Visite de ma Maîtresse dominatrice : un rêve éveillé (12)

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Maîtresse dominatriceDifficultés avec le plug !

Je me réveille difficilement ce matin, le plug en moi est très présent et me gêne même beaucoup. J’écris mon message à ma Maîtresse dominatrice comme chaque matin et  je lui fais part de ce désagrément, sans me plaindre juste pour l’informer. Je me prépare et pars tranquillement au travail. La journée comme pressenti est difficile. Le plug me brule l’anus. Je commence à avoir du mal à le garder et je marche comme un cowboy après une journée de cheval. Ma matinée est très difficile. Un peu avant, j’ose envoyer un nouveau message à ma Maîtresse dominatrice, pour lui faire part de ma difficulté à garder ce plug en moi. A peine le message envoyé, elle me téléphone. Je décide donc de m’isoler avant de décrocher.

  • Alors pleurnicheuse tu ne vas pas bien ?

 

  • Désolé Maîtresse, mais je ne le supporte plus. Cela me brule de partout.

 

 

  • C’est embêtant ça. Cela ne me plait pas. Aussi, tu vas l’enlever mais tu mettras à la place l’objet qui est au fond de ton sac à dos. Je me doutais que tu n’allais pas résister à ce traitement.  J’ai, donc, pris la peine d’avoir une solution de rechange car je te veux toujours plein à présent. Cependant, j’aurais pensé quand même que tu aurais tenu un peu plus longtemps, au moins jusqu’à ce soir.

Essai avec le rosebud

 

Et voilà ma Maîtresse raccroche une nouvelle fois sans que je puisse rajouter autre chose. Je prends mon sac puis je vais aux toilettes pour mettre de la crème autour de la base du plug pour adoucir son passage. Que c’est douloureux. Cela me brûle ! Je n’arrive pas à l’expulser. Je pousse mais il ne sort pas. Ainsi, je suis obligé de faire de nombreux va et vient pour me détendre mais rien à faire. Pourtant, cela commence à m’exciter et mon sexe gonfle dans sa petite cage. J’accélère le mouvement. De suite, je gémis et m’ouvre de plus en plus. Aussi, je continue et ça me fait suer à grosses gouttes. Je ressens un mélange de douleur et de plaisir insoutenable. Mais après une longue bataille mon anus s’ouvre pour laisser passer cet accessoire de torture qui m’arrache un cri que j’étouffe pour ne pas me faire repérer.

Je m’essuie et constate quelques traces de sang sur le papier mais rien d’alarmant. En fouillant mon sac, je trouve un rosebud, une sorte de bijou intime proche du plug mais moins imposant. Je remets de la crème sur mon anus et m’insère sans difficulté cet objet métallique glacé bien que l’exercice soit difficile de devoir remettre quelque chose en soi. J’aurais tant voulu avoir du repos mais je prends conscience que mon bien être personnel compte beaucoup moins que les envies de ma Maîtresse. Je vais devoir apprendre à souffrir, et à composer avec ma nouvelle condition. En vrai soumis et je ne fais plus ce qu’il me plait. Je n’ai plus le choix, j’obéis sinon je pense que je serais sévèrement corrigé.

Sans nouvelle de ma Maîtresse dominatrice

 

Cette femme m’a choisi ! Je ne veux pas la décevoir. Un SMS arrive dans l’après midi :

 

  • ce soir tu enlèves tes sous-vêtements de femme et tu passeras jusqu’à nouvel ordre tes journées en homme. Seul le rosebud et la cage te démarqueront des autres !

Le reste du week-end se passe sans aucune nouvelle. Je m’occupe du mieux possible. Je vais voir des amis mais impossible de m’enlever cette femme de mon esprit. Sa voix raisonne dans ma tête, son odeur est dans mes narines, mon anus réclame d’être fouillé. Je l’ai dans la peau et elle me manque. Le dimanche soir un mail arrive :

 

« Demain pas de caleçon pour aller au travail, bon lundi, ta Maîtresse Ana. »

Même pas une attention pour mon week-end, ni sur mes sentiments ! Que cette femme est dure parfois. Le lendemain me voilà au travail, sans caleçon, avec mon rosebud en moi et ma cage que j’oublie de plus en plus. A 15h, je reçois un SMS, séance de ciné à18h à Bellecours, pour un film français inconnu. J’ai hâte, car elle me réserve toujours une surprise. Je prends ma place, m’installe, regarde le film. N’ayant reçu aucun message de ma Maîtresse dominatrice, je m’interroge, je ne comprends pas. Après être resté comme toujours le dernier dans la salle, je sors un peu hébété. Je reste quelque minutes dans la rue à attendre un signe mais rien n’arrive et me résous donc à rentrer chez moi.

Arrivée de ma Maîtresse dominatrice

 

Une fois arrivé, à peine le seuil de la porte franchis, un SMS :

« Ne ferme pas la porte ! À poils, cagoule sur la tête, assis sur le canapé jambes écartées ! »

 

Le message est clair et sans ambiguité. Je l’exécute avec impatience car je m’imagine bien recevoir une visite, sa visite ? Sans aucune appréhension, je laisse la porte entrouverte. Je me déshabille, enfile cette cagoule, et patiente comme demandé sur le canapé. Au moins 5 à 10 minutes ou un quart d’heure passent sans que justement rien ne se passe. La porte grince, je me raidis. Des talons se font entendre sur le parquet, je bande mais la cage me comprime. Terrible sensation d’attendre sa Maîtresse (enfin j’espère que c’est elle) offert comme cela.

Les talons s’approchent, j’entends un bruit de fermeture éclaire. Le bout d’une cravache me parcourt le corps se qui me procure des frissons et la chaire de poule. Elle me tapote les cuisses pour bien me faire comprendre que je dois les écarter plus. Cette personne prend ma cage entre ces mains et libère mon sexe. Je bande immédiatement sous la première caresse, une érection forte qui traduit mon excitation. Toujours sans un son, elle me chevauche, me prend le sexe et se l’introduit en elle. Une humidité et une chaleur enveloppe immédiatement ce dernier, cette femme est ultra excitée et est divinement accueillante. Elle est visiblement nue car je sens sa peau sur la mienne. Ses seins sont quasi au niveau de mon visage. Je n’ose pas les embrasser, les lécher mais ma Maîtresse me prendre la tête et me colle à eux.

Moment intime avec ma Maîtresse dominatrice

 

Elle commence des va et vient, me susurre dans l’oreille qu’elle a envie que je la fasse jouir et que je lui fasse bien l’amour. Ces mots raisonnent dans mon cerveau et m’emmènent sur le point de jouissance. Elle le sent et arrête ses mouvements, elle ne bouge plus et ma pression redescend. Elle me dit :

 

  • si tu jouis avant que je t’en donne l’autorisation tu passeras un mauvais quart d’heure !

 

Et ne me laissant pas répondre, elle me force la bouche de sa langue me donnant un baiser fougueux. Je suis aux anges, j’ai une Maîtresse qui m’aime, qui m’apprécie en tant que soumis mais aussi en tant que personne. Comme je suis calé en elle, je n’ose plus bouger. Ma tête écoute son cœur battre. Comme elle reprend son va et vient, j’essaye de me concentrer pour ne pas éjaculer de suite mais l’émotion est forte et le plaisir est très proche.  Je suis sûr que Maitresse Ana le ressent et qu’elle en joue pour faire durer son plaisir. Elle accélère, halète, gémit, et me donne l’autorisation de me lâcher chose que je fais dans la seconde.

Alors, elle s’empale au même moment au plus loin possible sur mon sexe. Ma jouissance n’a jamais duré aussi longtemps pourtant cela fait à peine deux jours que je m’étais vidé ! Ma Maîtresse reste encore longuement sur moi sans bouger, sans se retirer, emprisonnant mon sexe. Elle est encore humide et extrêmement chaude. Je l’enserre dans mes bras et je sens qu’elle commence à contracter son périnée. Mon sexe s’est tout rétracté mais cette manœuvre titille le bout de mon gland et a pour effet de me redonner de la vigueur. Je n’avais jamais réussi à rebander après une éjaculation avant cet instant. Elle n’arrête pas ce mouvement mais y ajoute un début de va et vient.

Elle me dit :

 

  • c’est bien tu réagis bien ! Je vais pouvoir jouir maintenant, tu as échappé au viagra !

Ma Maîtresse dominatrice en extase !

 

Elle rie tout en haletant car elle accélère le rythme sentant que j’ai repris totalement de la vigueur. Elle devient plus sauvage, me plantant ses ongles dans le dos pour se permettre des va et vient très forts. Le rosebud que j’avais oublié se rappelle à mon bon souvenir commençant à me taper le fond de mon anus par l’action de ma Maîtresse dominatrice. Elle m’insulte, me dit que j’ai un sexe trop petit que je mériterais l’opération mais continue son travail de sape. Mon sexe me brule mais je ne dis rien. Elle se retire. Je pensais qu’elle avait terminé mais elle me tire du canapé dans lequel je me suis incrusté et me demande de la prendre en levrette. Je me retrouve un peu con d’avoir le rôle actif dans ces ébats mais ne réfléchis pas trop vu l’invite de cette femme.

Elle se cambre posant les mains sur l’assise du canapé et me guide derrière elle en me prenant le sexe par la main et se l’introduit dans son sexe qui est plus humide que jamais. Je pose mes mains sur ses hanches. Je dois rêver, je fais l’amour à ma Maîtresse dominatrice, je suis excité et l’honore du mieux que je peux en écoutant ses invectives (plus vite, plus profond, moins vite) !

Moment de tendresse

 

Mon sexe me brule mais hors de question d’arrêter sans autorisation. Elle est déchainée, m’insulte, m’encourage, pour finir dans une jouissance que je n’avais jamais vécu auparavant.

Alors qu’elle s’effondre dans le canapé, mon sexe toujours planté en elle. Elle m’ordonne de rester ainsi. Je n’ose lui faire des baisers dans le cou pour la remercier de tout mon cœur. Elle me dit que je suis le premier homme à l’avoir remercié après avoir fait l’amour et que cela la touche beaucoup tant d’attention. Une fois dans ma ma chambre, elle se glisse sous les draps et se sert contre moi. Elle me redit sa satisfaction de m’avoir comme soumis.

C’est étrange elle me parle comme une femme avec son conjoint d’égal à égal. Elle me redit sa satisfaction que je puisse l’accompagner en séminaire. Je devrais, ainsi, me comporter comme une bonne « femme de compagnie », l’attendre en journée et être à ses petits soins en soirée. Je lui demande en quoi consiste ce séminaire. Elle me répond simplement que c’est pour son travail. Ainsi, elle est cogérante d’une société. Il s’agit de la réunion annuelle de la profession.  Parfois, les soirées sont rébarbatives mais qu’avec moi elle ne risque plus de s’ennuyer. Elle me dit que je ferais surement la connaissance de son associé en même temps et qu’il était important que je fasse bonne figure devant celui-ci. Elle veut me faire rencontrer un homme!

A suivre

 

 

 

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