les honneurs à Bernard, l’autre invité!

 

J’approchai ma bouche à la hauteur de son sexe puis je commençai à lui embrasser le sexe par dessus son pantalon de costume noir. Une deuxième paire de claques arriva sur mes joues. Elles me firent plus mal que les précédentes. J’entendis rire aux éclats Mesdames Isabelle et Sylvie.

– Dépêche toi de baisser le pantalon et le boxer de Bernard, tu n’embrasses pas ta mère avec un torchon entre ses joues et tes lèvres !!!

Le ton était vraiment sévère.

– Pour le boxer il n’aura pas de difficulté, je suis nu sous mon pantalon : dit Bernard.

J’entrepris donc de défaire les boutons de braguette de son pantalon. En fait, je tremblais tellement fort que j’eus des difficultés pour y arriver. Puis je baissai son pantalon qui glissa jusqu’à ses pieds. La une belle queue au repos se dévoila à mes yeux. J’approchai mes lèvres de ce sexe, et en l’effleurant, je déposai des baisers dessus, puis en le soulevant un baiser sur chaque testicule. Et je m’arrêtai là. Bernard me mit 2 claques, et il avait bien plus de force que Madame Catherine ou Isabelle. Je laissai échapper un cri.

– Mets y un peu d’entrain et personne ne t’a dit de t’arrêter. Et décalotte donc le gland pour bien l’embrasser et longuement, : me cria Bernard.

 

Obligé de mettre un peu plus d’entrain pour les honneurs à Bernard!

 

Je rapprochai mes lèvres près de son sexe, et une main m’y colla carrément dessus.

– Dépêche toi on va pas y passer la soirée : dit Madame Catherine.

Je dévoilai le gland de Bernard et l’embrassai partout, sur sa hampe aussi puis je descendis sur ses testicules,

– prend les en bouche et suce les bien : dit Madame Catherine.

Je mis les 2 testicules en bouche, les léchant avec ma langue, et les suçant.

Madame Isabelle s’accroupit à mes côtés et dit :

– Dis donc Bernard elle te fait de l’effet notre petite chienne on dirait!

Son sexe se développait au fur et mesure que je lui chauffais ses bijoux de famille dans ma bouche.

– Oui Isabelle : dit Bernard, et maintenant je ne vois qu’une seule solution, la sale petite chienne va donc pouvoir me faire sa toute première fellation !!!

J’étais tellement effrayé à cette idée que je relâchai ses testicules de ma bouche, et que je reculai la tête.

– Très belle initiative Bernard : dit Madame Catherine, et s’adressant à moi, tu vas voir le plaisir que tu vas prendre! C’est dix mille fois meilleurs que de lécher des testicules. Tu vas enfin pouvoir voir gouter au bonheur.

 

Une petite fellation pour Bernard puis l’apéritif!

 

Monsieur Bernard me dit de lui ôter ses chaussures et de lui enlever totalement son pantalon pour ne pas que je risque de lui tâcher en laissant échapper du sperme de ma bouche. Et je me me rendis compte à ce moment là que j’allais avoir son sperme dans ma bouche. J’obéis donc, puis Monsieur Bernard alla s’assoir dans le fauteuil en me faisant signe de son index de venir le rejoindre. J’arrive entre ses jambe, et il me montra son sexe érigé, bien raide, elle était bien grosse, je la trouvai belle ainsi.

–  Aller sale petite pute en devenir prend la en bouche que je te baise par là pour commencer.

Je commençai donc à prendre son gland en bouche et a1 le lécher avec ma langue, puis je commençai à faire des va et vient lents sur sa verge très dure. Et une main d’une de ces dames vint me plaquer et m’enfoncer profondément sur sa queue. J’en avais des haut le cœur, car son gland venait au plus profond de ma gorge. Quand la main enleva sa pression, je repris mes va et vient, et de mes mains, je caressai les bourses de Monsieur Bernard. Mes allers et retours sur sa queue s’accélèrent, et il commença a1 s’agiter. Au bout de quelques minutes, je sentis un liquide chaud et épais jaillir dans ma bouche.

– Ne t’arrête pas sale petite pute, j’en ai encore plein à te faire savourer. Et il gicla encore une dernière fois dans ma bouche. Son dernier râle me le fit comprendre. Et j’avalai tout le sperme que Monsieur Bernard déversa dans ma bouche . Ce fut assez long et pas bon du tout. J’avais envie de boire 1 bon litre d’eau bien fraiche pour me faire passer le mauvais gout âcre que cela me donnait.

– Tu sembles avoir pris plaisir Bernard, dit Madame Catherine.

– Oui Catherine, mais cet homme soumis doit encore s’améliorer, mais pour sa première fois, je ne vais pas faire le difficile. Avec votre ténacité et votre persévérance à toutes les deux, vous en ferez une bonne petite chienne suceuse. Et cela m’a donné soif, on prend l’apéro ?

– Aller la petite chienne va chercher à 4 pattes une bouteille de champagne au frigo avec 5 flûtes. Tu les ramènes debout pour ne pas faire de bêtises et cela t’évitera une punition. Je suis trop bonne pour toi. Cela me perdra.

 

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Une après-midi avec une magnifique dominatrice!

Une « sissy » en devenir!

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