De jeunes dominatrices humilient leur soubrette mâle (15)

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Après le moment de flottement pendant lequel la situation avait failli leur échapper, sans l’habileté et l’à propos de Maîtresse Camille, les jeunes dominatrices étaient avides de conjurer cette petite faiblesse passagère. Elles se devaient de me le faire payer cher, afin d’éviter toute perte de contrôle à l’avenir. Comme Maîtresse Camille avait été en verve, les autres lui laissèrent l’initiative pour qu’elle expose ses plans pour la suite.

Les yeux étincelants, elle semblait euphorique et elle ne dissimulait pas son excitation de tenir ce premier rôle. Elle décréta :

-Voici donc venu le temps des humiliations ! On va commencer par une mise en train, pour te préparer à l’humiliation publique que je te réserve. Premièrement, on va mettre à contribution ta capacité à endurer des petites épreuves. Allez delphine, un peu d’exercice!

 

Début des humiliations!

 

D’un ton martial, retentit un premier  » à genoux! »

Ensuite, je reçus une paire de claques pour n’avoir pas obéi assez vite selon elle.

-mains dans le dos!

Puis aussitôt après :

-mains sur la tête! Mains par terre!

Tous ces ordres s’enchainèrent à un rythme accéléré. A chaque ordre,  je recevais une paire de gifles, et cela continua deux ou trois minutes!

Ensuite, j’eus le droit à nouveau à :

-à quatre pattes! debout, mains sur la tête! mains dans le dos! mains le long du corps!

Le tout fut prononcé, toujours, à cadence effrénée. Je reçus, également, des coups de pieds au derrière de toutes les participantes qui avaient oublié leur passage à vide. A chaque ordre, le ton claquait comme un coup de fouet.

-pauvre delphine, elle est un peu fatiguée, mais je l’entraine pour son bien, pour qu’elle soit à la hauteur de ce qu’elle va subir chez Mademoiselle Estelle!

Ces paroles furent prononcées de nouveau sur le mode doucereux, ce qui n’était pas plus agréable.

jeunes dominatrices

Reprise en main totale par les jeunes dominatrices!

 

Alors Maîtresse Jessica profita de l’allusion à Mademoiselle Estelle, pour reprendre part à l’action. En effet, elle était désireuse de renouer le fil là où il s’était cassé, et  de gommer l’incident passé. Aussi, elle me tendit de nouveau son téléphone  sifflant, alors que j’était en position agenouillée, mains sur la tête :

-delphine, tu vas immédiatement te présenter à Mademoiselle Estelle pour lui confirmer ta mise à disposition pour ta formation sous sa bannière. Surtout tu le fais dans les termes qu’il convient, j’espère que je me fais bien comprendre !

-Ne t’en fait pas! : susurra Maîtresse Camille. Delphine a très bien compris qu’elle doit montrer sa joie et remercier chaleureusement Mademoiselle Estelle de lui offrir ce poste envié de demoiselle pipi, que beaucoup se disputent.

Comme si cela n’était pas suffisant, Maîtresse Anaïs, la « fesseuse » en chef, ressortit la cravache, et déclara:

-je serai derrière delphine, et à chaque intonation qui ne sera pas au diapason de ce qu’on est en droit d’attendre, son cul va rougir de nouveau !

Quant à Maîtresse Nadia, un peu effacée, elle me fit de nouveau mettre à quatre pattes pour s’installer sur mon dos. Elle m’utilisa comme fauteuil puis infligea à mon corps de désagréables griffures préventives, pour me suggérer d’être irréprochable dans ce rôle de composition des plus humiliants.

 

Premier contact téléphonique avec ma future formatrice

 

La reprise en main avait bel et bien eu lieu. Après avoir composé le numéro, Maîtresse Jessica, avec un mauvais sourire, me tendit le téléphone.

Au bout du fil, j’entendis un filet de voix plutôt timide répondre « allo? »! La voix contrastait, étonnement, avec le portrait esquissé de cette redoutable Mademoiselle Estelle, ma future formatrice. Ces jeunes dominatrices m’avaient bien préparé, j’étais très concentré sur ce que je devais dire! Aussi, j’articulai sans trop trembler :

-Bonjour Maîtresse Estelle, je vous présente mes respects, c’est mademoiselle delphine qui…..

Je fus alors coupé dans mon élan, par un formidable éclat de rire féminin, qui me terrassa sur le champ. Elle ne pouvait s’arrêter de rire. Aussi, je ne savais plus quelle attitude je devais adopter. Je ne savais pas si je devais poursuivre comme prévu, au risque d’interrompre ma future formatrice. Peut-être devrais tout simplement attendre qu’elle s’arrête de rire? Mais si ça se prolongeait?

Cette valse hésitation me valut instantanément un cocktail de vigoureux coups de pieds au derrière, des coups de cravache sur mon postérieur, et des griffures bien senties sur mon dos. Ainsi, je tentai un nouvel essai, alors que les décibels avaient baissé d’un ton:

-euh, pardon Maîtresse Estelle, je disais donc que je suis mademoiselle delphine et je me présente bien humblement à vous pour vous faire part de ma..

et c’est à gorges déployées que mon interlocutrice réagit à ce début de présentation, une nouvelle fois avortée, pour mon plus grand malaise : la situation était vraiment impossible! Je ne savais que faire!

 

A suivre

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