Séance punition pour le soumis : dressage en vacances 4

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séance punition

Début de la séance punition

Pour la séance punition, Sophie et Camille s’assirent chacune d’un côté du cockpit. Elles m’allongèrent, alors, sur une de leur jambe à chacune, me bloquant les miennes chacune avec leur autre jambe. Mes bras se retrouvèrent à nouveau pliés dans mon dos, fermement maintenus. Cette fois, ma femme les attacha avec un cordage puis la fessée commença rapidement. Elles claquèrent mes fesses sévèrement dès le début. De plus, toutes les trois n’étaient pas avares de commentaires sur leur couleur présente et à venir. Elles parlaient des  traces qui allaient rester cette fois après ma punition. Camille me rappela qu’elle était médecin et Sophie infirmière. Elles sauraient donc très bien me soigner ensuite si besoin, ce qui n’était pas pour me rassurer.

Quand elles arrêtèrent la fessée à la main, elles me firent mettre debout. Ensuite, elles me délièrent les bras pour les renouer devant, de chaque côté de l’entrée du bateau. L’une d’elle continua à me fesser avec la planche, ce qui me fit rapidement hurler. Ma femme me dit que je criais trop fort, et me mit sa culotte dans la bouche, en me disant que ça me préparerait à la suite.

Coup de canne sur les fesses

Sophie posa la planche alors que je ne me contenais déjà plus. Camille prit la ceinture avec laquelle, elle m’administra de bonnes cinglées sur les fesses et les cuisses ! Je chialais comme un gamin en gesticulant de façon désordonnée. Elles m’annoncèrent 5 minutes de pause pour me calmer avant la canne. Je ne savais plus où j’habitais.

Ma femme profita de ce moment pour m’expliquer d’une voix très douce, mais avec des propos implacables que c’était de ma faute et que cette séance punition était pour mon bien. Elle ajouta que j’avais été prévenu, et qu’une fois que je saurais faire aussi bien que les massages des pieds, il n’y aurait plus besoin de me punir comme cela. J’opinai de la tête, en continuant à pleurer et à sangloter, toujours bâillonné avec la culotte de ma femme. Puis elle me dit que Sophie et Camille allaient chacune m’administrer 12 coups de canne sur les fesses. Je ne réagis pas …

Sophie commença. Elle prenait le temps entre chaque coup, qu’elle précédait d’une série de coups rapprochés dont elle augmentait l’intensité à l’approche du vrai coup. Cela me parut assez long. Surtout, c’était très douloureux. Je sanglotais et pleurais tant que je pouvais. Ma femme alla chercher un tube de crème hydratante. Camille et Sophie m’en appliquèrent abondamment sur les fesses, chacune la leur, ce qui me fit beaucoup de bien.

Fin de la séance punition

Après cette nouvelle pause, pendant laquelle ma femme était cette fois restée silencieuse, ce fût au tour de Camille d’entrer en action. Elle appliqua cette douzaine plus rapidement, aussi sévèrement. J’éclatai, à nouveau, en sanglots dès le premier coup. Je ruais et pleurais, sous les encouragements de Sophie et Camille qui me disait que j’avais été courageux, et que c’était presque fini.

Après le dernier coup de cette séance punition, je m’agenouillai, les bras toujours attachés de chaque côté de l’entrée du bateau. Je voulus, tout de suite, les remercier pour ne pas risquer le moindre supplément. Elles dirent de me taire et de me calmer, d’attendre un peu avant de pouvoir parler. Après 5 minutes, elles me repassèrent de la crème sur les fesses.

Voyant que je commençais à me calmer un peu, ma femme dit :

-voilà ! tu as reçu une sévère correction ! J’espère qu’elle te servira de leçon ! Maintenant, je vais attendre dans la cabine que les filles te descendent quand elles estimeront que tu es près. J’espère pour toi que tu ne manqueras cette fois pas de volonté, et que le risque d’un supplément de canne te motivera pour dépasser ton blocage …?

Cunnillingus

Je fis oui de la tête, énergiquement, alors que les larmes coulaient encore. Ma femme retira sa culotte de ma bouche et essuya mon visage trempé de larmes avec. Je remerciai sans m’arrêter Sophie et Camille jusqu’à avoir eu confirmation que ça suffisait et qu’elles avaient bien entendu. Ma femme descendit, et Camille et Sophie se montrèrent encourageantes avec moi. Elles me disaient d’être courageux, de ne plus avoir peur, qu’elles étaient fières de moi pendant cette très sévère fessée. Elles ajoutèrent que tout allait être plus facile maintenant.

Leurs paroles étaient accompagnées de caresses sur mes joues et mes fesses. Puis elles m’excitèrent petit à petit en titillant et en pinçant mes tétons. Elles me maintinrent en érection tout en me détachant. Puis elles me conduisirent en bas dans leur cabine dans cet état. Elle me firent mettre à genoux. J’avais vue sur les pieds, les jambes et le sexe de ma chérie, allongée au fond de la couchette.

Camille et Sophie s’assirent et tapotèrent leurs cuisses comme d’habitude, et bloquèrent à nouveau mes bras dans mon dos, et mes jambes avec les leur. Elles tapotèrent mes fesses alors que ma femme ajustait sa position pour que je la gratifie comme elle le souhaitait, comme je n’avais jamais réussi à le faire. Je sentis les claques sur mes fesses affreusement douloureuses s’intensifier. Ainsi, je trouvai vite la motivation pour sortir ma langue et commençai à lécher ma chérie qui respirait déjà fort.

Elle ondulait doucement ses hanches. J’embrassai son sexe et le léchai, maintenant, sans retenue. Camille et Sophie libérèrent mes bras et interrompirent leur fessée pour mon plus grand soulagement. Elles m’encourageaient de leur voix douce. Ma femme montrait de plus en plus de plaisir. Je relâchai un peu mon effort et j’entendis ma femme dire « encore ».

Orgasme de ma femme

Camille et Sophie reprirent la fessée. cela me fit redoubler d’ardeur, et pleurer à nouveau tant j’avais mal aux fesses qui me brûlaient. Ma femme entoura ma tête de ses jambes, les serrant puis les écartant pour poser ses pieds sur mes épaules et sur ma tête. Après encore 2 ou 3 minutes elle explosa de plaisir, sur mon visage.

Camille et Sophie me félicitèrent discrètement puis sortirent de la cabine en caressant mes pauvres fesses. Ma femme m’attrapa dans ses bras et me serra plus fort qu’elle l’avait jamais fait ! Elle m’essuya le visage avec sa culotte encore trempée de mes larmes. Avec tout son divin jus dont elle m’avait inondé le visage, sa culotte finit bonne à essorer. Elle la jeta par terre en me disant que je la laverai plus tard.

Son sourire était magnifique, elle semblait comblée. Cela me rendait tellement heureux que j’en oubliais la douleur de mes fesses. Ainsi, je lui souris, lui confirmant à sa demande que j’étais heureux de ce qui venait de se passer. Elle me dit qu’elle était aussi très très heureuse.

Changement de règles

Cependant une chose m’inquiéta. En effet, elle précisa avec un sourire malicieux que cela avait été encore meilleur à partir du moment où je m’étais remis à pleurer en même temps que je la comblais. Elle me dit, ensuite, que ce soir on ferait la fête et que le programme serait différent maintenant. Elle déclara qu’elle me dispensait de ma fessée du soir, en tenant ma tête tendrement dans ses mains, que j’embrassais alors très délicatement, avec une grande dévotion.

Nous sommes ensuite sortis retrouver Camille et Sophie qui papotaient dans le cockpit. Elles nous accueillirent avec leur beau sourire. L’ambiance devenait moins tendue et ce n’était pas pour me déplaire. Ma femme leur a fait par de sa joie. Elle me fit dire devant mes fesseuses que j’étais moi aussi content de ce qui était arrivé. Je dus bien sûr les remercier bien poliment pour leur aide.

Elles me sourirent gentiment et me donnèrent leurs mains à embrasser. Puis elles mirent fin à cette séance de reconnaissance en me donnant chacune sur une joue une paire de petites claques affectueusement humiliantes. Je restais à genoux dans le cockpit, au milieu d’elles trois, assises. Ma femme me dit de me mettre à la lessive de sa petite culotte que je descendis chercher.

Discussion entre femmes

Pendant que je la lavais à l’arrière du cockpit, elles discutaient sans chercher à m’empêcher de les entendre. Ma femme leur dit qu’elle voulait qu’on fasse la fête tous les quatre ce soir avec un bon apéro et un bon dîner. Puis vint un moment où Camille et Sophie lui dirent qu’elle avait de la chance pour ce qui était arrivé cet après-midi. Elles trouvaient que ma chérie avait pris beaucoup de plaisir et que je m’étais appliqué. Enfin, elles ajoutèrent que cela ne les surprenait pas trop après la correction que j’avais reçue.

Ma femme poursuivit en leur disant, alors que j’entendais toujours leur conversation, affairé au reste de la lessive des occupantes du bateau, qu’elle ne savait pas comment les remercier. Camille dit sans détour qu’elle aimerait bien elle aussi profiter de mes nouvelles compétences. Je me figeai et je pris soin de garder le silence. Sophie ajouta immédiatement que c’était une super idée.

Nouvelles règles pour le soumis

Ma femme dit, ce qui me glaça :

-mais c’est vrai ça, je n’y avais pas pensé, mais si c’est ce qui vous fait plaisir, pourquoi pas, n’est-ce pas mon chéri ?

J’eu une bouffée de chaleur et ma figure devint toute rouge. Je n’arrivai pas à parler ni à bouger. Ma femme me dit de me retourner, ce que je fis lentement.

-Eh bien, tu as perdu ta langue ?

Je gardais le silence.

-Tu ne vas pas faire un caprice maintenant, tu n’as pas déjà envie d’une nouvelle fessée ?

Je secouais la tête pour dire non.

-Bien alors, confirme nous que tu as entendu ce que souhaitent Camille et Sophie comme remerciement.

Je secouais la tête pour dire oui. Camille et Sophie vinrent à mon secours :

-le pauvre, ça fait beaucoup d’un coup ! Anne, allons préparer l’apéro et le dîner de fête. Laisse lui le temps de se faire à l’idée.

-Bon ok vous avez raison les filles, on y va. Toi mon chéri tu réfléchis bien à cette conversation à laquelle tu as refusé de participer car elle reprendra tout à l’heure. Inutile de te dire que tu as intérêt à réfléchir dans le bon sens ! : dit-elle en passant sa main dans mes cheveux avant de me la faire embrasser.

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