Soumis à une belle domina, meilleure amie de ma femme (2)

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belle dominaVisite surprise !

J’étais sans nouvelles de Sandrine, belle domina, depuis une semaine. Elle décidait de passer, à l’improviste, me voir au bureau. Je suis agent immobilier dans une grande ville du Sud de la France. Notre agence se compose de l’accueil avec la secrétaire, de trois bureaux dont un box vitré  mi-hauteur pour plus de tranquillité avec les clients.

Je surfais sur mon ordinateur à la recherche de biens qui pourraient convenir à mes clients. Je  ne vis donc pas Sandrine entrer dans l’agence. Ce n’est qu’en l’entendant prononcer mon nom que je levai la tête.

-Bonjour j’ai rendez vous avec Mr D…: avait elle dit à la secrétaire.

Je n’en revenais pas, la stupeur et la confusion devaient très certainement se lire sur mon visage. Je me sentais rougir, et des bouffées de chaleur me montaient à la tête. Quelle était la raison de sa visite?

Comme elle était sublime, cette belle domina, avec son pantalon en cuir noir, sa chemise blanche et de jolis escarpins aux talons vertigineux. Elle me tendit la main me saluant d’un air coquin.

– Emmène-moi visiter un appartement tout de suite ! : m’intima-t’elle sans trop hausser la voix pour ne pas être entendue par la secrétaire.

– Euh bien-sûr, Oui tout de suite : begayai-je en attrapant un trousseau de clé.

L’ascenseur

L’appartement était juste en face de l’agence. J’ouvris la porte à Sandrine et lui indiquai la direction. Son parfum était envoûtant. A cet instant, j’aurais tout donné pour me jeter dans ses bras et sentir son odeur. Cependant, nous entrâmes dans l’immeuble puis j’appelai l’ascenseur. Sandrine n’avait toujours rien dit. Les portes s’ouvrirent, elle me poussa a l’intérieur. Sans plus attendre que les portes se referment, cette belle domina se jeta sur moi en m’embrassant goulûment.

Elle passa ses mains sous ma chemise et commença à jouer avec mes tétons. Comme c’était bon! Tandis que sa bouche se rapprochait de mon oreille, l’une de ses mains glissa sur mon sexe en érection.

-Fais de moi une reine heureuse Paul et je ferais de toi un bon toutou obéissant : me murmurait-elle en me caressant.

-Par contre : ajouta t’elle en m écrasant les couilles, si tu ne me sers pas comme il se doit je te briserais comme une merde.
Elle recula et me caressa la joue avant de porter ses doigts à ma bouche. Sans m’en rendre compte, je les embrassais et les suçais avant de me prendre une gifle magistrale.

-Tu ne m’as pas présenté tes respects aujourd’hui ! agenouille toi et lèche les escarpins que j’ai acheté en pensant à toi salope.

Première gifle

Je savais que l’ascenseur pouvait s’arrêter et que quelqu’un pouvait entrer, mais je savais aussi qu’elle ne mentait pas quand elle disait qu’elle pouvait me briser. Je me retrouvais donc à genoux léchant les pieds de Sandrine une nouvelle fois. L’ascenseur s’arrêta, pris de panique je me relevais, un couple entra. Dans un premier temps, je fus soulagé de ne pas m’être fait remarqué mais le regard de Sandrine me fit comprendre qu’elle était déçue de mon comportement.

Nous arrivâmes au 15ème étage, je précédai Sandrine dans le couloir et je lui ouvris la porte du petit meublé dont j’avais pris le trousseau. Une fois à l’intérieur, elle ferma la porte à clé et me gifla de nouveau.

-Qui t’a donné la permission de te relever? Tu m’as déçu, tu aurais dû continuer!!!
-Mais…..

Une autre gifle vint s’écraser sur ma joue.

-Aurais-tu eu honte? C’est ça oui tu as eu honte! mais mon pauvre la seule honte que tu devrais avoir, c’est de ne pas avoir obéi à ta Maîtresse! C’est un honneur que je te fais en te laissant me lécher les pieds ! Ne l’oublie jamais ! à poil Salope!

Puni par la belle domina

Sandrine était vraiment très en colère. Je me déshabillai donc aussi vite que possible pour ne pas l’énerver davantage.

-Ecarte les jambes et met les mains sur la tête ! Maintenant excuse toi!
-Pardonne moi Sandrine, j’ai eu peur…

Je pris un magistral coup de pied dans les couilles qui me fit tomber à genoux.
Sandrine s’accroupit devant moi puis me releva la tête en me tenant par le menton.

-Tu n’as toujours pas compris ! on dirait Paul ! Tu es à moi maintenant et je suis ta Maîtresse donc tu dois m’appeler Maîtresse Sandrine et me vouvoyer sauf si je t’ordonne de ne pas le faire. Mais je pense que dorénavant tu t’en souviendras n’est ce pas?
-Oui Maîtresse Sandrine !
-Voilà qui est bien mieux : me dit-elle en m embrassant le front. Ne me force pas à te Briser. Tu vas être un bon toutou maintenant n’est ce pas?
-Oui Maîtresse Sandrine.
-Relève-toi et reprend ta nouvelle position ! Maintenant dès que nous serons seuls, tu devras te dévêtir et te tenir ainsi devant moi. Est-ce bien clair?
-Oui Maîtresse Sandrine.
-Parfait, où est ton téléphone?
-Dans la poche de mon pantalon Maîtresse Sandrine.
-Le code? Vite !

J’hésitais à le lui donner craignant le pire mais je n’étais pas en position de refuser quoi que ce soit à Maîtresse, cette belle domina. Je lui répondis donc que le code était 1234.
-Ce soir, je vais le garder et recopier tout ton répertoire. Cela me servira d’assurance.  Une objection?
-Non Maîtresse Sandrine.

Confiscation du téléphone

Elle rangea mon téléphone dans son sac puis s’approcha de moi. Son parfum me fit oublier la douleur que je ressentais toujours. Ensuite, elle me caressa de nouveau les tétons ce qui eut pour effet de me refaire bander.

-On dirait bien que tu aimes que l’on s’occupe de ta poitrine, tu es une vraie petite salope toi. Stéphanie aussi joue avec tes seins?
-Non Maîtresse Sandrine.

Maîtresse se pencha et attrapa l’un de mes tétons avec sa bouche, le lécha puis le mordilla jusqu’à le rendre dur de désir. C’est meilleur qu’un coup de pieds dans les couilles non?
-Oui Maîtresse Sandrine.
-Maintenant tu vas te branler en répétant que tu es mon esclave, et moi je vais filmer si cela me convient, tu seras récompensé comme il se doit. Vas-y branle toi !

Je commençai donc à m’astiquer en répétant que j’étais désormais l’esclave de Maîtresse Sandrine. Me sentant venir, elle m’ordonna d’arrêter  et de me r’habiller. Bien que fou de désir et frustré, je me retrouvai à nouveau dans l’ascenseur avec ma belle Maîtresse.

-À genoux et lèche jusqu’à ce que je te dise de te relever !

J’avais vraiment peur de me faire surprendre mais je m’exécutai totalement fou de désir.

-Relève-toi ! : me dit-elle avant que les portes ne s’ouvrent.  Retourne à ton poste! Ce soir tu n’as ni le droit de te branler ni de toucher ta femme ! Est ce bien clair?
-Oui Maîtresse Sandrine.

Je n’avais même  pas regardé si nous étions seuls avant de répondre,  ce qui eu l’air de satisfaire Maîtresse qui me fit une douce caresse sur la joue avant de partir.

Quel merveilleux fessier elle avait dans son pantalon en cuir. Quelque part, j’étais fier d’être sa proie même si je ne savais pas vraiment où cela me mènerait.

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