Transformé en soumis sex-toy par Maîtresse Ingrid

| | ,

Suite de  Soumis transformé en sex-toy : La confession de Bernadette et de la Prise de possession par Maîtresse Ingrid, splendide domina 

soumis sex-toy

Soumis sex-toy humilié par Maîtresse Ingrid

Maîtresse Ingrid n’avait pas d’expérience de la domination mais son instinct la guidait et sa perversité était surprenante. Elle adorait m’humilier, moi son soumis sex-toy, surtout devant des amis qui bien sûr n’étaient pas au courant de notre relation. Nous étions deux couples dans un restaurant à la mode. Maîtresse Ingrid a commandé deux plats, un pour moi, agneau au thym et petits légumes et pour elle des rognons de veau moutarde. Je me suis étonné de son choix, elle m’a dit qu’elle n’avait jamais mangé de rognon et qu’elle voulait essayer. N’empêche, elle m’a arrêté lorsque nous avons tous été servis et que je voulais entamer mon plat.

-Laisse-moi goûter mes rognons avant de te ruer sur ta pitance comme un sauvage !

Après la première bouchée de rognons, elle a pris une mine dégoutée et a décrété que son plat était infect. Elle l’a donc échangé avec le mien et s’est délectée de mon agneau, pendant que je me débattais avec des rognons qui ne sont pas vraiment mon premier choix. Nos amis nous ont observés en rigolant doucement.

Ces humiliations se produisaient régulièrement et sont devenues un objet d’amusement des gens que nous fréquentions.

Soumis sex-toy apprécié par ces dames !

Nous étions un soir dans l’appartement de Maîtresse Ingrid avec plusieurs couples d’amis. Nous avions une discussion politique d’autant plus animée que nous avions bien bu. J’ai sorti une idiotie en parlant de la Guyane où un de nos amis travaillait régulièrement, à Kourou, en disant que c’était une île (j’ai été content d’entendre récemment qu’un politicien célèbre faisait la même erreur). Maîtresse Ingrid ne m’a pas raté, disant haut et fort pour toute l’assistance :

-Ah bon la Guyane, une île ? Mon pauvre chéri, heureusement ce n’est pas sur ton cerveau que tu dois compter pour séduire mais sur ta grosse bite, impressionnante j’avoue, et tes jolies fesses que l’on aime croquer et surtout fouetter. Vous ne trouvez pas Mesdames que ses fesses sont appétissantes ?

Je ne savais plus où me mettre, mort de honte mais excité aussi, j’ai commencé à bander dur.

-Et admirez tous, le renflement à sa braguette, n’est-ce pas joli ?

Une amie bien éméchée m’a tâté l’entre jambe et a reconnu la qualité de ma bite, se tournant vers son ami pour lui dire, ton cerveau est peut-être bien fait, mais le sexe de Bernard est incomparable. Toutes les filles ont ri, et en ont rajouté, heureuses pour une fois de parler des mecs comme objets sexuels. Ce fut une très belle soirée pour elles mais plusieurs de mes amis ne m’ont plus parlé pendant quelques semaines…

Les achats de Maîtresse Ingrid

Comme elle était néophyte, Maîtresse Ingrid n’avait que très peu de matériel SM. Nous sommes allés ensemble dans un magasin fétichiste particulièrement bien équipé.

Maîtresse Ingrid y a trouvé facilement tout le petit matériel qui lui manquait, pinces pour les tétons et le sexe, menottes, chaînes et cordes pour entraver l’esclave. Est venu ensuite le choix des cravaches, fouets, badines, et autres instruments de flagellation. Maîtresse Ingrid hésitait sur la maniabilité de ce qu’on lui proposait et sur leur facilité d’utilisation. La patronne, une grande femme blonde, d’une quarantaine d’années, habillée d’un pantalon en cuir et d’une blouse blanche bien décolletée a proposé de lui faire une démonstration dans une petite pièce discrète, sur sa vendeuse Katia qui était aussi sa soumise. Maîtresse Ingrid a accepté en demandant bien sûr que les essais se fassent aussi sur mes fesses.

Fessé par Maîtresse Ingrid

Nous nous sommes donc retrouvés à deux, fesses surélevées, nues et offerte. Nous étions fixés chacun à un banc de fessée, attendant les essais de différents fouets, cravaches et autres badines. Maîtresse Hélène montrait les instruments à Maîtresse Ingrid et expliquait comment s’en servir au mieux. Les premiers coups de Maîtresse Ingrid étaient paraît-il trop timides (ce n’est pas ce que mes fesses pensaient) et Maîtresse Hélène lui indiquait comment tenir l’engin et quel angle d’attaque prendre. Maîtresse Ingrid heureusement apprenait vite et elle n’a pas dû faire trop d’essais pour s’exercer. N’empêche, j’ai poussé quelques gémissements de douleur, ne parvenant pas à me retenir aussi bien que Katia…

J’avais très mal mais la situation m’excitait et j’ai été une fois de plus trahi par mon sexe qui s’est dressé fermement. Maîtresse Hélène l’a trouvé intéressant et a proposé que nous nous retrouvions un soir à quatre pour une séance de dressage. Maîtresse Ingrid a trouvé l’idée excitante et a promis d’organiser rapidement cette soirée.

La vie quotidienne avec Maîtresse Ingrid

Je ne vivais pas en semaine avec Maîtresse Ingrid, seulement les week-ends et parfois une soirée à l’improviste. Le premier plaisir de ma Maîtresse était que son soumis sex-toy soit nu chez elle. J’étais le plus souvent à genoux à ses pieds que je caressais de mes lèvres. Elle adorait aussi toucher mon sexe avec ses haut-talons et me voir bander sous ses caresses. Me donner ensuite un solide coup de pied sur les couilles qui me faisait rapidement débander la faisait rire joyeusement.

Elle aimait aussi me voir me promener nu pour mettre ou débarrasser la table, lui apporter une boisson ou faire le ménage, surtout passer l’aspirateur. Ma floche comme elle l’appelait à ces moments-là bougeait dans un mouvement de balancier. Tout cela la mettait en joie et se terminait par un passage sur le lit.

Là, elle m’attachait les membres aux quatre coins du lit pour que je sois incapable de bouger. Elle jouait avec moi suivant sa fantaisie. Elle me faisait lécher son cul et sa chatte pour s’approcher de l’extase et être mouillée pour que ma bite la pénètre en douceur. Il fallait peu de temps pour que je m’excite. Sentir ses longues cuisses à la peau douce se serrer contre mon visage ou contre mon corps suivant qu’elle me mettait en bouche son cul ou son sexe était ma récompense pour les humiliations et les coups que j’endurais.

J’étais au 7ème ciel quand Maîtresse Ingrid s’empalait sur mon sexe. J’avais appris rapidement à attendre son signal pour jouir et la longueur de notre rapport faisait encore grossir ma bite. Notre jouissance simultanée était le seul moment où nous étions égaux, amoureux l’un et l’autre même si peu après je redevenais son soumis.

Previous

Nouvelle nuit sous les pieds de ma Maitresse (2)

Soubrette mâle soumis à de jeunes dominatrices (4)

Next